"Alençon" 61000 (Orne)
Du 16 Mars 2017
Bourg le Roi (Sarthe)
Pique-Nique: St Paterne (Sarthe)
Itinéraire: Groupe Randonneur
Nombre de Participants: 58 (le matin)
54 (l'après-midi)
Terrain: Terrain 40% goudron
60 % terre. Relief : sans difficulté, boisé
Température: 20° Super soleil et ciel bleu
Parcours Urbain: 4,5km (Alençon)
Parcours Extérieur: 9,5Km (Bourg le Roi)
Alençon au IVè Siècles est dans la seconde lyonnaise, mais à partir de 380 cette province est coupée en deux, les capitales sont Tours et Rouen sous l'autorité de 2 évêques ancien militaires.Martin et Victrice.St Victrice entretien des relations avec Ambroise de Milan.En 936 St Ambroise offre des reliques à St Victrice notamment celles de St Gervais et St Portais, les reliques sont amenés à Sées.Durant L'antiquité et la période mérovingienne ALENÇON est "MONTSORT" Alençon est capté au Xè à la suite d'un déplacement des pouvoirs sur la rive nord de la Sarthe.Le village mérovingien d'Alençon correspond à la paroisse Saint-Pierre soit "MONTSORT"St Pierre indique une église funéraire du VI ou VII , la paroisse est imposé par l'évêque du Mans A la période Carolingienne Alençon se trouve dans le cactus cénomannensis, le duché du Mans qui est en partie de la NEUSTRIE.La région subi des raids VIKING. En 911 le traité de St Clair sur Epte stipule que le Roi Carolingien cède un vaste territoire à ROLLON chef viking.En 924 S22S est revendiqué par les NORMANDS.Érigé en DUCHÉ en 1414 ALENÇON est la résidence de MARGUERITE d’Angoulême qui a épousée en 1509 à l'âge de 17ans le Duc d'Alençon Charles IV en 1er noces.Après la mort de Charles en 1525 la bataille de Pavie Marguerite d'Angoulême Grand-mère maternelle du futur HENRI IV, Marguerite d'Angoulême Sœur du Roi François 1er s'établit après son veuvage à la cour d'Alençon où elle est demeurée après son remariage avec le Roi de Navarre.Alençon devint l'Asile des savants persécutés comme(le poète Clément Marot, Charles de Sainte-Marthe,Bonnaventure,Des Periers, Claude Gruget etc.. qui publiera son Heptaméron. La réforme protestante fut prêché en 1524 tolérante Marguerite de Valois qui permit Michel D'Arande et Pierre Caroli en 1530 un réformé Allemand qui qualifiait Alençon de "petite Allemagne".En 1529 Simon Du Bois imprime le petit catéchisme de Luther.Étienne Le Cour curé de Condé sera brulé le 21/12/1533.En 1549 le Duché d'Alençon est rattaché au domaine Royal, après la mort de François II Charles IX céda le duché à sa mère Catherine de Médicis jusqu’à 1566 date à laquelle elle le remit au Roi qui le donna à son jeune frère François âgé de 12ans.Dès le règne de Charles IX les protestants pillent les églises NOTRE DAME, SAINT BLAISE, et le couvent l'avé Maria. Les catholiques durent s'armer pour sauver leurs vies. Pendant les guerres de religions MONTGOMERY s'empare d'Alençon qu'il quitta pour rejoindre le prince de condé à la Rochelle en 1572 Matignon empêcha les catholiques de prendre leurs revanches.C'est à Alençon que HENRI fit sa rentrée triomphale dans l'église protestante en reniant publiquement le catholicisme.Le duché d'Alençon réuni en 1584.Rançonné par le Duc de Mayenne.Le Maréchal de BIRON assigna la ville et demanda 17000écus à payé au Duc de Mayenne .En 1660 le Duché passe à Elizabeth d'Orléans épouse du Duc de Guise.En 1636 le Duché est supprimé par Richelieu et remplacé par Alençon. En 1660 la protestante MARTHE La PIERRIÈRE invente le point de France ou le POINT d’Alençon en 1665 la manufacture à laquelle COLBERT accordera un privilège de "Manufacture Royale"Alençon emploiera à l'apogée de son art jusqu’à 8000 dentelières.Lors des persécutions des protestants Elizabeth de Guise allait jusqu’à faire exhumer leurs restes et les faire jeter à la voirie. Charles I comte d'Alençon du Perche et de Chartres vendit au Roi tous les "Juifs " de ses terres pour une somme de 20000 livres petit tournois(mémoire historique d'Alençon) . 1766-1789 Antoine Jean-Baptiste Alexandre Jullien est l'intendant d'Alençon un grand-homme et bâtisseur.A la défaite des vendéens au mans un grand nombre d'insurgés furent pris et conduit à Alençon où ils furent fusillés,plus tard la ville fut ravagée et ensanglanté par les CHOUANS, CADOUAL et de FROTTE.Le dernier fut arrêté par le général Guidal à l'hôtel du cygne avant d'être fusillé.Le 14/01/1871 Guerre Franco-Allemande le maire Eugène Leconitre s'oppose au prefet Alain Dubosct il évite la destruction des ponts et du quartier "MONTSORT" les Allemands entre dans Alençon le 16 Janvier et le quitte le 19 pour revenir le 29.Les Allemand réclame une contribution financière sinon il la livre aux pillages.Lecointre lui jette les clefs de sa maison en disant "Vous pouvez commencer par moi si vous voulez allez et pillez Messieurs la force prime sur le droit" Lecointre sera envoyè en Allemagne et libéré à CHATRES le 22 février.La ville est libéré le 7 mars. Le 12/08/1944 Venant de Champfleur la 2 DB du Général Leclerc rentre dans Alençon. Une maison situé au 33 rue du pont neuf porte une plaque.Ville libérée sans un seul coup de feu,première ville à être libérée par des forces Françaises.Alençon 3 cantons en concurrence avec le point de VENISE dès le 16è le protestant SIMON DU BOIS avec l'imprimerie la ville est très vite florissante, la famille MALASSIS fondera une grande lignié d'imprimeurs.Le tissage de la toile et du canevas de chanvre au 17è amène la prospérité.Alençon fabrique à cette époque une sorte de toile appelée "FLEURET" ou" BLANCART". Au XXè Alençon devient bastion de MOULINEX créée en 1937 par Jean Mantelet d'ou sort son fameux "Moulin Légumes".Le CHATEAU des DUCS construit sous Pierre II duc d'Alençon 1361-1404 demantelé sous HENRI IV servant de dépôt de mandicité de 1768-1824.Les bâtiments existant ne représente que le 10% de l'ensemble.Le chateau est devenu maison d'arrêt durant 39/45 de nombreuses personnes furent torturé par la gestapo.Classé monument historique en 1962.L'hôtel de ville place Foch 1783-1788 par Delarue ,la maison d'OZE du XIV modifié en 1450 Charles Valois duc d'Alençon et MARGUERITE de NAVARRE y véqurent et invite HENRIIV en 1576menasser de destruction en 1899.La halle aux blé 1811-1819 par Charles ARNOUL l'îlot aveline en 1675.L'hôtel de la préfecture de l'ORNE à l'origine un hôtel particulier 1630, Quartier Saint Léonard ou quartier des marais (quartiers des prostutuées etc..) Place de l'avoine marché du cheveaux et de l'avoine ou se trouvait la porte LANCEL une entrée de la vimlle au XVIII, ancien dépôt de mandicité par l'intendant JULLIEN en 1774 achevé en 1782 acceuillait mendiants,indigent,vagabon et filles sans moeurs géré par les religieuses jusqu'a 1971.La maison à l'ETAL rue portte de la barre une des 5 portes de la ville au XV ,elle fut en partie abattue en 1776 mais conservé sa façade surmonté d'un auvent et le long étal d'un seul bloc de granit.Carrefour des ETAUX avec la place de la MADELEINE le carrefour de la rue au SIEURS, le café des 7 colonnes la plus vieille maison d'Alençon et se trouvait autrefois le cimetière Saint Léonard jusqu'en 1760.La grande-Rue par la place de la madeleine dont le nom provient de MARIE MAGDALA(Sainte) en 1789 s'y trouvait un cimetière.Le quartier "MONTSORT" autrfois simple faubourg doit son nom aux marécages de la rivière la Sarthe.Le café rensissance rue Saint Blaise monument hisririque construit en 1839 à l'emplacement d'une auberge atteste XVII et fermé le 23/05/2008.La basilique Notre Dame de Lorette 1680 quartier "MONTSORT" maison natal de St Thérèse (Marie Françoise Thérèse Martin) née le 2/01/1873 décédée à Lisieux le 30/09/1897 de tuberculose béatifié puis canonisé en 1925..
Découvrez la ville d'Alençon à travers un jeu de piste
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Arrivée Alençon 9h la troupe est prête à la découverte de la ville |
Henri le guide du jour distribue les fascicules pour le jeu de piste
Sortez de l'office du tourisme et dirigez-vous en face jusqu'au fond du jardin.Sur votre gauche se trouve le verger du conservatoire et ses arbres fruitiers.
Place du Plenitre
Prenez es escaliers de la muraille et longez-la jusqu'à ce que vous ayez un bon angle de vue sur la Maison d'Ozé.Ce monument dont les origine remontent au milieu du XV,a été construit face aux remparts sur lesquels vous vous trouvez.
.
Question: nom de la demeure de l'office du tourisme?
Fontaine Place de la Magdeleine
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Le Puits des Forges, Alençon |
Halle aux toiles(1827) En
1826, le conseil municipal décide la construction de la halle aux toiles. L'adjudication
des travaux est faite l'année suivante sur la base du devis établi par
l'architecte Pierre Delarue
et
c'est 7 septembre 1827 que Marie-Thérèse de France, fille de Louis XVI, pose la
première pierre. M. le maire remet alors à Marie-Thérèse deux grandes médailles
en argent, frappées à l'occasion de cet événement, portant la citation suivante
: Le 7 septembre 1827, S.A.R. Madame la Dauphine pose la première pierre de
la halle aux toiles d'Alençon. M. Séguier, Préfet ; M. Le Comte de Chambray, Maire,
ainsi qu'un très bel écrin en velours contenant une paire de pendants d'oreilles,
un bracelet, un collier et une broche en or ornés de diamants d'Alençon d'un beau noir tirant sur le violet.
En 1828, le plan de la
halle est modifié pour aménager un étage destiné aux justices de paix. Mise en
service en 1832, ses abords se transforment en bourbier les jours de pluie. Un
mur de soutènement entourant le terre-plein est alors construit sur lequel sont
fixées vingt-deux bornes de pierre surmontées de pommes en fer traversées de barres
également en fer. Cet entourage est encore visible aujourd'hui excepté deux bornes
qui ont disparu.En 1837, on s'aperçoit que les travaux furent effectués
avec peu de soin et il faut élever huit grosses colonnes qui encombrent le grand
vestibule. De nombreux travaux de consolidation auront lieu tout au long du siècle.À
partir de 1850 le commerce de la toile décline et la halle est désaffectée en
1880. En 1899, le conseil municipal décide d'aménager le bâtiment en salle des
fêtes. En 1904, la liste républicaine du progrès envisage sa transformation en
hôtel des postes. Restaurée en 1938, elle sert un peu à tout : bals, cantine municipale,
cinéma, concerts, conférences, expositions, théâtre, etc. Reprenant son nom originel
en 1991, elle est restaurée en 1993-1994 et équipée d'un matériel audiovisuel
afin de l'utiliser comme salle de congrès.((Alain
Champion, Éditions Cénomane, 2003).)
Construction de ce monument en 1909
Place de l'Avoine ou un maître d’œuvre à réalisé cette fontaine Polygonale: J.J Ducel
Passage Jean Ernandes
En fond l'ancien collège des jésuites fondé en 1623 architecture jésuite et baroque du début du XVIII,cinquante ans après leur installation les jésuite vont reçoivent en héritage un hôtel qui va devenir leur collège.En 1762 les jésuite sont chassé de France, l'établissement sera confisqué, après la révolution il devient successivement une école centrale, une école secondaire,un collège royal sous la restauration , un lycée avant de devenir un ensemble culturel.
Rue du collège la bibliothèque:
L’église des Jésuites, construite à la fin
du 17e siècle, est un édifice remarquable par sa charpente, dite à
l’impériale couronnée d’un campanile hexagonal. Les livres confisqués
pendant la Révolution française furent entreposés dans ce lieu de culte,
désaffecté depuis le départ des Jésuites en 1762, pour servir de
bibliothèque à l’école centrale de l’Orne dès 1799. La même année,
l’architecte Jean-Baptiste Delarue aménage l’édifice en séparant la nef
transversalement, avec au rez-de-chaussée une salle nommée aujourd’hui
salle du collège, et à l’étage la salle de la chapelle. Dans cet espace,
l’architecte aménage les remarquables boiseries de chêne du 18e siècle
et quatre colonnes de marbre provenant de la chartreuse du Val-Dieu
(Perche). Administrativement, la bibliothèque municipale d’Alençon est
créée en 1803 par arrêté du gouvernement confiant à la ville la
préservation des collections.....
De la cour on peut apercevoir la "girouette" sur le centre de la cour carrée de la dentelle
Rue du collège Le globe terreste qui n'est autre qu'un cadran solaire
la place Foch l'hôtel de ville avec de chaque côté de l'horloge des écussons figurant un aigle à deux têtes, cet aigle dit "bicéphale" symbolise la ville d'Alençon?
L'hotel de ville(1783) fut réalisé par Jean-Baptiste Delarue dans le style Louis XVI .
Le grand escalier de l'hôtel de ville
Léon de Sicotère 1812-1895:
en 1834, il endossa, à l’âge de vingt-deux ans la profession d’avocat au barreau d’Alençon, dont il fut élu bâtonnier,La Sicotière se passionna pour l’histoire et c’est dans la rédaction de
nombreux ouvrages d’érudition que réside sa célébrité. Son titre de
gloire en tant qu’historien est d’avoir jeté une lumière qui n’existait
pas avant lui sur la mystérieuse histoire du jeune Louis XVII avec son Louis XVII en Vendée. La Sicotière fonda, en 1881, de concert avec l’archiviste du département Louis Duval la société historique et archéologique de l'Orne
la Briante cours d'eau de la ville d'Alençon
Place Masson la Halle aux blés,A partir de 1865 les Alençonnaises donnent le surnam à ce monument de "la crinoline d'Alençon,parce qu'elle rappelle l'armature bouffante placée sous les robes
Construite à la fin du XVIIIe, début XIXe, la Halle au Blé d'Alençon
est ouverte au commerce des grains en 1812. Le bâtiment, circulaire,
est couvert d’une coupole installée en 1865, imitée de la Halle au Blé
de Paris.Au XXe siècle, elle connaît de multiples affectations : hôpital pendant la Première Guerre mondiale, elle devient le lieu de nombreux événements : foires, marchés, expositions…Inscrite aux Monuments historiques en 1975, la Halle au Blé d'Alençon est entièrement réhabilitée et mise en lumière en 2000.La Halle au Blé
est aujourd’hui un bâtiment dédié au multimédia accueillant, notamment
l’Echangeur de Basse-Normandie, centre de veille au service des
nouvelles technologies. Elle accueille également la Cité des Métiers.
La halle au blé (1801) Elle était vouée au commerce du grain ,entièrement circulaire et munie d'une coure intérieure, elle est faite de granit.En 1865 elle est surmontée d'une coupole de verre lui donnant un cachet, aujourd'hui elle est dédiée aux nouvelles technologies
Place Masson sur ce cours d'eau aurait existé une tannerie?
Rue des filles-de-saint-claire se dresse le château des Ducs (présent dès le XII et reconstruit entre le XIV et le XV.
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Fais du feu dans la cheminée je reviens chez nous.. |
ancien couvent des sœurs de la Miséricorde,
Rue des Marais entre le N°1 et 30 , un petit corps de bâtiment à pans de bois se tient au-dessus d'un mur sur la droite en quelles matériaux composent cette construction?
Brique,bois,ardoise,céramique?
Brique,bois,tuile,céramique?
Brique,bois,tuile marbre ?
Cour Jacques-René Hébert, né à Alençon en 1757, ce révolutionnaire,fondateur du journal le père Duchesne,participe en 1793 au procès de Marie-Antoinette, en tant que substitut du procureur de la commune de Paris.Alors qu'il dénonce la modération de Robespierre, ce dernier le fait arrêter et exécuter en 1794.Au fond à droite de la cour,vous trouverez le passage couvert qui vous permet d'accéder à la cour Dauphin et de revenir dans la Grande-Rue.Découvrez,au 150 la maison aux piliers(XV et ses arcades ogivales en granit.Au N°137,une maison à pans de bois du XV abrite un passage couvert ouvrant sur la cour Cochon-de-Vaubougon.Dans celle-ci remarquez la tourelle entièrement recouverte de bardeaux de bois.
Rue de l'ancienne-mairie et sur la rue Bonnette, aux 21,23, et 25 se dresse une maison en bois.Au moyen âge les incendies étaient fréquents,dans chaque rue il y avait une pompe à incendie
En sortant de la rue Sarthe rejoignez la Grande-rue, à droite .au 137 accédez à la cour Cochon-de-Vaubougon. L'animal exotique (un oiseau)
L'hôtel-Dieu,
qui au Moyen Âge accueillait et soignait gratuitement les malades les plus pauvres,
les riches étant soignés chez eux, était situé au n° 24 de la rue de Sarthe. Son
existence est attestée en 1204. D'abord installé vers la place du Champ-du-Roy,
probablement à la fin du XIIe siècle, il est rasé le 3 avril 1358, pendant la
guerre de Cent Ans (1337-1453), pour des raisons stratégiques. . En effet, les Anglais
pouvaient s'en emparer et l'utiliser comme poste avancé. L'institution est alors
transférée dans l'enceinte de la ville sur l'emplacement
actuel du centre hospitalier. À cette époque, elle est surtout composée d'une
grande exploitation agricole dont les bâtiments abritent un orphelinat pour les
enfants trouvés. Arnaud Émile, dans sa maîtrise sur les origines de l'hôtel-Dieu,
nous apprend "que les personnes âgées assuraient leurs vieux jours en
se "donnant" à l'établissement et s'y installaient avec leurs meubles et
leurs biens".C'est Élisabeth d'Orléans, cousine germaine de Louis
XIV, duchesse d'Alençon de 1667 à 1696, qui est considérée comme la véritable
fondatrice de l'hôtel-Dieu par les développements qu'elle lui donna et les réformes
qu'elle y réalisa. Le 24 septembre 1676, elle fait venir des sœurs de la congrégation
de Saint-Vincent-de-Paul - elles y resteront jusqu'en 1965 - puis elle fait partiellement
reconstruire l'édifice en 1679, bâtir la chapelle Saint-Jean en 1691 et refaire
la façade en 1693. En 1789, l'hôpital général, dont la première pierre avait été
posée le 12 avril 1728 suite à une décision de Louis XV de 1724, est réuni à l'hôtel-Dieu.
L'ensemble prendra le nom d'hospice, puis d'hôpital et enfin de centre hospitalier.
Il fut utilisé comme hôpital militaire pendant l’occupation . La chapelle St Jean
La chapelle principale a été bâtie à l’intérieur de l’enceinte
fortifiée, près des murailles et de la porte de Sarthe. Dès le
Moyen-Age, elle est dédiée à l’apôtre saint-Jean. Au XIIIe s., deux
chapelains la desservent.Isabelle (ou Elisabeth) d’Orléans (1646-†1696), entreprend de redresser
l’hôpital. Elle le dote d’un nouveau règlement et y établit la
congrégation des filles de Saint-Vincent-de-Paul en 1676\. Ces dernières
serviront l’établissement jusqu’en 1965, soit pendant près de trois
sièclesEn 1691, la chapelle Saint-Jean est détruite puis reconstruite sur le
même emplacement en 1693\. Elle est dédiée à saint Jean et à saint
Louis. La duchesse de Guise est l’une des principales bienfaitrices de
l’hôpital. Dans son testament, elle lègue à cet établissement sa maison
(actuelle préfecture) et ses meubles.En 1724, Louis XV ordonne la construction d’un hôpital général à
Alençon. Il est construit à côté de l’hôtel-Dieu. Le 14 août 1725, un
règlement royal est établit. Pendant plusieurs années, ces deux
structures vont coexister. Elles sont desservies par le même personnel
et suivent le même règlement, mais elles ont des biens et un budget
différents. Ils ne seront réunis qu’en l’an IV (1796).
Vous êtes face à la basilique (Basilique depuis le 10 Aout 2009 par Benoit XVI) Notre Dame Grande-Rue .Parmi les sculptures un personnage tourne le dos "Jean" La basilique Notre-Dame (fin XIV-XVIII) la foudre ayant détruit la moitié en 1744,elle fut en partie reconstruite.Elle présente donc plusieurs styles architecturaux différents.Sa construction aurait commencée par Charles III Duc d'Alençon pendant la guerre de cent ans 1356,pour se terminer au XIX.Les parents Louis et zélie Martin se marient le 13 juillet 1858.Sainte Thérèse reçoit le baptême le 4 janvier 1873,béatification du couple Martin 12 Octobre 2008.Style Gothique avec une nef de cinq travées du XV, architecte Jean-Rodolphe Perronnet et le triple portail Jean Lemoine.
L’imposante église Notre-Dame a été construite à l’emplacement d’un ancien prieuré du 12ème siècle, déjà dédié à Notre-Dame
de l’Assomption. La construction a commencé à la fin du 14ème siècle. Interrompus par l’occupation anglaise de 1417 à 1449, les
travaux ont repris en 1470 pour s’achever au début du 16ème siècle. L’édifice a été bâti d’abord dans le style gothique classique
puis, à partir de 1500, dans le style gothique flamboyant, comme en témoigne la richesse des sculptures de la façade, au-dessus
du porche de la Transfiguration. La nef à cinq travées s’élève sur trois niveaux, avec un triforium et des fenêtres hautes. Les
chapelles sont construites vers 1500 entre les contreforts. En 1744, le chœur et la tour au-dessus de la croisée de transept sont
détruits par un incendie provoqué par la foudre. Ils seront reconstruits entre 1745 et 1762. L’édifice a beaucoup souffert d’abord
des guerres de religion puis de la révolution. Heureusement les magnifiques verrières des fenêtres hautes qui datent du début du
16ème siècle, ont été préservées. L’édifice a été restauré dans la seconde moitié du 19ème siècle. Le porche et le portail ont été
restaurés en 2002 et la nef en 2005. A noter, outre les magnifiques vitraux du 16ème et d’autres plus récents, la chaire de 1536
La chaire (1536)
Elle
présente les particularités d’être une cuve en pierre sculptée, et
d’être accessible par un escalier creusé dans un pilier. Le dosseret et
l’abat-voix de bois sculpté sont aussi des témoins des aménagements
liturgiques du 18e siècle.
Comme
la plupart des vitraux des fenêtres hautes de la nef, elle fut réalisée
à l’époque du gouvernement du duché par Marguerite de Navarre, sœur du
roi de France François I°. Par
son programme iconographique, cette chaire témoigne de la redécouverte
évangélique de la Renaissance, à un moment de riches débats théologiques
qui conduiront certains à la Réforme.
Le
premier pan de la cuve fait allusion à la Sagesse de l’Ancien Testament
figurée par une image du roi Salomon présentant un passage du livre des
Proverbes.
Le
deuxième pan représente la victoire du Christ sur le pêché et la mort :
il est venu accomplir les Ecritures. Sur les deux autres pans,
expriment le temps de l’Eglise avec une représentation de l’apôtre Jean à
Patmos citant un passage de sa deuxième épître puis de saint Paul désignant un extrait de son épître aux Romains.
ORGUE D'ALDOSSO
Il est fait mention d'un orgue dans l'église dès 1506/1508.En 1537, un instrument neuf est commandé aux facteurs Simon LE VASSEUR et Gratien de CAILLY. Le buffet remarquable est
l’œuvre du menuisier Jehan de Maton et c’est ce buffet, chef d’œuvre de la Renaissance française, que nous pouvons admirer
aujourd’hui, restauré dans ses couleurs claires d’origine,De 1652 à 1657, le facteur Jacques VERDIER du Mans (Sarthe) restaure l’orgue.
En 1804 et 1805, le facteur Charles de MOMIGNY de Châteaudun (Eure-et-Loir) effectue des réparations suite aux dommages
causés par la révolution.En 1862, le buffet est classé aux Monuments Historiques.En 1873 et 1874, les frères DAMIENS, facteurs d’orgues installés à Gaillon (Eure) restaurent, voire même reconstruisent
l’instrument, dans un style évidemment bien différent.En 1944, l’orgue a énormément souffert des bombardements alliés.En 1950, l’instrument est reconstruit, à l’économie, par la maison Charles MICHEL-MERKLIN de Lyon et inauguré par Marcel
DUPRE.A la fin des années 1960, l’orgue est endommagé par les travaux de restauration de la voûte et en 1976 il devient muet.En 2008, la ville d’Alençon a approuvé le projet de restauration du buffet historique et de la reconstruction d’un instrument neuf.En 2012, le contrat de ces travaux a été confié au facteur Jean DALDOSSO de Gimont dans le Gers, sous la supervision de
Thierry Semenoux, technicien-conseil du Ministère de la Culture.De 2014 à 2016, le buffet a été entièrement démonté et restauré dans les ateliers de Gimont. Les couleurs d’origine, telles qu’elles
figurent au contrat de 1537, ont été rétablies.DALDOSSO a construit un orgue entièrement neuf. Ce n’est ni un instrument baroque ou classique, ni un instrument romantique
ou symphonique, ni un orgue néo-classique du 20ème siècle… Il s’agit d’une véritable création contemporaine, digne du talent du
facteur gersois, connu pour ses nombreuses et excellentes réalisations.L’instrument a 33 jeux réels sur trois claviers et pédalier, avec une transmission mécanique des claviers et électromécanique des
jeux. La disposition sonore permet l’interprétation des différents répertoires, du 17ème au 21ème siècle.L’instrument a été inauguré par un récital de Thomas OSPITAL, titulaire de St Eustache à Paris, donné le 1er septembre 2016..Les éloges qui ont été nombreux au récital d’inauguration sont plus qu’encourageants et récompensent la détermination des
acteurs de cette résurrection et le travail exemplaire de Jean DALDOSSO. Cet instrument est appelé à participer au rayonnement
culturel et touristique de la cité d’Alençon
La robe de baptême de Sainte Thérèse .
Les lavoirs d'Alençon une curiosité à ne pas manquer
Circuit par les portes et remparts:
Le village est mentionné pour la première fois dans les textes en 1154 C'est un domaine du Mans qui semble exister au début du XIIe siècle, même si quelques tessons remontant au haut moyen âge ont été découverts dans le cimetière. À la fois village et commune, cet
ancien chef-lieu de canton est intégralement compris dans une enceinte
de murailles dont il reste d'importants vestiges au nord et au sud. Le
caractère fortifié tient également aux deux portes médiévales de la
ville. L'habitat est surtout composé de maisons anciennes rénovées, au
milieu de jardins arborés. L'ensemble du site a été inscrit à
l'inventaire supplémentaire sur les monuments historiques
Étendu sur à peine trente-six hectares, Bourg-le-Roi, dans le nord de
la Sarthe, est l'une des plus petites communes de France. Seulement 170
maisons, certes, mais un passé glorieux. Bourg-le-Roi fut choisi par Henri II Plantagenêt roi d’Angleterre et d'une grande partie de l'Aquitaine et de la Normandie comme place d'observation. Le hameau se situait en effet sur une voie de passage entre le Mans et Alençon centres économiques importants. Au XIIe siècle, des fortifications furent donc érigées,
Au XIXe siècle, une industrie de Broderie d'art fut fondée. Elle a fermé ses portes
Porte St Rémy
Tous les quatrièmes dimanches de juin, les habitants organisent une
grande fête médiévale qui réunit entre 2 000 et 2 500 visiteurs. Les
participants sont costumés et certains endossent de lourdes armures. On
voit arborer de la dentelles « maison ».
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Eglise Saint Julien |
C'est en 1853
que s'installe à Bourg-le-roi un atelier de broderie qui compta jusqu'à
soixante ouvrières pendant que d'autres travaillaient à domicile.
D'autres ateliers furent créés par la maison Boulard dont les principaux
au Mans et à Noyen S/Sarthe.Musée de la broderie et du point de Beauvais : fresque de 12 mètres
brodée au point de Beauvais retraçant la vie de la cité (de 50 av. J.-C. à 1450 apr. J.-C.),
exposition de vêtements ecclésiastiques, de tableaux, linges et
vêtements brodés, de dessins de Bourg-le-Roi et son patrimoine
architectural.
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Puisque je vous dis que c 'est "pô" les toilettes... |
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Sa fondation qui remonte au XVIème siècle aurait
été décidée par Dyonise de Tisiou, épouse de Jacques de Maridort,
seigneur de Bourg-le-Roi. Mais, étant donné son emplacement, il pourrait
s'agit d'une reconstruction sur l'emplacement de l'ancienne chapelle
castrale.
L'édifice de plan rectangulaire est éclairé par la fenêtre
de façade. La chapelle comporte une autre ouverture à l'arrière,
bouchée en 1764, mais qui, à l'occasion de la restauration de 2000, a
été réouverte et ornée d'un vitrail contemporain.
Elle est consacrée à saint Mathurin qui, au Moyen Âge, était souvent invoqué pour ses dons de guérison.
Rarement
ouverte, à l’occasion des journées du patrimoine, d’expositions ou de
petites cérémonies, cette chapelle renaissance possède un beau mobilier;
deux statues, Saint Mathurin le guérisseur en bois polychrome du 16ème
ou 17ème , vocable de la chapelle et de la porte de la ville adjacente
et Sainte Emérentienne en terre cuite du 18èm e , encadrent l’autel, un
peu plus bas une vierge à l’enfant ; cet autel présente un antependium
brodé en point de Beauvais entre deux montants aux armes de Maridort. Un
blason en haut de la voûte, partiellement effacé porte également ces
armes, Dyonyse de Maridort ayant fondé cette chapelle ouverte en 1575.
Porte Saint Mathurin:
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Toujours un puits sur nos parcours pour étancher notre soif |
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le ruisseau le "Rabour" |
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Location d'un petit studio à ossature bois ,orientation plein sud. |
La fontaine tonneau
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Un gîte au milieu de nulle part |
Chérisay:
L'église
Ses les origines remonteraient au XIe siècle. Elle présente un plan simple à nef unique avec un clocher en batière.
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Dernier effort on arriveuuuuu |
le comité des fêtes organise les premières courses d'ânes à Cherisay à l'occasion de la saint Denis en Octobre 1979
Le lavoir communal
Alimenté par la source du ruisseau de Rabours, il a
été construit au XIXe et est constitué de deux bassins, l’un servant
d’abreuvoir aux animaux, l’autre étant utilisé pour le lavage notamment
des toiles produites par les tisserands du village dont on aperçoit
quelques maisons encore aujourd’hui. Sur la commune sont encore visibles
deux moulins, dont celui de Rabours. Ce sont des moulins à blé qui
remonteraient au Moyen Age
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Le retour sur Bourg -Le-Roi |
Si vous avez constaté des erreurs dans les textes où illustrations me le faire savoir merci à tous.
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright et D.R (droit réservé)
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également
Merci à Henri pour ses précieux commentaires et à tous les participants pour cette journée