jeudi 30 mars 2017

Rando Bois de L'Epau le Mans 30/03/2017

"Bois de l'épau" 72100 Le Mans
     Du 30 Mars 2017

  

Itinéraire: groupe de randonneur 

Nombre de participants: 48
Terrain: Boisée
Température: 23° super soleil
Parcours: Boisé 13km
Dénivelé positif: +305m
Dénivelé négatif: -271m
Durée :4h15mn
Point Haut: 151m
Point Bas: 86m

                                          Histoire:

L'Arche de la nature et le Boulevard nature, qui à terme s'enroulera autour de l'agglomération, sont les lieux de promenades et de randonnées par excellence au départ du Mans. Ce dernier, dédié aux modes de circulation douce, est accessible aux piétons, poussettes, vélos, rollers, personnes handicapées en fauteuil et cavaliers. Ses 41 premiers kilomètres, sur un total de 72, sont ouverts au public qui peut y des aires de pique-nique et une signalétique pour découvrir la faune, la flore et l'histoire du territoire traversé.
Le Mans Métropole et le comité départemental de la randonnée pédestre, avec le concours de l'IGN, éditent une carte au 1/35000e "À la découverte des sentiers". Elle est disponible à l'office de tourisme du Mans.Que vous soyez promeneur du dimanche ou marcheur aguerri qui apprécie l’effort intense… à pied, à cheval, en vélo ou VTT, autour du Mans, ou sur les sentiers balisés du département de la Sarthe, bonheur, plaisir et santé riment avec randonnée. Le long d’un chemin de halage, sur une ancienne voie ferrée, au fil de l’eau, au détour d’un bois, au cœur de la forêt de nombreux sentiers balisés sillonnent la Sarthe.

.L'obligation régulière de Saint-Benoit veut que l'abbaye, si elle n'est pas installée au cœur d'une ville active, doive respecter l'ascétisme érémitique. La reine passe outre puisqu'elle choisit d'installer l'édifice entre forêt et ville, aux portes du Mans. La reine fit construire l'édifice pour son propre salut. L'histoire et la légende se sont rencontrées en laissant entendre que cette abbaye aurait été construite pour racheter l'existence dissolue de certains rois plantagenêts. Le 25 mars 1229, la reine ordonne la construction de Notre-Dame-de-l'Épau aux moines de Cîteaux. Elle est par ailleurs une bienfaitrice avérée de cet ordre régulier. Le choix des moines y résidant n'a donc pas été fait au hasard. La reine est d'ailleurs une grande amie d'Adam de Perseigne, abbé et ancien confesseur de Richard Cœur de Lion. Le père de la reine, Sanche VI avait lui-même fondé en 1140
Le lieu est d'abord choisi car très tranquille au bord d'une Huisne poissonneuse. Louis IX cède le terrain de l'Espal à la reine mais ce sont les petits frères hospitaliers de Coëffort qui mèneront la vie dure à Bérengère. Ces derniers demanderont compensation financière à la reine, prétendant que le terrain leur a été cédé par Arthur de Bretagne, neveu de Bérengère.
Le plan de l'abbaye est classique, la construction respecte l'unité de toutes les fondations cisterciennes. La période de construction s'étend de 1230 à 1365. Le début de la construction fut assez rapide. Quatre ans après le début des travaux, l'évêque du Mans Geoffroy de Laval effectue la dédicace du bâtiment monastique en le mettant sous le patronage à la fois de Notre-Dame et de saint Jean-Baptiste. Les bâtiments principaux ne furent achevés qu'en 1280.les Manceaux brûlent d'eux-mêmes l'édifice. Les moines ayant quitté l'abbaye, les habitants ont peur que les troupes ennemies ne prennent le bâtiment pour en faire un siège de garnison afin d'assaillir la ville. Ce sont les notables qui poussent à l'action le peuple. L'église est la partie de l'abbaye ayant le plus souffert. Pourtant, dès l'année suivante, les bourgeois du Mans décident de reconstruire entièrement les parties endommagées. Ce ne sont pourtant pas ceux-là qui financent la rénovation. L'argent est rare dans la région et les donations concernent bien plus les ordres mendiants.Tous les bâtiments abîmés sont rénovés entre 1400 et 1444. Le financement provient d'une nouvelle taille imposée aux Manceaux par Charles VI, mais aussi à la réorganisation du temporel abbatial suivant le modèle d'une économie seigneurial de rentiers du sol. Convertis au fermages, les gestionnaires du domaine optent pour un type très contraignant de concession d'exploitations en fermage par des baux à une, deux ou trois vies au prix élevé, qui venait s'ajouter aux prestations seigneuriales coutumières. L'un des principaux artisans de la renaissance de l'abbaye est Guillaume de Bonneville.Au début de la Révolution, l'édifice est transformé en gigantesque hangar agricole. Sa valeur patrimoniale fut déjà reconnue sous l'ancien régime, notamment grâce à son église abbatiale, sa sacristie et surtout son escalier du XVIIIe siècle. Bérengère de Navarre, tint à sa mort, à se faire inhumer au sein même de l'abbaye. Le doute demeure quant à l'endroit exact où elle s'est fait inhumer, car si son gisant est bien là aujourd'hui, on ne sait avec certitude où son corps fut déposé. Pierre Térouanne trouva en1960 un squelette de femme complet et intact dans le sous-sol de la salle capitulaire. Une petite boîte de chêne a toujours suivi le gisant de la reine, malgré ses multiples pérégrinations depuis la Révolution. Sur cette boîte était marqué « Ossa Berangeria / 1230-1672-1821-1861 ». Pourtant, la reine est décédée alors même que l'abbaye n'a pas fini de sortir de terre. La seule possibilité aurait été celle de l'inhumation dans l'abbatiale. Sa dépouille serait ainsi située sous le gisant actuel, une œuvre d'art médiéval du milieu du XIIIe siècle. Le style du gisant est proche de celui d'Aliénor d'Aquitaine à l'abbaye de Fontevrault  La reine est couchée sur le dos, vêtue d'une longue robe resserrée à la taille par une ceinture. La couronne royale est posée sur sa tête, elle-même reposant sur un coussin. À ses pieds est représenté un lion terrassant un lévrier. La couronne et le lion sont les symboles de la royauté alors que l'escarcelle se situant près de sa ceinture, représente la générosité. Entre ses mains, repliées sur sa poitrine, la reine tient un livre dont la couverture représente son propre gisant. En 1365 l'incendie a beaucoup atteint l'édifice et le gisant fut certainement déplacé dans la salle capitulaire.
Il fut, et c'est une certitude, amené dans l'abbatiale en 1672. il y demeura jusqu'à la Révolution et jusqu'à la revente de l'édifice comme bien national du clergé. Le bâtiment devint une grange agricole et le gisant fut vulgairement enfoui sous la paille. Il fallut l'intervention de Charles Albert Shotard, envoyé spécialement d'Angleterre pour veiller aux gisants des Plantagenêts, pour que le tombeau soit respecté. Le propriétaire de la grange abbatiale, Pierre Thoré, se résoudra à se séparer du gisant quelque temps après. Il sera transféré dans le croisillon nord de la cathédrale en décembre 1821.En 1861
le gisant est déplacé vers le croisillon sud pour laisser place au gisant de monseigneur Bouvier. En 1920, le gisant fait machine arrière et est de nouveau transféré dans le croisillon nord, pour faire place au monument des prêtres du diocèse morts pour la France. C'est en 1970 que le gisant est finalement ramené à l'abbaye de l'Épau, dans la salle capitulaire. On le plaça au-dessus du mystérieux tombeau trouvé par Pierre Terouanne. Ce squelette indique que la femme morte ici devait avoir une soixantaine d'années, soit l'âge de la reine au moment de sa mort. Reste à savoir ce qui se trouve vraiment dans la boite « attachée » au gisant de la reine.











Bon j'ai mes chaussures, mes bâtons ok je suis prêt

Heure d'arrivée place de l'Abbaye de Changé











Des pêcheurs heureux d’être là!












voyons voyons? qui a mis un pareil bizarre?












oui ok , essayez la même chose à la maison!
















nan nan c'est pas un lit d'appoint 


















voilà un endroit sympa pour un pique nique












les fleurs de genêts qui nous invite du regard












Bon pour la partie isolation, il faut prévoir de petits travaux












ah oui? ici un bocal géant pour poissons rouge












C'était une source , mais ça c'était avant
















Il faut préparer l'APN pour le déclencheur automatique












Pour la baignade, pas beaucoup de volontaires












Après la cabane roulante, la cabane tonneau












Pour le plaisir des yeux












Heuuu je passe oùùùùùùù?












Magnifique que du bonheur pour les yeux
















je "choute" chaque moment l'odeur d'Aubépine qui s'offre à moi












Vous avez la réponse?













Quizz....












Meuuuuuu nan c'est pô une plume grr
















Voilà de nombreuses directions de rando












Ok nous sommes sur le bon chemin












Elle est oùùùùùù la carriole balais pour randonneur ?












Quizz 2












Heuuu, je me laisse caresser, seulement dans le sens du poil
















Quand mon "pèrecherra" en groupe nous "percherrons " tous ensemble... boffff












Urgence: le Mans trop loin et Changé aussi allez je prends le milieu
















Quizz 3












Quizz 4












Je baisse la tête sinon il vont encore me dévorer des yeux comme un pot de rillettes
















rien à vous dire












Quand je pense au prix d'un Alpaga



L''alpaga est le plus petit des camélidés. Sa taille au garrot est en moyenne de 90cm et ne doit pas dépasser 100cm. Son corps doit entrer dans un carré (la hauteur du garrot est égale à la longueur du dos), son corps doit être entièrement recouvert de laine des pattes au bout du nez, ses oreilles sont droites et courtes. Un alpaga peut vivre jusqu’à 20 ans.
L'alpaga descend de la vigogne, il a été domestiqué par l'homme dans le but de produire en abondance une fibre fine, douce, chaude. 
Les animaux qui ne possèdent pas une laine de qualité suffisante pour êtres utilisés comme reproducteurs sont souvent destinés à vivre une vie d’animal de loisir. Grâce à leur gentillesse et à leur intelligence, les alpagas font le bonheur des particuliers. Même si ces animaux sont destinés à l’agrément, il est important qu'ils répondent le plus possible aux critères de la race.
Ces animaux peuvent aussi participer aux épreuves d'agilité lors des concours afin de démontrer que leur mental est adapté aux loisirs. Cela afin de permettre à certains éleveurs de valoriser un travail de sélection basé sur l'originalité de la robe et le mental.

Il existe deux types alpagas, le huacaya et le suri, il s'agit des mêmes animaux, seul l'apparence de la laine les différencie. Selon la taille et la qualité du poil, un alpaga produit en moyenne 2,5 kg de laine.








Superbe Tulipe à la ferme de la nature












Le jardin potager












C'est la seul fois où j'ai pas les pattes sur un tas de fumier


Comme la femme de Lot transformée en statue de sel . La silhouette de ce coq se découpe sur le ciel. Il ne meurt pas. Il est juste immobile, laissée au bord du chemin. Sa vie est terminée. Il n'en reste rien. Ou presque.la mort dans l'âme, Ce coq sera le sel de vie pour les autres.











Poussée d’orgueil ? nan poussée toute seul
















Quizz 5












Encore un dernier coup d’œil avant le retour à la ville
















Voilà voili voilou c'est la fin de notre super rando du jour












Pas un adieu à l'abbaye mais un au revoir

















 *Si vous avez constater des erreurs me le faire savoir , merci
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright et D.R (droit réservé) 
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également
Merci à tous les participants pour cette super journée journée

vendredi 17 mars 2017

Rando Alençon&Bourg Le Roi 16/03/2017

"Alençon" 61000 (Orne)
    Du 16 Mars 2017

           
Bourg le Roi (Sarthe)
Pique-Nique: St Paterne (Sarthe)
Itinéraire: Groupe Randonneur

Nombre de Participants: 58 (le matin) 
                                           54 (l'après-midi) 
Terrain: Terrain 40% goudron 60 % terre. Relief : sans difficulté, boisé
Température: 20° Super soleil et ciel bleu
Parcours Urbain: 4,5km (Alençon)
Parcours Extérieur: 9,5Km (Bourg le Roi)



Alençon au IVè Siècles est dans la seconde lyonnaise, mais à partir de 380 cette province est coupée en deux, les capitales sont Tours et Rouen sous l'autorité de 2 évêques ancien militaires.Martin et Victrice.St Victrice entretien des relations avec Ambroise de Milan.En 936 St Ambroise offre des reliques à St Victrice notamment celles de St Gervais et St Portais, les reliques sont amenés à Sées.Durant L'antiquité et la période mérovingienne ALENÇON est "MONTSORT" Alençon est capté au Xè à la suite d'un déplacement des pouvoirs sur la rive nord de la Sarthe.Le village mérovingien d'Alençon correspond à la paroisse Saint-Pierre soit "MONTSORT"St Pierre indique une église funéraire du VI ou VII , la paroisse est imposé par l'évêque du Mans A la période Carolingienne Alençon se trouve dans le cactus cénomannensis, le duché du Mans qui est en partie de la NEUSTRIE.La région subi des raids VIKING. En 911 le traité de St Clair sur Epte stipule que le Roi Carolingien cède un vaste territoire à ROLLON chef viking.En 924 S22S est revendiqué par les NORMANDS.Érigé en DUCHÉ en 1414 ALENÇON est la résidence de MARGUERITE d’Angoulême  qui a épousée en 1509 à l'âge de 17ans le Duc d'Alençon Charles IV en 1er noces.Après la mort de Charles en 1525 la bataille de Pavie Marguerite d'Angoulême Grand-mère maternelle du futur HENRI IV, Marguerite d'Angoulême Sœur du Roi François 1er s'établit après son veuvage à la cour d'Alençon où elle est demeurée après son remariage avec le Roi de Navarre.Alençon devint l'Asile des savants persécutés comme(le poète Clément Marot, Charles de Sainte-Marthe,Bonnaventure,Des Periers, Claude Gruget etc.. qui publiera son Heptaméron. La réforme protestante fut prêché en 1524 tolérante Marguerite de Valois qui permit Michel D'Arande et Pierre Caroli en 1530 un réformé Allemand qui qualifiait Alençon de "petite Allemagne".En 1529 Simon Du Bois imprime le petit catéchisme de Luther.Étienne Le Cour curé de Condé sera brulé le 21/12/1533.En 1549 le Duché d'Alençon est rattaché au domaine Royal, après la mort de François II Charles IX céda le duché à sa mère Catherine de Médicis jusqu’à 1566 date à laquelle elle le remit au Roi qui le donna à son jeune frère François âgé de 12ans.Dès le règne de Charles IX  les protestants pillent les églises NOTRE DAME, SAINT BLAISE, et le couvent l'avé Maria. Les catholiques durent s'armer pour sauver leurs vies. Pendant les guerres de religions MONTGOMERY s'empare d'Alençon qu'il quitta pour rejoindre le prince de condé à la Rochelle en 1572 Matignon empêcha les catholiques de prendre leurs revanches.C'est à Alençon que HENRI fit sa rentrée triomphale dans l'église protestante en reniant publiquement le catholicisme.Le duché d'Alençon réuni en 1584.Rançonné par le Duc de Mayenne.Le Maréchal de BIRON assigna la ville et demanda 17000écus à payé au Duc de Mayenne .En 1660 le Duché passe à Elizabeth d'Orléans épouse du Duc de Guise.En 1636 le Duché est supprimé par Richelieu et remplacé par Alençon. En 1660 la protestante MARTHE La PIERRIÈRE invente le point de France ou le POINT d’Alençon en 1665 la manufacture à laquelle COLBERT accordera un privilège de "Manufacture Royale"Alençon emploiera à l'apogée de son art jusqu’à 8000 dentelières.Lors des persécutions des protestants Elizabeth de Guise allait jusqu’à faire exhumer leurs restes et les faire jeter à la voirie. Charles I comte d'Alençon du Perche et de Chartres vendit au Roi tous les "Juifs " de ses terres pour une somme de 20000 livres petit tournois(mémoire historique d'Alençon)  . 1766-1789 Antoine Jean-Baptiste Alexandre Jullien est l'intendant d'Alençon un grand-homme et bâtisseur.A la défaite des vendéens au mans un grand nombre d'insurgés furent pris et conduit à Alençon où ils furent fusillés,plus tard la ville fut ravagée et ensanglanté par les CHOUANS, CADOUAL et de FROTTE.Le dernier fut arrêté par le général Guidal à l'hôtel du cygne avant d'être fusillé.Le 14/01/1871 Guerre Franco-Allemande le maire Eugène Leconitre s'oppose au prefet Alain Dubosct il évite la destruction des ponts et du quartier "MONTSORT" les Allemands entre dans Alençon le 16 Janvier et le quitte le 19 pour revenir le 29.Les Allemand réclame une contribution financière sinon il la livre aux pillages.Lecointre lui jette les clefs de sa maison en disant "Vous pouvez commencer par moi si vous voulez allez et pillez Messieurs la force prime sur le droit" Lecointre sera envoyè en Allemagne et libéré à CHATRES le 22 février.La ville est libéré le 7 mars. Le 12/08/1944 Venant de Champfleur la 2 DB du Général Leclerc rentre dans Alençon. Une maison situé au 33 rue du pont neuf porte une plaque.Ville libérée sans un seul coup de feu,première ville à être libérée par des forces Françaises.Alençon 3 cantons en concurrence avec le point de VENISE dès le 16è le protestant SIMON DU BOIS avec l'imprimerie la ville est très vite florissante, la famille MALASSIS fondera une grande lignié d'imprimeurs.Le tissage de la toile et du canevas de chanvre au 17è amène la prospérité.Alençon fabrique à cette époque une sorte de toile appelée "FLEURET" ou" BLANCART". Au XXè Alençon devient bastion de MOULINEX créée en 1937 par Jean Mantelet d'ou sort son fameux "Moulin Légumes".Le CHATEAU des DUCS construit sous Pierre II duc d'Alençon 1361-1404 demantelé sous HENRI IV servant de dépôt de mandicité de 1768-1824.Les bâtiments existant ne représente que le 10% de l'ensemble.Le chateau est devenu maison d'arrêt durant 39/45 de nombreuses personnes furent torturé par la gestapo.Classé monument historique en 1962.L'hôtel de ville place Foch 1783-1788 par Delarue ,la maison d'OZE du XIV modifié en 1450 Charles Valois duc d'Alençon et MARGUERITE de NAVARRE y véqurent et invite HENRIIV en 1576menasser de destruction en 1899.La halle aux blé 1811-1819 par Charles ARNOUL l'îlot aveline en 1675.L'hôtel de la préfecture de l'ORNE à l'origine un hôtel particulier 1630, Quartier Saint Léonard ou quartier des marais (quartiers des prostutuées etc..) Place de l'avoine marché du cheveaux et de l'avoine ou se trouvait la porte LANCEL une entrée de la vimlle au XVIII, ancien dépôt de mandicité par l'intendant JULLIEN en 1774 achevé en 1782 acceuillait mendiants,indigent,vagabon et filles sans moeurs géré par les religieuses jusqu'a 1971.La maison à l'ETAL  rue portte de la barre une des 5 portes de la ville au XV ,elle fut en partie abattue en 1776 mais conservé sa façade surmonté d'un auvent et le long étal d'un seul bloc de granit.Carrefour des ETAUX avec la place de la MADELEINE le carrefour de la rue au SIEURS, le café des 7 colonnes la plus vieille maison d'Alençon et se trouvait autrefois le cimetière Saint Léonard jusqu'en 1760.La grande-Rue par la place de la madeleine dont le nom provient de MARIE MAGDALA(Sainte) en 1789 s'y trouvait un cimetière.Le quartier "MONTSORT" autrfois simple faubourg doit son nom aux marécages de la rivière la Sarthe.Le café rensissance rue Saint Blaise monument hisririque construit en 1839 à l'emplacement d'une auberge atteste XVII et fermé le 23/05/2008.La basilique Notre Dame de Lorette 1680 quartier "MONTSORT" maison natal de St Thérèse (Marie Françoise Thérèse Martin) née le 2/01/1873 décédée à Lisieux le 30/09/1897 de tuberculose béatifié puis canonisé en 1925..




Découvrez la ville d'Alençon à travers un jeu de piste





























Arrivée Alençon 9h la troupe est prête à la découverte de la ville










Henri le guide du jour distribue les fascicules pour le jeu de piste











Sortez de l'office du tourisme et dirigez-vous en face jusqu'au fond du jardin.Sur votre gauche se trouve le verger du conservatoire et ses arbres fruitiers.












Place du Plenitre















































































Prenez es escaliers de la muraille et longez-la jusqu'à ce que vous ayez un bon angle de vue sur la Maison d'Ozé.Ce monument dont les origine remontent au milieu du XV,a été construit face aux remparts sur lesquels vous vous trouvez.
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Question: nom de la demeure de l'office du tourisme?











































Fontaine Place de la Magdeleine













































































Le Puits des Forges, Alençon









Halle aux toiles(1827) En 1826, le conseil municipal décide la construction de la halle aux toiles. L'adjudication des travaux est faite l'année suivante sur la base du devis établi par l'architecte Pierre Delarue
et c'est 7 septembre 1827 que Marie-Thérèse de France, fille de Louis XVI, pose la première pierre. M. le maire remet alors à Marie-Thérèse deux grandes médailles en argent, frappées à l'occasion de cet événement, portant la citation suivante : Le 7 septembre 1827, S.A.R. Madame la Dauphine pose la première pierre de la halle aux toiles d'Alençon. M. Séguier, Préfet ; M. Le Comte de Chambray, Maire, ainsi qu'un très bel écrin en velours contenant une paire de pendants d'oreilles, un bracelet, un collier et une broche en or ornés de diamants d'Alençon d'un beau noir tirant sur le violet.

En 1828, le plan de la halle est modifié pour aménager un étage destiné aux justices de paix. Mise en service en 1832, ses abords se transforment en bourbier les jours de pluie. Un mur de soutènement entourant le terre-plein est alors construit sur lequel sont fixées vingt-deux bornes de pierre surmontées de pommes en fer traversées de barres également en fer. Cet entourage est encore visible aujourd'hui excepté deux bornes qui ont disparu.En 1837, on s'aperçoit que les travaux furent effectués avec peu de soin et il faut élever huit grosses colonnes qui encombrent le grand vestibule. De nombreux travaux de consolidation auront lieu tout au long du siècle.À partir de 1850 le commerce de la toile décline et la halle est désaffectée en 1880. En 1899, le conseil municipal décide d'aménager le bâtiment en salle des fêtes. En 1904, la liste républicaine du progrès envisage sa transformation en hôtel des postes. Restaurée en 1938, elle sert un peu à tout : bals, cantine municipale, cinéma, concerts, conférences, expositions, théâtre, etc. Reprenant son nom originel en 1991, elle est restaurée en 1993-1994 et équipée d'un matériel audiovisuel afin de l'utiliser comme salle de congrès.((Alain Champion, Éditions Cénomane, 2003).)

























Construction de ce monument en 1909










































































Place de l'Avoine ou un maître d’œuvre à réalisé cette fontaine Polygonale: J.J Ducel


































Passage Jean Ernandes













En fond l'ancien collège des jésuites fondé en 1623 architecture jésuite et baroque du début du XVIII,cinquante ans après leur installation les jésuite vont reçoivent en héritage un hôtel qui va devenir leur collège.En 1762 les jésuite sont chassé de France, l'établissement sera confisqué, après la révolution il devient successivement une école centrale, une école secondaire,un collège royal sous la restauration , un lycée avant de devenir un ensemble culturel.












Rue du collège la bibliothèque:
 L’église des Jésuites, construite à la fin du 17e siècle, est un édifice remarquable par sa charpente, dite à l’impériale couronnée d’un campanile hexagonal. Les livres confisqués pendant la Révolution française furent entreposés dans ce lieu de culte, désaffecté depuis le départ des Jésuites en 1762, pour servir de bibliothèque à l’école centrale de l’Orne dès 1799. La même année, l’architecte Jean-Baptiste Delarue aménage l’édifice en séparant la nef transversalement, avec au rez-de-chaussée une salle nommée aujourd’hui salle du collège, et à l’étage la salle de la chapelle. Dans cet espace, l’architecte aménage les remarquables boiseries de chêne du 18e siècle et quatre colonnes de marbre provenant de la chartreuse du Val-Dieu (Perche). Administrativement, la bibliothèque municipale d’Alençon est créée en 1803 par arrêté du gouvernement confiant à la ville la préservation des collections.....


























De la cour on peut apercevoir la "girouette" sur le centre de la cour carrée de la dentelle














Rue du collège Le globe terreste qui n'est autre qu'un cadran solaire































































la place Foch l'hôtel de ville avec de chaque côté de l'horloge des écussons figurant un aigle à deux têtes, cet aigle dit "bicéphale" symbolise la ville d'Alençon?
L'hotel de ville(1783) fut réalisé par Jean-Baptiste Delarue dans le style Louis XVI .










Le grand escalier de l'hôtel de ville
















Léon de Sicotère 1812-1895:
en 1834, il endossa, à l’âge de vingt-deux ans la profession d’avocat au barreau d’Alençon, dont il fut élu bâtonnier,La Sicotière se passionna pour l’histoire et c’est dans la rédaction de nombreux ouvrages d’érudition que réside sa célébrité. Son titre de gloire en tant qu’historien est d’avoir jeté une lumière qui n’existait pas avant lui sur la mystérieuse histoire du jeune Louis XVII avec son Louis XVII en Vendée. La Sicotière fonda, en 1881, de concert avec l’archiviste du département Louis Duval la société historique et archéologique de l'Orne














la Briante cours d'eau de la ville d'Alençon























































Place Masson la Halle aux blés,A partir de 1865 les Alençonnaises donnent le surnam à ce monument de "la crinoline d'Alençon,parce qu'elle rappelle l'armature bouffante placée sous les robes
 Construite à la fin du XVIIIe, début XIXe, la Halle au Blé d'Alençon est ouverte au commerce des grains en 1812. Le bâtiment, circulaire, est couvert d’une coupole installée en 1865, imitée de la Halle au Blé de Paris.Au XXe siècle, elle connaît de multiples affectations : hôpital pendant la Première Guerre mondiale, elle devient le lieu de nombreux événements : foires, marchés, expositions…Inscrite aux Monuments historiques en 1975, la Halle au Blé d'Alençon est entièrement réhabilitée et mise en lumière en 2000.La Halle au Blé est aujourd’hui un bâtiment dédié au multimédia accueillant, notamment l’Echangeur de Basse-Normandie, centre de veille au service des nouvelles technologies. Elle accueille également la Cité des Métiers.










La halle au blé (1801) Elle était vouée au commerce du grain ,entièrement circulaire et munie d'une coure intérieure, elle est faite de granit.En 1865 elle est surmontée d'une coupole de verre lui donnant un cachet, aujourd'hui elle est dédiée aux nouvelles technologies

















Place Masson sur ce cours d'eau aurait existé une tannerie?
















                                                                      
Rue des filles-de-saint-claire se dresse le château des Ducs (présent dès le XII et reconstruit entre le XIV et le XV.











Fais du feu dans la cheminée je reviens chez nous..














































ancien couvent des sœurs de la Miséricorde,

































Rue des Marais entre le N°1 et 30 , un petit corps de bâtiment à pans de bois se tient au-dessus d'un mur sur la droite en quelles matériaux composent cette construction?
Brique,bois,ardoise,céramique?
Brique,bois,tuile,céramique?
Brique,bois,tuile marbre ?





























Cour Jacques-René Hébert, né à Alençon en 1757, ce révolutionnaire,fondateur du journal le père Duchesne,participe en 1793 au procès de Marie-Antoinette, en tant que substitut du procureur de la commune de Paris.Alors qu'il dénonce la modération de Robespierre, ce dernier le fait arrêter et exécuter en 1794.Au fond à droite de la cour,vous trouverez le passage couvert qui vous permet d'accéder à la cour Dauphin et de revenir dans la Grande-Rue.Découvrez,au 150 la maison aux piliers(XV et ses arcades ogivales en granit.Au N°137,une maison à pans de bois du XV abrite un passage couvert ouvrant sur la cour Cochon-de-Vaubougon.Dans celle-ci remarquez la tourelle entièrement recouverte de bardeaux de bois.














Rue de l'ancienne-mairie et sur la rue Bonnette, aux 21,23, et 25 se dresse une maison en bois.Au moyen âge les incendies étaient fréquents,dans chaque rue il y avait une pompe à incendie














En sortant de la rue Sarthe rejoignez la Grande-rue, à droite .au 137 accédez à la cour Cochon-de-Vaubougon. L'animal exotique (un oiseau)



























L'hôtel-Dieu, qui au Moyen Âge accueillait et soignait gratuitement les malades les plus pauvres, les riches étant soignés chez eux, était situé au n° 24 de la rue de Sarthe. Son existence est attestée en 1204. D'abord installé vers la place du Champ-du-Roy, probablement à la fin du XIIe siècle, il est rasé le 3 avril 1358, pendant la guerre de Cent Ans (1337-1453), pour des raisons stratégiques. . En effet, les Anglais pouvaient s'en emparer et l'utiliser comme poste avancé. L'institution est alors transférée dans l'enceinte de la ville sur l'emplacement actuel du centre hospitalier. À cette époque, elle est surtout composée d'une grande exploitation agricole dont les bâtiments abritent un orphelinat pour les enfants trouvés. Arnaud Émile, dans sa maîtrise sur les origines de l'hôtel-Dieu, nous apprend "que les personnes âgées assuraient leurs vieux jours en se "donnant" à l'établissement et s'y installaient avec leurs meubles et leurs biens".C'est Élisabeth d'Orléans, cousine germaine de Louis XIV, duchesse d'Alençon de 1667 à 1696, qui est considérée comme la véritable fondatrice de l'hôtel-Dieu par les développements qu'elle lui donna et les réformes qu'elle y réalisa. Le 24 septembre 1676, elle fait venir des sœurs de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul - elles y resteront jusqu'en 1965 - puis elle fait partiellement reconstruire l'édifice en 1679, bâtir la chapelle Saint-Jean en 1691 et refaire la façade en 1693. En 1789, l'hôpital général, dont la première pierre avait été posée le 12 avril 1728 suite à une décision de Louis XV de 1724, est réuni à l'hôtel-Dieu. L'ensemble prendra le nom d'hospice, puis d'hôpital et enfin de centre hospitalier. Il fut utilisé comme hôpital militaire pendant l’occupation . La chapelle St Jean 
La chapelle principale a été bâtie à l’intérieur de l’enceinte fortifiée, près des murailles et de la porte de Sarthe. Dès le Moyen-Age, elle est dédiée à l’apôtre saint-Jean. Au XIIIe s., deux chapelains la desservent.Isabelle (ou Elisabeth) d’Orléans (1646-†1696), entreprend de redresser l’hôpital. Elle le dote d’un nouveau règlement et y établit la congrégation des filles de Saint-Vincent-de-Paul en 1676\. Ces dernières serviront l’établissement jusqu’en 1965, soit pendant près de trois sièclesEn 1691, la chapelle Saint-Jean est détruite puis reconstruite sur le même emplacement en 1693\. Elle est dédiée à saint Jean et à saint Louis. La duchesse de Guise est l’une des principales bienfaitrices de l’hôpital. Dans son testament, elle lègue à cet établissement sa maison (actuelle préfecture) et ses meubles.En 1724, Louis XV ordonne la construction d’un hôpital général à Alençon. Il est construit à côté de l’hôtel-Dieu. Le 14 août 1725, un règlement royal est établit. Pendant plusieurs années, ces deux structures vont coexister. Elles sont desservies par le même personnel et suivent le même règlement, mais elles ont des biens et un budget différents. Ils ne seront réunis qu’en l’an IV (1796).























Vous êtes face à la basilique (Basilique depuis le 10 Aout 2009 par Benoit XVI) Notre Dame Grande-Rue .Parmi les sculptures un personnage tourne le dos "Jean" La basilique Notre-Dame (fin XIV-XVIII) la foudre ayant détruit la moitié en 1744,elle fut en partie reconstruite.Elle présente donc plusieurs styles architecturaux différents.Sa construction aurait commencée par Charles III Duc d'Alençon pendant la guerre de cent ans 1356,pour se terminer au  XIX.Les parents Louis et zélie Martin se marient le 13 juillet 1858.Sainte Thérèse reçoit le baptême le 4 janvier 1873,béatification du couple Martin 12 Octobre 2008.Style Gothique  avec une nef de cinq travées du  XV, architecte Jean-Rodolphe Perronnet  et le triple portail Jean Lemoine.










L’imposante église Notre-Dame a été construite à l’emplacement d’un ancien prieuré du 12ème siècle, déjà dédié à Notre-Dame de l’Assomption. La construction a commencé à la fin du 14ème siècle. Interrompus par l’occupation anglaise de 1417 à 1449, les travaux ont repris en 1470 pour s’achever au début du 16ème siècle. L’édifice a été bâti d’abord dans le style gothique classique puis, à partir de 1500, dans le style gothique flamboyant, comme en témoigne la richesse des sculptures de la façade, au-dessus du porche de la Transfiguration. La nef à cinq travées s’élève sur trois niveaux, avec un triforium et des fenêtres hautes. Les chapelles sont construites vers 1500 entre les contreforts. En 1744, le chœur et la tour au-dessus de la croisée de transept sont détruits par un incendie provoqué par la foudre. Ils seront reconstruits entre 1745 et 1762. L’édifice a beaucoup souffert d’abord des guerres de religion puis de la révolution. Heureusement les magnifiques verrières des fenêtres hautes qui datent du début du 16ème siècle, ont été préservées. L’édifice a été restauré dans la seconde moitié du 19ème siècle. Le porche et le portail ont été restaurés en 2002 et la nef en 2005. A noter, outre les magnifiques vitraux du 16ème et d’autres plus récents, la chaire de 1536









La chaire (1536)
Elle présente les particularités d’être une cuve en pierre sculptée, et d’être accessible par un escalier creusé dans un pilier. Le dosseret et l’abat-voix de bois sculpté sont aussi des témoins des aménagements liturgiques du 18e siècle.
Comme la plupart des vitraux des fenêtres hautes de la nef, elle fut réalisée à l’époque du gouvernement du duché par Marguerite de Navarre, sœur du roi de France François I°. Par son programme iconographique, cette chaire témoigne de la redécouverte évangélique de la Renaissance, à un moment de riches débats théologiques qui conduiront certains à la Réforme.
Le premier pan de la cuve fait allusion à la Sagesse de l’Ancien Testament figurée par une image du roi Salomon présentant un passage du livre des Proverbes.
Le deuxième pan représente la victoire du Christ sur le pêché et la mort : il est venu accomplir les Ecritures. Sur les deux autres pans, expriment le temps de l’Eglise avec une représentation de l’apôtre Jean à Patmos citant un passage de sa deuxième épître puis de saint Paul désignant un extrait de son épître aux Romains.






ORGUE D'ALDOSSO
Il est fait mention d'un orgue dans l'église dès 1506/1508.En 1537, un instrument neuf est commandé aux facteurs Simon LE VASSEUR et Gratien de CAILLY. Le buffet remarquable est l’œuvre du menuisier Jehan de Maton et c’est ce buffet, chef d’œuvre de la Renaissance française, que nous pouvons admirer aujourd’hui, restauré dans ses couleurs claires d’origine,De 1652 à 1657, le facteur Jacques VERDIER du Mans (Sarthe) restaure l’orgue.
En 1804 et 1805, le facteur Charles de MOMIGNY de Châteaudun (Eure-et-Loir) effectue des réparations suite aux dommages causés par la révolution.En 1862, le buffet est classé aux Monuments Historiques.En 1873 et 1874, les frères DAMIENS, facteurs d’orgues installés à Gaillon (Eure) restaurent, voire même reconstruisent l’instrument, dans un style évidemment bien différent.En 1944, l’orgue a énormément souffert des bombardements alliés.En 1950, l’instrument est reconstruit, à l’économie, par la maison Charles MICHEL-MERKLIN de Lyon et inauguré par Marcel DUPRE.A la fin des années 1960, l’orgue est endommagé par les travaux de restauration de la voûte et en 1976 il devient muet.En 2008, la ville d’Alençon a approuvé le projet de restauration du buffet historique et de la reconstruction d’un instrument neuf.En 2012, le contrat de ces travaux a été confié au facteur Jean DALDOSSO de Gimont dans le Gers, sous la supervision de Thierry Semenoux, technicien-conseil du Ministère de la Culture.De 2014 à 2016, le buffet a été entièrement démonté et restauré dans les ateliers de Gimont. Les couleurs d’origine, telles qu’elles figurent au contrat de 1537, ont été rétablies.DALDOSSO a construit un orgue entièrement neuf. Ce n’est ni un instrument baroque ou classique, ni un instrument romantique ou symphonique, ni un orgue néo-classique du 20ème siècle… Il s’agit d’une véritable création contemporaine, digne du talent du facteur gersois, connu pour ses nombreuses et excellentes réalisations.L’instrument a 33 jeux réels sur trois claviers et pédalier, avec une transmission mécanique des claviers et électromécanique des jeux. La disposition sonore permet l’interprétation des différents répertoires, du 17ème au 21ème siècle.L’instrument a été inauguré par un récital de Thomas OSPITAL, titulaire de St Eustache à Paris, donné le 1er septembre 2016..Les éloges qui ont été nombreux au récital d’inauguration sont plus qu’encourageants et récompensent la détermination des acteurs de cette résurrection et le travail exemplaire de Jean DALDOSSO. Cet instrument est appelé à participer au rayonnement culturel et touristique de la cité d’Alençon















































La robe de baptême de Sainte Thérèse .















Les lavoirs d'Alençon une curiosité à ne pas manquer






































Circuit par les portes et remparts:

Le village est mentionné pour la première fois dans les textes en 1154 C'est un domaine  du Mans qui semble exister au début du XIIe siècle, même si quelques tessons remontant au haut moyen âge  ont été découverts dans le cimetière. À la fois village et commune, cet ancien chef-lieu de canton est intégralement compris dans une enceinte de murailles dont il reste d'importants vestiges au nord et au sud. Le caractère fortifié tient également aux deux portes médiévales de la ville. L'habitat est surtout composé de maisons anciennes rénovées, au milieu de jardins arborés. L'ensemble du site a été inscrit à l'inventaire supplémentaire sur les monuments historiques

Étendu sur à peine trente-six hectares, Bourg-le-Roi, dans le nord de la Sarthe, est l'une des plus petites communes de France. Seulement 170 maisons, certes, mais un passé glorieux. Bourg-le-Roi fut choisi par Henri II Plantagenêt  roi d’Angleterre et d'une grande partie de l'Aquitaine et de la Normandie comme place d'observation. Le hameau se situait en effet sur une voie de passage entre le Mans et Alençon  centres économiques importants. Au XIIe siècle, des fortifications furent donc érigées,
Au XIXe siècle, une industrie de Broderie d'art fut fondée. Elle a fermé ses portes


Porte St Rémy

Tous les quatrièmes dimanches de juin, les habitants organisent une grande fête médiévale qui réunit entre 2 000 et 2 500 visiteurs. Les participants sont costumés et certains endossent de lourdes armures. On voit arborer de la dentelles « maison ».













Eglise Saint Julien
C'est en 1853  que s'installe à Bourg-le-roi un atelier de broderie qui compta jusqu'à soixante ouvrières pendant que d'autres travaillaient à domicile. D'autres ateliers furent créés par la maison Boulard dont les principaux au Mans et à Noyen S/Sarthe.Musée de la broderie et du point de Beauvais : fresque de 12 mètres brodée au point de Beauvais retraçant la vie de la cité (de 50 av. J.-C. à 1450 apr. J.-C.), exposition de vêtements ecclésiastiques, de tableaux, linges et vêtements brodés, de dessins de Bourg-le-Roi et son patrimoine architectural.







Puisque je vous dis que c 'est "pô" les toilettes...




















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Sa fondation qui remonte au XVIème siècle aurait été décidée par Dyonise de Tisiou, épouse de Jacques de Maridort, seigneur de Bourg-le-Roi. Mais, étant donné son emplacement, il pourrait s'agit d'une reconstruction sur l'emplacement de l'ancienne chapelle castrale.
L'édifice de plan rectangulaire est éclairé par la fenêtre de façade. La chapelle comporte une autre ouverture à l'arrière, bouchée en 1764, mais qui, à l'occasion de la restauration de 2000, a été réouverte et ornée d'un vitrail contemporain.
Elle est consacrée à saint Mathurin qui, au Moyen Âge, était souvent invoqué pour ses dons de guérison.

Rarement ouverte, à l’occasion des journées du patrimoine, d’expositions ou de petites cérémonies, cette chapelle renaissance possède un beau mobilier; deux statues, Saint Mathurin le guérisseur en bois polychrome du 16ème ou 17ème , vocable de la chapelle et de la porte de la ville adjacente et Sainte Emérentienne en terre cuite du 18èm e , encadrent l’autel, un peu plus bas une vierge à l’enfant ; cet autel présente un antependium brodé en point de Beauvais entre deux montants aux armes de Maridort. Un blason en haut de la voûte, partiellement effacé porte également ces armes, Dyonyse de Maridort ayant fondé cette chapelle ouverte en 1575.





Porte Saint Mathurin:















Toujours un puits sur nos parcours pour étancher notre soif






















le ruisseau le "Rabour"




























Location d'un petit studio à ossature bois ,orientation plein sud.


La fontaine tonneau










Un gîte au milieu de nulle part












Chérisay:
L'église
Ses les origines remonteraient au XIe siècle. Elle présente un plan simple à nef unique avec un clocher en batière.









Dernier effort on arriveuuuuu














































le comité des fêtes organise les premières courses d'ânes à Cherisay à l'occasion de la saint Denis en Octobre 1979



























Le lavoir communal 

Alimenté par la source du ruisseau de Rabours, il a été construit au XIXe et est constitué de deux bassins, l’un servant d’abreuvoir aux animaux, l’autre étant utilisé pour le lavage notamment des toiles produites par les tisserands du village dont on aperçoit quelques maisons encore aujourd’hui. Sur la commune sont encore visibles deux moulins, dont celui de Rabours. Ce sont des moulins à blé qui remonteraient au Moyen Age













































































Le retour sur Bourg -Le-Roi


Si vous avez constaté des erreurs dans les textes où illustrations me le faire savoir merci à tous.
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright et D.R (droit réservé) 
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également

 Merci à Henri pour ses précieux commentaires et à tous les participants pour cette journée