"Rando de Noël "
Jeudi 14/12/2017
"Les Parcs du Mans Est "
Itinéraire: Groupe randonneurs
Nombre de participants: 57
Terrain: Bitume +Parcs
Temps: Temps pluie -7°
Départ: Quai Louis Blanc
Stationnement: Parking Quai Louis Blanc
Durée: 2H40mn11s
Parcours: .8,2km au GPS
Difficulté: Facile.
Dénivelé positif:+340m
Dénivelé négatif: -343m
Point Haut: 164m
Point bas: 80m
Départ : 13h58mn
Balisage: Jaune
OUI, je confirme
"le Père Noël" Existe bien, pour ce mettre en forme il à participé à notre rando de Noël
La "Mère Noël" était là aussi frigorifiée par une pluie très froide et soutenue.
Rassemblement de tous les participants à la "Rando de Noël" sur le parking du quai Louis Blanc
Un "père Noël" arrivé tout droit de la Martinique à lui aussi participé à notre Rando, euhhh il était "gelé"
Nous sommes à la "Psalette St Vincent" angle de rue du tertre st Vincent Le mans
Pour l'enseignement catholique privé, l'établissement secondaire Collège Privé, Ses 300 élèves y poursuivent leurs études de la classe de 6ième à la 3ième selon des programmes établis Sous-contrat d'association.
Ayé, nous pénétrons dans "le parc Bajan" Un jardin tout en relief, à deux pas du centre-
Le parc est équipé de jeux à destination des enfants de 3 à 12 ans. Une remise en forme vous tente ? Des équipements de fitness sont à votre disposition.
Pour votre confort, vous trouverez des sanitaires sur place.
Pour votre confort, vous trouverez des sanitaires sur place.
Magnifique parc pour se détendre ou pique niquer en famille
Le petit Pont de bois cher à Yves Duteil, tu te souviens du pont
qu'on traversait n'aguère
pour passer la riviere
tout près de la maison
le petit pont de bois
qui ne tenait plus guere
que par un grand mystere
et de piquets tout droit etc...
qu'on traversait n'aguère
pour passer la riviere
tout près de la maison
le petit pont de bois
qui ne tenait plus guere
que par un grand mystere
et de piquets tout droit etc...
S.O.S Un père Noël en détresse???
Non le reflet de son gilet
Par ce temps maussade pas de pichounets sur les jeux ...
Cet abris est le bienvenue par temps de pluie, des toilettes aménagées et propres dispo en cas d'urgence.
Nous continuons sur un balisage Jaune notre randonnée très humide
Mère Noël en reporter photo souvenirs
Notre père Noël de Martinique arrive toujours pas à ce réchauffer ..... brrrrrrrr fait froid il cailleuuuuuuu
Nous sommes rue des Fontenelles
école maternelle des Maillets
Une maison très bien décorée aux couleurs de Noël
Nous sommes rue du docteur Mordret , nous allons traverser notre deuxième parc
Voilà nous pénétrons dans le parc "Verdigné"D'une superficie de 2,5 hectares, le parc de Verdigné est situé das secteur nord-
Balançoires pour nos tout "piti" de 1 à 12ans.
Les jeux sont INTERDIT pour les adultes et même pour les Pères Noël
Une magnifique maison avec vue sur le parc , l'été c'est le paradis....
Ici aussi le paradis pour nos enfants et petits enfants
"La Fontaine Saint Aldric"
SAINT ALDRIC, ÉVÈQUE DU MANS. l'an 856. Aldric naquit en l'aH 800 , sous le règne de Charlemagne
L'aqueduc romain qui partait du lieu dit les Fontenelles, commune de Sargé, traversait plusieurs pièces de terre, pour arriver au Mans proche la fontaine Abel, il continuait sur l'emplacement de l'ancienne église de Gourdaine et aboutissait sous les murs de ville, non loin de la tour de la Madeleine, pour procurer l'eau aux vastes salles de bains publics établis dans le voisinage. Les paysans lui donnent le nom de chemin des Fées. L'aqueduc Saint-Aldric, prenait naissance à l'endroit dit les fontaines située dans la vallée d'Isaac ,tout près de la ville .Après avoir traversé les bordages des pompes et de la rivière (parcours sur lequel ,il existe sept regards en maçonnerie encore visible ) il passait à travers la vallée de misère (Aujourd'hui rue Robert Garnier) et venait aboutir dans la ville non loin de la cathédrale .Cet aqueduc d'origine romaine avait été détruit en partie par les guerres du Vè au IX è siècles .Mais Saint Aldric (832-856)touché par la gène qu'éprouvaient les habitants , par suite du manque d'eau dans la cité ,utilisa les eaux qui refluaient à la surface du sol: ce prélat fut alors établir une conduite en plomb pour alimenter ,les fontaines de Saint Michel et ,de la place Saint Pierre c'est ce qui fait qu'on lui ai donné le nom d’aqueduc de Saint Aldric. A partir des Pompes on est plus à même d'observer les ouvertures ou regards destinés à faciliter la visite de l’aqueduc
Mère Noël en extase devant la fontaine de son "Saint " préférée Saint Aldric....
Le vélo sur lequel mère Noël "Josette" à fait ses débuts
" Château de Méhoncourt"
La CRS10 aujourd'hui :
Grâce à des actes notariaux et différents témoignages on sait qu'il fut bâti vers 1847 et d'après les honoraires versés à M. Delarue, architecte de notoriété de l'époque, on peut dater avec précision la fin de sa construction à décembre 1848. Le premier propriétaire connu (famille du Puy du Parnay) originaire de Souligné-sous-ballon lui donnait le nom de "Douce-Amie" du nom du domaine sur lequel fut construit le château. C'est en 1897 que Charles-Henri Belleville emprunta à sa région natale le patronyme de "Méhoncourt" (Meurthe et Moselle) pour rebaptiser le Château.Alexandre GROSS achète le château en 1929, notable juif de la ville, officier de réserve, titulaire de la Légion d'honneur, marié à une catholique, fondateur et propriétaire du café "Au planteur de Caïffa", et de surcroît président de l'UGIF (Union générale des israélites de France) du Mans.
Pendant l'exode, le château a été occupé par les Allemands.
Nota :
L'amende du milliard
: Le 14 décembre 1941, en représailles d’attentats commis contre
des membres de l'armée allemande, une amende d'un milliard de
francs est imposée aux juifs des territoires occupés avec menace
de déportations si de nouveaux attentats venaient à être commis.
Elle paraitra dans la presse et des avis sont placardés sur les
murs. L'ordonnance du 17 décembre 1941 charge l'UGIF, organisme
créé trois mois plus tôt, de collecter les fonds.
En Sarthe le président était Alexandre Gross, président de la
communauté juive et la secrétaire Odette Bloch. Concernant les
juifs arrêtés leur mobilier sera expédié en Allemagne pour les
victimes de bombardement dans le cadre de l'action meuble
(Maktion). Les maisons seront récupérées pour les services
allemands ou pro-allemands. L'armée allemande s'installe au
château de Méhoncourt, coexistant avec la famille d'Alexandre
Gross confinée dans une seule pièce. À court d'argent, le
propriétaire doit vendre le château à une collaboratrice, personne
compromise pendant l’Occupation, qui, selon certains dires, le
transforma en bordel.
La famille s'installe alors 2bis rue de la Motte au Mans. Le
propriétaire et sa fille, bien qu'elle fût de mère catholique,
furent les derniers arrêtés de la ville du Mans : la Gestapo vint
les chercher le 26 janvier 1944.
Internés du 30 janvier au 3
mars 1944 à Drancy sous le matricule 13368 (Jacques
Chesnier), ils furent parmi les derniers occupants de ce camp.
M. Gross décède le 30 septembre 1945 à l’hôpital Rothchild à
Paris.
A la Libération, en 1945, comme c'est souvent le cas des maisons
spoliées par les Allemands, elles sont réquisitionnées par les
préfets ou louées directement à d'anciens collaborateurs qui
cherchent à se faire oublier.
C'est un aumônier juif de l'armée américaine qui se démène pour
loger au château de Méhoncourt, dans la Sarthe, une trentaine
d'enfants juifs abandonnés.L'OSE (Œuvre de Secours aux Enfants) prend le relais et y rassemble 72 enfants dispersés dans le département par les différents réseaux. Un des enfants interrogés raconte que le château portait beaucoup de traces du passage des Allemands, graffitis et dessins sur les murs et surtout une multitude de douilles et d'armes disséminées dans le parc. La maison, dirigée par M. Trachtenberg (surnommé "Crache-en-l'air"), puis par Lotte Schwarz, est transformée en colonie sanitaire pour enfants pendant l’été et un centre d’accueil pour personnes âgées. Elle ferme définitivement en 1954. La maison exploitait un potager et des élevages de volailles et moutons.
Le château sera racheté à une Dame Jory par le ministère de l'intérieur en 1958 avant d'être reconditionné pour recevoir la CRS n°10 en 1960. Méhoncourt, l'arche des enfants juifs cachés,
Quelques jours après la libération de la Sarthe, un aumônier juif
de l'armée américaine puis l'OSE (l'œuvre de secours aux enfants)
réunissent au château de Méhoncourt, rue de l'Éventail, au Mans,
les enfants juifs cachés dans la Sarthe. La maison, dirigée par M. Trachtenberg, accueille très vite de
nombreux enfants. Joseph Weismann, arrêté le 16 juillet 1942, à
Paris, évadé du camp de Beaune-la-Rolande (Loiret) et caché dans
la Sarthe, fait partie de cette marmaille pleine de vie qui attend
de retrouver les siens.
« Jo » a
13 ans et il revit. «
Pour moi,
Méhoncourt, ça a été la fin de l'humiliation, se
souvient-il. Là-bas, j'ai
compris que je n'étais plus cet être inférieur sur lequel on
pouvait cracher! Le calvaire était terminé. Je ne sais pas comment
l'ont vécu les autres enfants mais, pour moi, c'était ça.»
Au château, la vie n'est pas facile tous les jours, mais les
enfants réapprennent à vivre plus conformément à leur confession.
Les menus respectent les interdits alimentaires de la religion
juive et une petite synagogue (où
viennent aussi prier les militaires américains juifs)
est aménagée. Comme les autres enfants,
« Farfadet
» (c'est le
surnom de Joseph, à Méhoncourt) - qui avait déjà son
certificat d'études - reprend aussi sa scolarité.
«
Nous allions dans
différentes écoles du Mans. Pour moi, ça a été le centre
d'apprentissage de l'école Cavaignac, une annexe de l'école
Marceau, rue de la Paix et
«
la Prat», l'École
pratique, près des quais. Dans ces établissements, j'ai fait différents stages de
menuiserie, d'électricité, de peinture et d'ajustage dont je
m'étais fait une petite spécialité.»
Le ciel s'éclaircit pour les enfants de Méhoncourt. Mais dans
leurs petits cœurs, ils attendent impatiemment le retour de leurs
parents. «
Nous pensions tous les
revoir, se souvient Joseph.
Moi, j'avais une
confiance absolue dans mon père qui était l'homme le plus
formidable de la terre ! Il parlait français, russe, polonais,
allemand, anglais, yiddish... Et c'était le meilleur tailleur du
monde Non, vraiment, s'il ne devait en revenir qu'un, c'était
forcément lui. J'en étais certain.
La terrible cloche qui sonne les visites
«
Farfadet » - tout
comme la grande majorité de ses amis - ne sait pas encore qu'il
est orphelin. «
Je n'ai vraiment
réalisé que je ne reverrais plus mes parents et mes sœurs qu'au
retour de mon service militaire.
» Parfois sonne la cloche de Méhoncourt. (Nota
: Cette cloche est installée à la conciergerie du Château
(logement de fonction du Commandant). Elle annonce la
visite ou te retour d'un parent.
«
Ça, c'était très dur...
»
Se
rappelle Jo. Une année a passé quand une dame se présente à l'accueil. C'est
Odette Margel qui tient, avec son mari, le magasin "Au
meuble chic", 2, rue du Père-Mersenne, au Mans.
«
C'était un couple
juif qui voulait offrir des moments de détente à une petite fille
: l'emmener manger des glaces, faire des promenades, raconte
Joseph Weissmann. Le directeur m'a appelé et m'a demandé d'aller
chercher une des enfants du château. Quand je suis revenu, la dame
m'avait finalement choisi... À quoi tient le destin ? Elle m'a
donné un amour immense ! M. et Mme Margel ont souhaité m'adopter
mais je n'ai pas voulu. Je ne voulais pas perdre mon nom.
Comment mes parents pourraient-ils me retrouver si je ne
m'appelais plus Weismann
»
Dans cette famille d'accueil, le petit Jo va vivre
«
le bonheur à l'état pur
». Après une période de convalescence en Haute-Savoie, où il
rencontre Robert Jarry, futur maire du Mans, et le photographe
Jean-Claude Vaillant, Joseph revient au Mans. Il suit une
formation chez Pigier et entre
Au meuble parfait
- «car, entre-temps,
Le Meuble chic
était monté en grade ! »
sourit-il - avenue du Général-Leclerc. Joseph en prendra la
direction plus tard et le fera prospérer. Extrait du journal Ouest France «Guerre et libération dans la
Sarthe» 27
mai 2014 Photos du net.
Reproduction d'un article paru dans le bulletin de liaison annuel
n° 38 2014 de l'Amicale des Anciens de la CRS 102/10.
Un
grand merci à l'ami Michel COUTARD qui a recueilli cet article
"Château de Menhoncourt"
Des pitri ou pidri grrrrr me souvient plouuuuu
Tiens tiens le revoiuli le revoila le revoilou notre Père Noël
Nous arrivons dans" le parc de Gazonfier "
Les Sœurs Marianites de Sainte-Croix forment une Congrégation catholique fondée en France par le père Basile Moreau (1799 Laigné en Belin Sarthe -1873) pour la prière, l'enseignement et les soins aux malades et prenant le parti des exclus.
En 1838 il propose une règle de vie à un groupe de femmes dévouées. En 1831 la première supérieure générale Léocadie Gascoin 1818-1900 reçoit le nom de (Très Révérende) Mère Marie des sept douleurs La congrégation connaît alors une forte expansion en Indiana Etat Unis et au Canada qui forment deux provinces. Celles-ci, à la suite de difficultés dans le gouvernement de la congrégation, réclament leur autonomie et forment aujourd'hui deux congrégations distinctes unies aux Marianites dans la Famille de Sainte Croix : Les Les soeurs de la Sainte Croix
Bien que la maison-mère de la congrégation se trouve au Mans Sarthe.
"Ecole Saint Anne & Sainte Croix"
Maternelle
primaire
C.L.I.S
Panneau fixé sur le mur du cimetière avec:
Propriété Privé
Stationnement et espaces verts exclusivement réservés aux résidents .......
LEGS THIRIOT 1911 : Sculpteur :MOREAU Hippolyte François,Fondeur: VAL D'OSNE
Statue en fonte représentant une nymphe versant de l'eau, dont le modèle est présenté dans le catalogue Chappée de 1896 et dans celui de 1911 pl. 48, comme couronnement d'une vasque dont le piètement est composé du vase qui se trouve dans la partie jardin à la française du jardin des plantes.
Sculpture "En excursion" de Bruyneel ,
Fondeur: FONDERIES DENONVILLIERS,
La statue en fonte pourrait avoir été fondue par Denonvilliers qui avait à son catalogue le modèle. Le fonds de modèles Denonvilliers a été repris en partie par Salin. On peut voir ce modèle, présenté au salon de 1894, dans le catalogue 1900 de la fonderie Salin pl. 779
Passerelle donnant accès à l'île
Un "héron" qui me regarde et qui va prendre son vol
La Nymphe la Source: Sculpteur : CHAPU,Fondeur: CHAPPÉE,
Statue en fonte représentant une nymphe versant de l'eau, dont le modèle
est présenté dans le catalogue Chappée de 1896 et dans celui de 1911
pl. 48, comme couronnement d’une vasque dont le piètement est composé
du vase qui se trouve dans la partie jardin à la française du jardin des
plantes.Lors de l’exposition universelle de 1889, les établissements Chappée
reçurent le grand prix de la fonderie pour « une vasque Louis XVI
comportant une statue dont le modèle avait été fourni par le sculpteur
Henri Chapu »
(La métallurgie du Maine - De l’âge du fer au milieu du XXe siècle (Cahiers du patrimoine) ouvrage collectif)
La même fontaine se trouverait au Lamantin (Martinique),au départ Place Dubuc et transférée Place du Calebassier (en
rénovation à la fonderie d'origine)
"Les Vacances" Louis Derbre 1982
Souterrain "Passage Ragot"
Un joueur de Foot antique célèbre ???? meuuu nannn c'est la "Statue d'Hippomène "
La Tennisman Séréna Antique?? encore nannn c'est" la Statue "Atalante"
"Le Cadran Solaire "
Les mêmes en version verso
Voilà la preuve que l'aïeul de la mère Noël est Biblique, il y a le nom de sa rue Abraham
Les Pères Noël font la queues à la buvette du vin chaud "excellent"
Un "GRAND MERCI" à tous pour cet excellent vin chaud et pour cette randonnée
Le vin chaud est tellement bon que la barbe m'en tombe
Bon il est temps de partir il faut pas oublier les milliers de petits souliers , il nous restent 15jours pour les livraisons de "cadeaux"
*Captures Photos petit APN de poche.
*Si vous avez constater des erreurs me le faire savoir , merci
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright (Busson J.G)et D.R (droit réservé)
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également
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