Les Etangs de Loudonneaux
le 13/092018
Itinéraire: Repérage
Nombre de participants:
Terrain: Chemins boisés et Bitume
Temps: chaud
Départ: .Place aménagée
Stationnement:facile
Durée: 2h17mn5s
Parcours: .10,4km au GPS
Difficulté: facile,plat
Dénivelé positif:+416m
Dénivelé négatif: -425
Point Haut: 156m
Point bas: 95
Départ : 14h22mn
Balisage: Mauve+Bleu
Températures: très beau
.
SUR 646,24 HECTARES: Etangs Bois et Bois de Loudon (le 28/29/05/1922 Incendie sur les 230 hectares de forêt de sapin. Bois marécageux d'Aulnais, Saunais.
Historique:
Les habitants d'Ardenay et des Loudonneaux prétendent que les Allemands (prussiens) auraient réuni leurs morts en tas dans les bois de la Buzardière et , après les avoir arrosés de pétrole les auraient incinérés (souvenir d'un Mobile de la Sarthe 33 régiments armée de la Loire 16 corps 1870/71)
Faune et Flore:
Situé sur la commune de Parigné l'évêque, ce beau massif forestier se compose d'une grand variété de milieux: Étangs, Zone tourbeuses, landes Humides et sèches, Pelouse, Futaies. Les grands mammifères notamment le sanglier sont bien représentés sur ce site classé à l'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique, et floristique sur trois communes: Changé, Parigné L'évêque,St Mars la Brière.
Coléoptères, Lépidoptères, Canard Souchet, Sarcelle d'hiver et d'été, Canard Chipeau, Héron pourpri, Chouette Chevêche,Busard des roseaux, Busard cendré, Pic noir, faucon hobereau, Gobe mouche noir, Bécassine des marais, Torcol fourmilier, Pie grièche grise, Bergeronnette printanière, Mésange boréale, Bouvreuil pivoine, Hirondelle de rivage, Arabette hérissé, Cardamine impatiens, Genêts, jonc à tige, épervier d'Europe, Roussole effarvatte, Canard colvert.
Au pays du silence seul le clapotis des canards nous émerveille par cette nature riche et colorée.
Au début de votre rando vous emprunterez le balisage du GR36 ensuite le balisage perso mdr
Ouais bon je vais de quel côté mouaaaaa.
De magnifiques pommes rouges hummmm.
De jolies "Mûre" La mûre sauvage est connue depuis l'Antiquité. Les Grecs la consommaient déjà en sirop et avaient découvert ses vertus thérapeutiques. Ils s'en servaient pour soigner la goutte et les maux de gorge. D'après la mythologie grecque, elle serait d'ailleurs issue du sang des Titans, répandu lors de leurs combats contre les Dieux de l'olympe.Selon Pline, elle "combat le venin des serpents les plus dangereux". Les Celtes la considéraient comme une plante magique qui apportait la richesse et permettait de conserver la santé.De l'Europe elle a ensuite gagné l'Amérique où elle était consommée, séchée, par les Amérindiens.Dès le Moyen Âge, les moines fabriquent avec les fruits un vin délicieux, le moretum, ou "vin des moines" qu'ils consomment uniquement les jours de fête.Le mot "moretum" vient du latin "mortarium" qui signifie "mortier".Dès le XVe siècl, on retrouve la mûre en méditerranée...Les ronciers sont très importants pour l'écosystème des haies et des bois.D'abord, ils servent de refuge à de nombreux oiseaux et à des petits animaux, comme les lapins et les lièvres par exemple.Les fleurs sont très mellifères et servent de nourriture non seulement aux abeilles mais aussi à de nombreux autres insectes.Les mûres sont consommés par de nombreux oiseaux, par les sangliers et les renards.En montagne ce sont les cerfs, les chevreuils et les ours qui se nourrissent des baies.
Les vertus de la mûre: Les fruits sont très riches en vitamine B (en particulier B9), vitamine E, vitamine C et en provitamine A. Ils contiennent aussi des minéraux (en particulier du potassium, du magnésium, du calcium et du fer) et des oligoéléments (zinc, cuivre et manganèse). De plus, malgré leur goût sucré, les mûres sont très peu caloriques mangées telles quelles.Leur richesse en fibre est intéressante.Évitez toutefois de les cueillir près des routes ou au bord des vignes non cultivées en BIO.car les pigments qui tachent abondamment mains et vêtements sont des anthocyanes, des antioxydants puissants protecteurs de la jeunesse !La mûre est un fruit fragile qui doit être consommée sur place et quelques heures maximum après la cueillette. Elle sera moins agréable à consommer le lendemain, même conservée au réfrigérateur et aura perdu sa saveur et sa vitamine C. Par contre elle se conserve très bien au congélateur ce qui vous permettra de faire des desserts tout l'hiver. Vous pouvez en faire des confitures, du sirop, des crumbles, mélangée ou non à d'autres fruits rouges ou à des pommes, des tartes...
Mais attention la mûre doit être cueillie avant le 11 octobre (dans notre calendrier actuel) : cette date est appelée le "Jour de la mûre". On dit que c'est un 11 octobre que le diable, chassé du paradis, s'est écrasé sur un roncier.Chaque année à cette date, le diable cracherait (beurk !) sur les mûres pour qu'elles deviennent immangeables... qu'on se le dise, le diable est un rancunier !A noter : Le jour de la mûre était, dans le calendrier républicain le 9e jour du mois de Thermidor, c'est-à-dire, sauf erreur, le 27 juillet exactement !
*source:dans la bulle de Manou
Le Dialogue à été difficile mais entre nous le courant est bien passé.
Et non nous ne suivront pas le balisage du GR36 mais le mauve pour le chemin du retour.
Ce champignon un peu isolé sur le bord du chemin.
Protection des ces grosses Mégalithe , en cas de vol il faut être super équipé et surtout très culotté et super costaux.
La preuve que les "Indiens" vivaient dans les bois de Loudon...mdr
Trop tard pour cette année et trop trop pour la prochaine..
SUR LE RETOUR : PARIGNE L'EVEQUE
L’Église Notre-Dame-de-L'Assomption du XVè.
Heureusement le Diable ne transforme pas encore l'eau en vin, j'imagine la queue pour avoir un seul verre...mdr.
Le confessionnal :Un confessionnal est un isoloir clos, disposé sous forme décorative disposé sous forme décorative dans les églises catholiques, afin que le confesseur (le prêtre) y entende derrière un grillage le "pénitent" à confesser. C'est sous l’impulsion du Cardinal Italien Charles Borromé que le confessionnal est apparu au XVI siècle, à la suite du concile de trente. Dans sa fonction traditionnelle, le confessionnal est divisé en trois compartiments séparés : le prêtre s'assoit habituellement dans le compartiment central muni d'une porte centrale ou d'un rideau, tandis que les pénitents prennent place dans ceux qui se trouvent de part et d'autre (loges latérales ouvertes ou fermées). Le prêtre et le pénitent se parlent à travers un grillage auquel est occasionnellement fixé un crucifix. Le confesseur a la possibilité d'écranter l'un des grillages, afin de lui permettre de ne confesser qu'une seule personne à la fois. Les conversations sont habituellement murmurées. Il est muni d'un siège et de deux petits bancs pour s'agenouiller.
Les fonts baptismaux:sont un mobilier ecclésiastique utilisé pour le baptême dans les églises chrétiennes Dans la religion chrétienne, les fonts baptismaux servent typiquement aux baptêmes par aspersion. Les fonts les plus simples ont un pilier de 1,5 m avec un support pour un bassin d'eau.Les matériaux taillés et sculptés varient considérablement, allant du marbre au métal ou au bois,Le plus souvent, les fonts baptismaux sont situés dans l'angle nord-ouest de l'église, soit à gauche en entrant, ce qui métaphorise la sortie par le baptême de l'ombre humide à la chaude lumière. Les cuves baptismales du Moyen Âge sont autant variées par la forme que par la matière. Elles sont à pans ou circulaires et même carrées, lobées, ovales, creusées à fond de cuve ou en cuvette ; leurs parois sont ornées de feuillages, de simples moulures, de figures ou de compartiments géométriques ; elles sont taillées dans de la pierre ou du marbre, coulées en bronze ou en plomb. Leurs couvercles se composent de châssis de bois, de lames de métal, ou sont richement ornés en forme de cônes ou de dais. Beaucoup de fonts baptismaux ont huit côtés pour rappeler la nouvelle création. L'octogone est intermédiaire entre le rond naturel et le carré culturel. Certains fonts ont trois côtés pour rappeler la sainte trinité.Ils sont parfois placés devant la nef de l'église pour rappeler aux fidèles leur baptême qui représente leur entrée dans l'église. Dans plusieurs églises du moyen âge et de la renaissance une chapelle spéciale ou même un bâtiment dédié dit " baptistère"abritait les fonts baptismaux. La quantité d'eau est habituellement faible (un litre ou deux). Certains fonts sont alimentés par de l'eau de source ou une pompe pour imiter l'effet des eaux vivantes du baptême.
*Si vous constatez des erreurs me le faire savoir , merci
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright (Busson J.G)et D.R (droit réservé)
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