vendredi 25 mai 2018

Rando Malicorne "Maussidé" 24/05/2018


Malicorne"Maussidé": Jeudi 24 Mai 2018

 Itinéraire: Repérage "Marche Soutenue"©
Nombre de participants: 
Terrain:  Bitume +chemins
Temps: Très  Ensoleillée
Départ: Le Port

Stationnement: Face au Château
Durée: 1h46mn7s
Parcours: .9 km au GPS
Difficulté: Facile.
Dénivelé positif:+171m
Dénivelé négatif: -175m
Point Haut: 126m
Point bas: 67m
Départ : 14h45mn
Balisage:
Jaune fluo
 Températures: 25° chaudddd

 Résumé Photos : De notre repérage sur la commune de Malicorne

 Voilà le résumé photo de notre journée repérage en "Marche Soutenue©"










 Historique de Malicorne:
Malicorne-sur-Sarthe est  peuplée de 1 912 habitants (les Malicornais).
Elle est particulièrement connue pour ses Faïences et titulaire du label Ville et Métiers d'Art.
Le toponyme est attesté sous les formes Malocornu vers 1050  Malecornant vers 1050, Malicorni en 1080-1081 Il est issu d'une expression en ancien Français  « mal y corne », qui était utilisée pour décrier une bâtisse (moulin, château…), pour signifier soit qu'elle était mal en point, soit qu'on n'y était mal reçu.
En 1933  Malicorne prend le nom de Malicorne-sur-Sarthe La rivière borde le territoire au nord..

Un château, édifié au début du XIe siècle, au temps du comte D'Anjou Foulque Nerra s'élevait au bord de la Sarthe  dont il surveillait la navigation. Cette forteresse servit d'abord pour protéger L'Anjou  avant d'avoir pour rôle de garder les portes entre Anjou et Maine.
Malicorne faisait partie de la Sénéchaussé Angevine de la Flèche et de l'ancienne province D'Anjou. Sous L'Ancien Régime  et jusqu'à la Révolution Française  Malicorne dépendait de la Flèche.
Au XVII la Marquise de Sévigné  y rendait visite à la marquise de Lavardin.
Au XVIII le château appartint notamment au Duc de Choiseul.
Lors de la révolution Française  la commune fut, comme toutes celles de la sénéchaussée de La Flèche, rattachée au nouveau département de la Sarthe. En 1801 lors du Concordat la paroisse fut détachée du Diocèse d'Angers pour celui du Mans.
À partir de la fin du XVIIIe siècle, Malicorne développa une intense activité Faïencière avec plusieurs manufactures renommées, dont la première est fondée en 1747 Cet ensemble industriel composé à l'origine de 2 ou 3 bâtiments artisanaux, se manifeste, à cette époque et postérieurement à sa création, comme étant « le plus grand centre de Céramique Sarthois.Vers le milieu du XIXe siècle, en parallèle de la fabrication d'objets en faïence, le pôle manufacturier malicornais se diversifie et s'oriente dans un second secteur d'activité. Il ouvre ainsi les portes de deux nouveaux ateliers, l'un situé au Lieu-Dit des « Sablons » l'autre sur celui de « Chardon », et destinés à la confection de Poterie en grès.
 Ce bâtiment, inscrit à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques, était auparavant une demeure de chasse. Il appartient à la même famille depuis 1840, celle du maréchal Oudinot. Illustre guerrier, ce dernier a été blessé plus de trente fois sur le champ de bataille, notamment sous le commandement de Napoléon 1er.La visite du château est assurée par les membres de la famille Oudinot. Elle débute avec le hall, où comme partout à Malicorne, la faïencerie n'est pas très loin. L'entrée comporte plusieurs pièces anciennes, dont certaines offertes au maréchal Oudinot comme cadeau de mariage. L'un des présents, représentant les travaux d'Hercule, est un hommage à la bravoure du maréchal. Au sol, le marbre est issu de Sablé-sur-Sarthe et de Solesmes.Après y avoir vécu pendant près de deux siècles, les propriétaires ont apporté quelques modifications au château. C'est le cas, par exemple, de la bibliothèque, qui était autrefois une salle de divertissements typique des rendez-vous de chasse, comportant notamment un billard.Situé sur les bords de la Sarthe, le village de Malicorne a connu 3 châteaux successifs, qui six siècles durant,  seront transmis par voie successorale à 3 grandes familles : les Chaources jusqu’en 1609, les Beaumanoir de Lavardin jusqu’en 1703 et enfin les La Châtre jusqu’en 1792.Bordé par un parc (voir gravure si dessus) créé à l’époque des Beaumanoir de Lavardin  par un des élèves de Lenotre (jardin de Versailles), le château reçoit alors des hôtes prestigieux notamment en 1614, Louis XIII et Marie de Médicis qui firent étape à Malicorne. Le château est mis aux enchères en 1792 et acheté par Antoine de Choiseul Praslin qui, assis sur les vestiges du second château,  fera bâtir le troisième  édifice, rendez-vous de chasse à partir de 1798. Revendu 1804, le château va passer entre les mains de plusieurs propriétaire avant d’être acheté en 1850 par  Joseph Cuiller Perron et son épouse Caroline Oudinot, fille du maréchal du 1er Empire, Nicolas-Charles Oudinot.Le château de Malicorne, propriété de la même famille depuis 1850, est ouvert aux visiteurs chaque année depuis plus de 15 ans aux groupes sur rendez-vous d'avril à septembre et pour les visites individuelles aux mois de juillet et août de 10h à 19h du mercredi au dimanche ainsi que pour les journées du patrimoine. Toujours en lien avec la vie du village, le château et ses propriétaires participent tout au long de l'année aux différents manifestations culturelles qui animent la cité sarthoise...
Le château de Malicorne, propriété de la même famille depuis 1850, est ouvert aux visiteurs chaque année depuis plus de 15 ans aux groupes sur rendez-vous d'avril à septembre et pour les visites individuelles aux mois de juillet et août de 10h à 19h du mercredi au dimanche ainsi que pour les journées du patrimoine. Toujours en lien avec la vie du village, le château et ses propriétaires participent tout au long de l'année aux différents manifestations culturelles qui animent la cité sarthoise
Château de Malicorne, rue Sévigné. Visites, jusqu'au 23 août, du mercredi au dimanche, de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h. 4,50 € pour les adultes, 2 € de 12 à 18 ans. sources: Ouest France &Université du Mans.






Départ de notre Reconnaissance de notre "Marche Soutenue©"

Moulin à Couleurs  du XVIIIe siècle(Un moulin à laitier est un Moulin  destiné au Broyage des résidus et le Laitier  (scories de forges ). La poudre obtenue est utilisée comme Oxyde métallique dans les Glaçures céramiques) , et deux Moulin à Farine  de 1831.



Ici le départ de vos loisirs nautique.

La place du Port de Malicorne.






Un itinéraire sympa pour les VTT.
Le Joyaux de Malicorne "la Faïencerie" de réputation internationale .



Eglise Saint Sylvestre du XIe siècle, classée au titre des  Monuments Historiques .Le tombeau, du XVe siècle, d'un seigneur de Malicorne, de la famille de Chaources (ou de souches), un Retable du XVIIe siècle, deux sculptures en terre cuite dont une Pieta du XVIe siècle et quelques autres œuvres sont classés au titre d'objets.























Ayééééé Nous voilà parti...









Le Château de Malicorne du XVIIIe siècle, (visitable du 1er juillet au 31 août), inscrit au titre des Monuments historiques. D'architecture du XVIIIe siècle, avec toitures de type Mansart (architecte Français) ,il renferme un christ en croix, classé monument historique au titre d'objet









Le Pont du Château












Rond point de la rue de Sévigné


Croix de Mission ? :
La croix celtique ou croix nimbée est une croix dans laquelle s'inscrit un anneau. Les branches de la croix dépassent toujours de l'anneau, et sur les représentations les plus détaillées, le cercle est en retrait par rapport à la croix.
Les croix celtiques sont souvent ornées d’entrelacs, de nœuds, symboles de vie, mais aussi des représentations du serpent, symbole de renaissance.Le dessin de la croix celtique remonte très loin dans le temps comme en témoignent les rouelles de l'Âge de Bronze (ci contre). Il se retrouve aussi bien dans le tracé des camps vikings que dans celui des populations indiennes de l'Amérique du nord.
Ces symboles, appelés roues solaires, apparaissent dès le néolithique (6000 av. J.C.) et dans des Gravures rupestres de Suède.
Un symbole graphiquement semblable a aussi été utilisé dans d'autres traditions non chrétiennes. On le retrouve chez les Indiens des plaines d'Amérique. Il était très couramment utilisé et servait à orienter l'espace avant chaque cérémonie, comme l'explique Élan noir dans: Rites secrets des indiens Sioux, Le mail, 1992.

La forme la plus connue de nos jours reste néanmoins la croix celtique ornée d'entrelacs. Dans le dessin des entrelacs, les “nœuds” correspondent à autant d'états ou de modalités d'un état que l'être doit parcourir avant de rejoindre les états supérieurs ou le Centre.
Sa dénomination découle principalement de son apparition dans les contrées celtiques britanniques entre le VIIe et le IXe siècle, notamment au pays de Galles, en Écosse et en Irlande. Elle est le symbole caractéristique du christianisme celtique.
 La croix est l'un des symboles fondamentaux de l'humanité et cela bien avant l'arrivée du christianisme.
Les chrétientés Celtiques d'Irlande ont, dès le IIIe s, développé le symbolisme de la croix cerclée, synthèse intime et parfaite entre la tradition Celtique et le christianisme.
La croix celtique se retrouve dans beaucoup d'endroit (essentiellement des cimetières) car le christianisme a récupéré au travers de la croix chrétienne (croix simple) une partie de la symbolique "païenne".

L'utilisation chrétienne combine une croix latine (croix à jambe inférieure plus longue que les autres) avec le cercle, tandis que les autres utilisations (symboliques, politiques, etc.) sont basées sur une croix régulière (chaque branche de la croix a une longueur identique).Beaucoup de croix en pierre avec un cercle en son centre ont été érigées dès le début du VIIe siècle en Irlande et sur l'île de Bretagne (aujourd'hui "Grande-Bretagne"). Hormis l'Irlande, on en rencontre donc en Écosse, au Pays de Galles et en Cornouailles, bien que dans cette dernière région, le modèle de croix diffère, le cercle étant généralement plus large que la croix.
Les plus connues sont celles d'Irlande, avec la croix de Kells (comté de Meath) et celle de Monasterboice (comté de Louth), ou Clonmacnoise, qui est probablement la plus ancienne, même si la date exacte où ces croix ont été érigées n'est pas connue avec précision.
On en trouve également en Bretagne et d’autres contrées de France.Dans la symbolique celtique:
Trois cercles sont représentés signifiant les différents niveaux de l’univers :
- le chaos/ l’Incréé de l’Univers/ la Source, ou cercle divin (Keugant)
- le monde terrestre/ expérience humaine ou cercle des migrations (Abred)
- la lumière/ le cercle final ou cercle de la Lumière blanche (Gwenwed)

C’est le parcours symbolique de l’âme qui est ici représenté.
L’âme doit accéder à ces différents niveaux afin de monter vers le niveau suprême (Gwenwed). Il s’agit d’une représentation de l’expérience humaine, de ses embûches, réussites et expériences. Si l’âme ne peut pas accéder au niveau suprême, elle peut demander à revenir dans le Keugant et d’attendre de se réincarner dans une autre vie, un autre corps pour mieux accéder au niveau suprême.

Gwenwed est le monde éternel où le temps et le changement sont «suspendus». Il représente le 5ème élément, l’Ether, la lumière divine.
Les 4 branches de la croix représentent les 4 éléments: Eau, Air, Feu, Terre avec une représentation végétale (Gui, Trèfle, Epi, Gland), solstices et équinoxes, les quatre saisons et aussi la division Celtique traditionnelle d'un territoire en quatre.
Le centre est un lieu de passage et de communication symbolique entre ce monde et l'autre, les entrelacs, présents sur les pieds des croix, expriment le mouvement sans fin de l'évolution et de l'involution des faits cosmiques et humains.

Un 4ème cercle, représentant le monde souterrain ou l’enfer celte, le cercle d’Annoum ou Anwn, vient s’inscrire sur le cercle d’Abred aux intersections avec la croix, donnant 8 petits cercles entourant le cercle central, Gwenwed. Il s’agirait d'une représentation du système solaire: le Soleil au centre et huit autres planètes: Mars, la Lune, Mercure, vénus, Jupiter, Neptune, Saturne, Uranus. (Interprétation moderne de la croix).
Il convient donc de rappeler que la croix celtique est un résumé de la cosmogonie celtique, un symbole celto-chrétien propre aux nations celtes et une expression de l’esprit de celles-ci.
Elle ne peut en aucun cas appartenir à des groupes ou des individus n’ayant aucun lien, ni culturel ni national, avec la celtitude. sources:Triskèl.







Nous sommes sur le bon chemin....















 Un parcours ludique sur la flore de la région.













La preuve que nos poulets sont élevés en plein air.....

Couple d'Australiens (super sympa) sur notre parcours de reconnaissance.













Chalut euhhhh cha va ??? 



gentil coquelicot. 
 J’ai descendu dans mon jardin (bis)
Pour y cueillir du romarin

Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau


Un rossignol vint sur ma main
Il me dit 3 mots en latin

Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau

Que les hommes ne valent rien (bis)
Et les garçons encore bien moins

Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau

Des dames il ne me dit rien (bis)
Des demoiselles beaucoup de bien

Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau....








Après notre effort de "Marche Soutenue©" le réconfort. 


 Place de commémoration du Général De Gaulle.








La Gare de Malicorne Aujourd'hui.



Gare de Malicorne hier...

POUR CEUX QUI AIMERAIENT FAIRE CETTE RANDO JE SUIS A VOTRE DISPOSITION:
Captures Photos petit APN de poche.
 *Si vous constatez des erreurs me le faire savoir , merci
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright (Busson J.G)et D.R (droit réservé) 
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également

Copyright "marche soutenue" Busson Jean-Guy