vendredi 9 février 2018

Ponts&Passerelles du Mans 8/02/2018


 Ponts/ Passerelles du Mans 8/02/2018

 Itinéraire: Groupe randonneurs 
Nombre de participants: 61
Terrain:  Bitume +chemins
Temps:  Temps très sec 4°
Départ: Parking Quai Louis Blanc
Stationnement: Parking Quai Louis Blanc
Durée: 3h00mn
Parcours: 9,1km au GPS
Difficulté: Facile.
Dénivelé positif:+322m
Dénivelé négatif: -328m
Point Haut: 126m
Point bas: 45m
Départ : 13h50mn
Balisage: Bleu


Résumé photos : Pont et passerelles d'hier et d'Aujourd'hui


 Voilà le résumé photo (en l'Absence de Josette) de notre journée rando, de ce jeudi avec quelques scories de neige et toujours très heureux de se
retrouver

  
(En cours de   commentaires)






 Notre RDV Parking quai Louis Blanc pour un parcours de nos 61 courageux randonneurs pour la visite des Ponts et passerelles de notre ville du Mans.(Photo d'aujourd'hui N°1)





 Photo d'hier: Voilà l'endroit ou ce trouverait notre groupe sur le quartier Gourdaine .Dans les années soixante cette usine à carton fonctionnait encore , elle appartenait a une certaine Mme Trassard. (second travail pour cette dame était une madame Claude)







                        Notre passage sur le premier pont. Le pont du moulin  d'enfer 





La passerelle d'Enfer, ou du Bon Pasteur, était appelée aussi "passerelle chameau" du fait de sa forme. Elle fût détruite par les allemands en 1944 et remplacée au début des années 1970. 






LE MOULIN RENARD:
  Ce moulin à blé est construit sur un barrage formant la barrière des Moulins d'Enfer en amont de la Sarthe dans la traversée du Mans. IL est exploité vers 1850 par le Sieur Buon Lhermite. Celui-ci garde une roue pour la farine et utilise ensuite la seconde roue pour la fabrique de couvertures de laine.
 Vers 1868, le moulin et la filature sont détruits par un incendie et le moulin reconstruit va être dévolu au chanvre. Cette exploitation appartient à Casimir Boulay puis à son fils et petit-fils jusqu'en 1935. Pendant la seconde Guerre, on remet le moulin en service pour entraîner un groupe électrique. Les habitants du quartier profitent ainsi de l'électricité obtenue.Depuis 1964, le moulin sert d'habitation avec maison et jardin à un propriétaire privé







 Jeter des boules de neige ne reste pas l'exclusivité des enfants....













       Sur les bords de la "Sarthe"  le quartier des "tanneries"
Le quartier des Tanneries, ancien quartier de la vieille ville détruit à cause de son insalubrité. Sa démolition ayant été ordonnée en 1869.

 Photo d'hier:
 Quartier des Tanneries 













 Bateaux lavoir sur le quai Louis Blanc
«Les bateau-lavoir » était une embarcation sur laquelle, les lavandières lavaient le linge. C'était bien avant la généralisation de la machine à laver. On trouvait ces installations d'environ 5 m de large sur 20 à 30 m de long et 5 m de haut, sur les fleuves où les rivières des grandes villes. Les premiers bateaux-lavoirs du Mans ont été installés en 1834.Le bateau-lavoir a un propriétaire qui loue les places à des lavandières indépendantes à la journée ou à des professionnelles, au mois. Lui-même habite souvent au premier étage de son établissement. Un bateau-lavoir dispose de tout un équipement pour le lavage du linge.Au niveau inférieur, on trouve les bancs des laveuses, les planches à linge au ras de l'eau et des chaudières à charbon où le linge est mis à bouillir. C'est ce que tu vois dans la cuve dont Greg tient le manche. Pour faire sécher le linge, il fallait généralement monter à l'étage.
le dernier bateau-lavoir du Mans a été détruit en 1957.












                                                         LE PONT YSSOIR
  A la base de ce pont, se trouvait un tout autre ouvrage bien plus ancien, certainement gallo-romain souvent nommé Vieux-Pont. Il subira de nombreux outrages: guerres, inondations, gel... entrainant à plusieurs reprises la rupture de ses arches ou la perte de pierres se désagrégeant. En 1530  il est encore composé d'une partie "pont-levis" tout en bois. Mais 30 ans plus tard, le lieutenant général de la sénéchaussée du Maine pose la première pierre du nouveau pont Yssoir. Comme le précédent, il permet l'installation d'échoppes sur les bords et même la construction de maisons dans les angles. À mesure que le temps avance, le pont devient trop étroit, du moins trop petit pour voir passer deux voitures à cheval de front. Les piétons sont d'ailleurs invités à l'emprunter avec prudence à cause du fort trafic qui y transite. Les avants et arrières-becs des piles sont heureusement, aménagés comme lieu de cachette pour les piétons peu prudents. À la suite de la construction du pont Gambetta en 1878  le conseil général pense à détruire une partie du pont Saint-Jean un peu plus à l'est du pont Yssoir. On envisage de le remplacer par une arche marinière permettant aux bateaux de remonter la Sarthe. Le projet est abandonné mais le danger face aux crues de la Sarthe est toujours présent. Le 18 Juin 1881 le conseil municipal ordonne la création d'une nouvelle passerelle, ce sera la passerelle Saint-Jean. Celle-ci est installée dès 1884 avec des piliers en pierre et un tablier en acier.À la fin du XIXe siècle, le pont Yssoir est côtoyé par un autre édifice, plus impressionnant celui-là, le fameux Pont en X de Harel de la Noe. Cette fierté mancelle ne permet cependant pas de faire passer les premiers véhicules motorisés au début du XXe siècle. Le pont en X est réservé aux trains départementaux.En 1944 les Allemands partent en laissant 6 torpilles prêtes à exploser sous la passerelle Saint-Jean. Des résistants de la ville opéreront au désamorçage, en même temps que celles du pont Gambetta. La passerelle est finalement détruite le 3 mai 1976. Pour élever les piles du nouveau pont, il faut creuser à plus 4,30 mètres sous le lit de la rivière. Ce travail dure trois mois. Vient ensuite le tour du tablier, large de 18 mètres. Les travaux coutent 3,6 millions de Francs dont 2,96 pris en charge par l'état. Le pont Yssoir fut d'abord réservé aux bus et aux deux-roues avant d'être ouvert à tous les véhicules.




































                                                          La passerelle St Jean


De l'autre côté du pont Gambetta était situé l'Hôpital général ,créé en 1658 par lettres-patentes de Louis XIV,et doté des biens, et revenus des maladreries,léproseries,aumôneries,des Ardents,du Sépulcre ,de Coulaines etc..lesquels ont été supprimés et réunis à l'hôpital ,qui acquitta toutes les charges et obligations imposées à ces établissements.Les administrateurs de cette maison en commencèrent la construction ainsi que celle de l'église en 1662.A côté on éleva en 1765, d'autres bâtiments auxquels on donna le nom d'Hôtel Dieu ,trois salles furent destinées aux malades .En 1821 le Roi sur la demande des autorités locales et du conseil général ordonna la création d'une succursale à l'hôpital, appelée Hôpital Dieudonné,une nouvelle salle fut aussi édifié à l'hôtel Dieu,enfin en 1854 de nouvelles constructions ,qui ne laissent rien à désirer dans ce genre,ont encore été ajoutées ,parmi lesquelles on remarque une jolie chapelle dont la disposition permet à tous les malades d'assister aux offices sans se déranger de leurs lits ou de leurs salles.Tous ces bâtiments sont entourés de grande cours et de beaux jardins. L'Hôpital général est divisé en deux parties : l'Hôpital où hôtel-Dieu et l' Hospice.

L'Hôpital reçoit 1° les malades civiles,hommes,femmes et enfants au dessus de 10 ans atteints de maladies aiguës ou blessés accidentellement. 2° Les malades indigents des communes privés d'établissements hospitaliers ,lorsqu’il y a des lits vacants et moyennant le prix de la journée ou de pension fixé par le préfet . 3° Les malades, blessés militaires et marins, 4° Les teigneux, 5° Les galeux, 6° Les vénériens, 7° Les femmes enceintes.

L'Hospice admets : 1° Les vieillards indigents des deux sexes invalides et valides, 2° Les orphelins pauvres 3° Les incurables indigents des communes privées d'établissements charitables , lorsqu’il y a des places vacantes ,moyennant le prix de journée ou de pension fixé par le préfet ,4° Enfin les Aliénés déposés par l'autorité en attendant leur transport à l'Asile.

« On se rend de la place de l'éperon à l'église Saint Benoit ,par les rues de la vieille- porte et de Saint denis. »





























Historique du Pont GAMBETTA : (EX: PONT NAPOLÉON)
1789 Louis Bruyère est nommé à 31 ans ingénieur des Ponts et Chaussées au Mans
 20 juin 1791 Il présente devis d'un pont de trois travées à l'église, construction était estimée à 60 000 livres.
1793 Le projet est approuvé par le Directoire de la Sarthe.
 1793 J.-B. Béchet-Deshumeaux est nommé ingénieur des Ponts et Chaussées au Mans. Il propose quelques années plus tard une adaptation du projet de Bruyère pour construire un pont au Mans.
 21 janvier 1793 Louis Bruyère démissionne pour devenir architecte.
 9 mars 1808 Le comte de Montalivet, directeur général
 24 juin 1809 La première pierre du pont est posée. Le premier nom du pont est pont Napoléon.
 9 juin 1811 Inauguration du pont.
 Initialement baptisé pont Napoléon puis pont Royal, le pont Gambetta a été édifié en 1809-1811. Le 8 août, 1944 alors que le pont Yssoir et le pont en X sont détruits par des charges d’explosifs posées par l’armée allemande, le pont Gambetta est sauvé par une poignée de résistants sarthois, ce qui en fait le seul pont du Mans ayant survécu à la Seconde Guerre mondiale.
 
Le pont Napoléon (qui deviendra Pont Gambetta par la suite) est mis en construction le 24 Juin 1809, date de la pose de la première pierre. Mais ce n'est que fin 1813 que la dernière pierre sera posée. Il est construit par l'ingénieur Deshourmeaux, sous la direction de l'ingénieur en chef Daudin. Il est constitue de pierre de grès extraites de Sargé , Rouillon et Saint-Aubin. A l'occasion de sa construction, on mit en évidence en 1809 de nombreuses pièces d'antiquité dévoilant une partie de l'Histoire de l'histoire du Mans.

Passage devant le Pont Perrin: Le pont Perrin construit en 1529 était en piteux état au début du XIX. Son passage n'était que de 17 pieds, ses arches sont peu solides, trop resserrer et fréquemment obstruer par les glaces l'hiver.Il était donc nécessaire de le remplacer, tel en fut l'objet d'un premier rapport présenté par le conseil d'état en 1805 par Chesneau-Desportes,Complété en 1806 par celui de M. Bechet-Deshourmeaux.














































Il fait 4°,un froid de "Canard",et ce n'est pas eux qui vont me contredire,pas coin coin , mais brrrr, brrrr,





Une poule d'eau: La Gallinule poule d'eau (Gallinula chloropus) ou plus simplement poule d'eau, est une espèce d'oiseau appartenant à l'ordre des Gruiformes et à la famille des rallidés








Canard colvert (Anas platyrhynchos) est un oiseau qui appartient à la famille des Anatidés et à l'ordre des Ansériformes




























                                                         Mais que regarde t-il??







                        Ah et bien voilà  ce qu'il regarde! la statue ....






  Eh non , ils regardaient l'oiseau posé sur le doigt de la statue...























Nous pénétrons  sur l'ile aux planches:



































Nous sommes chemin du champ de marine et loulou ferme la marche





Nous abordons la rue des Sables d'or (La légende parle de cet endroit où il y aurait eu de l'or??)





L'ancien Hôpital Etoc-Démazy
Le lieu d'implantation est celui d'un ancien hôpital pour contagieux fondé en 1584. Le docteur Gustave Etoc est nommé médecin en chef, il donnera son patronyme à l'hôpital. L'édifice, toujours en activité, est composé de 8 corps de bâtiments. L'asile est construit d'après un plan-type livré en 1818 par Hippolyte Lebas et basé sur les théories novatrices du docteur toulousain Esquirol. Le bâtiment est l'œuvre de l'architecte Félix Delarue. Le plan suit un axe longitudinal occupé par une cour de circulation qui comprend le bâtiment d'administration et des services. L'axe s'achève par la chapelle. Autour du bâtiment central, sont disposés les différents pavillons des correspondants aux classes de malades. Dès l'origine, les hommes et les femmes sont séparés. Seuls certains bâtiments conservent leurs installations d'origine avec notamment l'aile dite "des agités" comprenant l'historique. Les cinq parties inscrites aux monuments historiques sont la chapelle, la conciergerie, le pavillon, la galerie et l'élévation.L'asile d'aliénés se situe derrière la gare sud. À noter qu'il a été l'un des premiers créés en France. Il fut également l'un des plus gros pensionnats pour aliénés de tout l'Ouest de la France. Dans les heures les plus dures, les pensionnaires pouvaient atteindre le nombre de 1 000. Le seul lien religieux avec l'extérieur fut pendant des années la présence, les soutiens et les fêtes organisées par les sœurs de l'Abbaye de Notre-Dame d'Evron . La période la plus difficile de l'hôpital fut l'épidémie de Grippe Espagnole Elle décima environ 1/3 de la population durant la 1re Guerre mondiale. 300 morts environ furent décomptés. La seconde fut également meurtrière bien que ce fut la sous-alimentation qui ait majoritairement tuée.Etoc-Demazy a servi de modèle à d'autres hôpitaux de ce genre. L'inconvénient est cependant qu'on a beaucoup tardé à le modifier. L'Hôpital ouvrira ses portes en 1828. les constructions de l'Asile des aliénés a été commencée en 1829, d'après les plans de M.Delarue

Architecte du Département de la Sarthe .Cet établissement qui ne laisse rien à désirer se compose de huits corps de bâtiments principaux,de galeries couvertes et séparées par des promenades plantées d'arbres ,une belle grande cour dont la chapelle occupe le fond et par de beaux et vastes jardins .Les bureaux,la pharmacie,la lingerie,les cuisines et le logement des religieuses,sont placé dans un grand bâtiment édifié au centre de la cour,divers autres constructions on été faite pour .le Directeur de l'établissement,le médecin,le receveur-économe,le concierge,les salles de bains etc..

les Aliénés sont admis dans cette maison depuis 1834.

Le prix des pensions annuelles est : Pour la première classe de 1000 à 2000frs et pour la seconde classe de 700frs et enfin la troisième classe 460frs

« On se rend de l'Asile des Aliéné à la gare par la rue du Gué-de-Maulny et le chemin de ronde »



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Église Saint Bertrand


L’église fut fondée en 1913. Elle fonde également une nouvelle paroisse, la première dans la ville depuis le concordat de 1801. L’église fut fondée en l’honneur de Bertrand, fondateur présumé du monastère de la couture au VII s. L’église, bien que commencée en 1913 ne pourra être achevée en 1923 Elle fut bâtie sur l’endroit supposé de l’ancien oratoire royal du Gué de Maulny . Cependant, elle se révèlera d’une construction peu fiable et surtout peu résistante. Le 11 février 1990, elle est sévèrement endommagée à la suite du passage d’une violente tempête sur la ville. Après quelques mois, monseigneur Georges Gilson évêque de l’époque, décide de sa démolition. Si l’église première fut bâtie pour répondre à l’expansion ouvrière de la ville, les paroissiens veulent de nouveau se faire écouter quant à la reconstruction de l’édifice.

le presbytère de l'église Saint Bertrand:


Nous empruntons la passerelle pour l'aire de loisirs du Gué de Maulny









Jean II, dit « le Bon » est de santé fragile, Il aura peu d'activités physiques, joute peu mais pratique la chasse, Il est d’une personnalité sensible et laisse facilement cours à son émotivité, jusqu'à devenir violent, ce qui lui vaut quelques déboires diplomatiques,. Il aime les livres, protège peintres et musiciens,  Dès son plus jeune âge (il est duc de Normandie à 13 ans), il doit lutter contre les forces de ceux qui, attirés par l'influence économique anglaise ou le parti réformateur, affectent les villes et la noblesse. Évoluant au milieu des intrigues et des trahisons, il est logique qu'il soit méfiant et gouverne dans le secret avec un cercle très fermé de familiers. C'est aussi pour cette raison que les premiers Valois ont cherché à donner un aspect fastueux aux cérémonies, ce qui correspond à la conception médiévale de la noblesse. Cependant, les temps ont changé et les contribuables voient d'un mauvais œil ces dépenses somptuaires.   né le 26 Avril 1319 au Château du Gué de Maulny du Mans et mort à Londres le 8 Avril 1364,fils du roi Philippe VI et de son épouse Jeanne de Bourgogne sera roi de France de 1350 à 1364, il est le second souverain issu de la maison Capétienne de Valois.Il sera sacré roi de France le 26 Septembre 1350. Le 19 Septembre 1356 Jean le Bon est battu et fait prisonnier à Poitiers.Jean le Bon regagnera la France en 1360 après le traité de Brétigny qui lui rendra la liberté , mais devra céder un tiers du pays à Édouard III. Son retour sera difficile il faut s'acquitter d'une rançon et les finances de la France sont au plus bas .Il stabilisera la monnaie grâce à la création du Franc.




JEAN II LE BON



Arrêtez-vous brièvement au milieu du pont pour regarder sur votre gauche
: vous verrez, entouré d’eau sur trois côtés, un beau bâtiment orange avec des balcons en métal. C’est le dernier moulin du Gué de Maulny transformé en habitations.







Cet Arrêt est une surprise de taille......(voir ci-dessous)




                 Ohéééé y'a personne pour me bercer????


             Et bien sur jamais le dernier à grimper sur les jeux...


                           On prépare une petite douceur???



Pendant ce temps le narrateur Henry nous raconte avec un immense plaisir et avec précision, l'histoire de nos ponts et passerelles de notre ville.
 Les choses deviennent sérieuses, le remplissage des gobelets

Mais "OUI" C'est l'anniversaire de notre ami "JEAN"  joyeux anniversaire,joyeux anniversaire joyeux anniversaire Jean joyeux anniversaire....


Pendant le remplissage des godets ,écoute religieuse de nos amis sur l'histoire des ponts que nous raconte Henry.




Voila, voila ,voila on pousse pas y'en aura pour tous le mondeuuuu...


Un "ti" plaisir pour notre palais , des cerises à l'eau de vie, ça ravigote nos randonneurs souffrants du froid 4°






 Nous empruntons le chemin qui longe l’Huisne. Le parc à notre gauche est un vaste bocage de 16 ha de prés au milieu desquels on trouve des arbres et des arbustes spontanés, isolés, en groupes ou formant de grandes haies. Tout reste entièrement à l’état naturel. Le parc a une certaine structure grâce aux chemins qui le traversent et qu’on peut emprunter à vélo ou à pied. Ils sont très prisés par les amateurs de cross pour lesquels, de surcroît, on a installé des appareils de musculation. Les enfants n’ont pas été oubliés : une aire de jeux fait leur bonheur. De multiples tables et même un grill invitent au pique-nique. Il faut admirer le travail accompli par les Espaces Verts de la ville qui ont donné structure et propreté à ce parc en évacuant, l’une après l’autre, les bicoques, remplies de saletés, du bord de la rivière. le gué de Maulny est un axe principal de communication aux alentours du Mans. Il est en effet le passage le plus direct pour rejoindre la ville d'Allonnes.



                                                 Un coup dessus


                 Un coup dessous...     (Sous le pont Bd Demorieux)




        


Revoilà notre ami sur des modules "Fitness" mis à disposition. Pour la muscu y'a encore du boulot..




  Nous sommes sur un balisage "Bleu"                  




        

Ce n'est pas aujourd'hui que nous allons allumer le barbecue et pourtant ça nous réchaufferait

                     



                            Passerelle des Riffaudières






Nous sommes sur le chemin du retour






















 




















La Sarthe déroule 133 km d’un cours d’eau navigable, propice à une savoureuse aventure au fil des moulins, écluses fleuries, petits villages et coins de pêche. La Sarthe est navigable d’avril à octobre, « mais c’est l’été que le trafic est le plus important ». Bien qu’à nouveau en progression depuis peu, il reste toutefois encore modeste. Les grandes heures de la navigation fluviale sur la Sarthe sont en fait bien loin.


                           +/-200 m3 d’eau s’engouffre



               Nous allons passer sous le pont des "Tabacs"


            Tranquillou le pêcheur malgré ce froid  brrrrrr






               Nous pénétrons sous le pont des Tabacs




Pour ceux qui veulent plus de renseignements sur la "manu" j'ai sur le blog un résumé photos "Journée du patrimoine" 19/09/2016





Et non ce n'est pas le "Phare d'Alexandrie" mais celui de balisage des Planches, en aval du port



             Toujours ce froid de "canard" qui nous poursuit









Le port de la ville du Mans est un port de plaisance. Il permet à une trentaine de bateaux d'accoster sur la rive droite de LA SARTHE. Il est spécialisé pour accueillir les vedettes à cabine ou les coques open. Des navires de plus de 23 m ne peuvent accéder jusqu'à la ville à cause des nombreux ponts jalonnant le parcours jusqu'au port. Des vedettes ont pendant de nombreuses années, proposé des parcours touristiques sur la Sarthe afin d'offrir aux visiteurs les murailles du vieux Mans ou la Sarthe dite « sauvage » au nord de l'agglomération. Cette activité a cessé au milieu des années 1990. Le port n'a plus d'intérêt pour le déplacement seul, concurrencé par les liaisons autoroutières, ferroviaires ou aériennes. Il retrouve une jeunesse par ses cours de formation au pilotage de petits bateaux privés. Les cours de base sont dispensés juste devant la cité plantagenêt.
Le 28 Juillet 1829  la première pierre du port du Mans et des quais en aval du pont Napoléon,a été posée par M.Thomas,préfet de la Sarthe,assisté de M.Basse maire du Mans et MM Landel et Leprince adjoints.





             Qui a dit qu'au Mans il y avait pas de bateaux?


 

    Voilà pour ceux qui seraient intéressés par la navigation





     Ce n'est pas un mirage mais le reflet de notre batellerie







Offrez-vous une semaine de navigation sur la Sarthe et vous serez ravi de votre voyage au fil de l'eau à 7 km/h et pour toute compagnie le clapotis de l'eau et les petits oiseaux













                     

Il manque une lettre , laquelle?






















Rue Saint Victeur ( dans cette rue il existait un prieuré fondé au VI e par l'évêque Saint Innocent qui le dédia à Saint Victeur .Il y déposa les corps de Saint Principe et de Saint Victeur qu'il fit enlever du cimetière des premiers chrétiens,lui même y fut entérré ainsi que Hodingue,Mérole etc... Ce prieuré fut détruit au XI e par les pirates Normands il fut rebâti et en 1614 Louis XIII étant au Mans ,tire l'oiseau à l'arquebuse dans ce prieuré,la maison et l'enclos on été convertis en usine.  »




































Nos 61 Randonneurs mis en mode "Pause" Ce jeudi 8/02/2108






*Captures Photos petit APN de poche.
 *Si vous constatez des erreurs me le faire savoir , merci
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright (Busson J.G)et D.R (droit réservé) 
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également






























                             



















                          











































































































































































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