vendredi 1 novembre 2019

Rando Conlie 31/10/19

  Randonnée du 31 Octobre 2019
             " Ville de  Conlie"

 Itinéraire: Groupe
  Nombre de participants: 28
Terrain: chemins
Temps: pluie fine
  Départ: 13H47mn
Stationnement:Parking Magasin Super U
 Durée: +/-3H13mn13s
Parcours: 10,7 Km
Difficulté: accessible mais très boueux
  Dénivelé Positif: +299m
 Dénivelé Négatif: -217
 Point Haut: 159
 Point Bas: 30
Balisage: VERT
Températures: 15° pluie fine



                            BLASON DE CONLIE:




Historique:1051 à 1110 : du temps de l'abbé Ramnulfe, Hugues de Alvoz, son frère Jacquelinus et leur mère Basilia donnent à l'abbaye St Vincent du Mans tout ce qu'ils possèdent dans l'église de Conlie
 1164-1175 : Charte de Guillaume, évêque du Mans, relative aux prémices de l'église de Conlie, donnés à l'évêque par Boquerel de Conlie, par l'évêque à Geoffroy, clerc, et par celui-ci aux moines de la Couture, qui les lui laissent sa vie durant, moyennant une redevance
 1165-1175 : Guillaume, évêque du Mans, donne à l'abbaye de la Couture la dîme de Conlie
 1773 : traçage de la route du Mans à Mayenne via Conlie, à peine commencée en 1786 à l'arrivée au Mans du sous-ingénieur des Ponts et Chaussées Louis Bruyère qui la fait construire
 1790-1795 : à la création du département de la Sarthe Conlie fait partie du district de Sillé le Guillaume. Les districts sont supprimés en 1795 et seront remplacés par les arrondissements en 1801.
 1791 : la route du Mans à Mayenne est aux 3/4 construite sous la férule de Louis Bruyère devenu ingénieur et la route de Longnes à Conlie également
 vers 1794 pendant la chouannerie enlèvement du portail de la basse-cour et des portes du jardin anglais du château de Vernie pour clore le bourg de Conlie
 1794 : Après la première séparation de l'Église et de l'État, Garnier de Saintes,député de Charente Inférieure, chargé d'organiser le gouvernement révolutionnaire dans la Sarthe, lors de son passage à Conlie, ordonne de transformer immédiatement l'église en salle de club et en temple décadaire. On brise l'autel et les statues, on vend les ornements et la seule décoration de l'édifice est une déesse en peinture avec tous ses attributs
- Rattachement de la paroisse de VERNIETTE à Conlie - 1802.
 -1642 habitants (2016) Les Conlinois et les Conlinoises.
-Superficie  1716 hectares

Le Camp de Conlie 1870-1871 
14 janvier 1871 : arrivée du 1er bataillon et du bataillon des fusiliers du 91ème régiment d'infanterie, du 2ème bataillon du 78ème, d'une batterie et de plusieurs régiments de cavalerie sous les ordres du colonel Lehmann

  Stalles de l'Abbaye de Champagne du XVIème siècle dans l'église de Conlie (à vérifier - source Revue archéologique et historique du Maine 1897 T.41 page 117

NOTABLES:  HEMERI de Conlie Assiste en présence d'Odon, frère d'Henri 1er, roi de France, au placement de l'église de St Martin de Bellême sous le patronage des moines de Marmoutiers; - source Gallica " Maison de Clinchamp. Histoire généalogique , par J. Noulens -Champion (Paris)-1884" page 418période 1307

M. LE BEU,Chirurgien de Conlie s'occupant des moines de l'abbaye de Champagne de Rouez - source Gallica « Revue historique et archéologique du Maine » 1936 SER2,T.16 page 49 ,période 1744

Pierre AUGER,Avocat au parlement, bailli et juge du marquis de Lavardin à Conlie - source Gallica « Revue historique et archéologique du Maine » 1927 SER2,T.7 page 144 

 Le musée Roger Bellon de la Seconde Guerre mondiale présente uniformes, armes et toutes sortes d'objets de l'époque, collectés notamment sur les plages du Débarquement.

Le musée propose aussi, ce jeudi, une balade de 4,5 km, chargée d'histoire. Près de deux heures de marche au programme pour partir à la découverte du site et de ce qui demeure du « camp des Bretons » depuis la guerre de 1870. Port du gilet de sécurité recommandé.
Ce jeudi, à 9 h 30 au départ du musée, route de Sillé-le-Guillaume

Le camp de Conlie:Suite à la défaite de Napoléon III en septembre 1870, un gouvernement républicain tente de repousser la progression de l’armée prussienne. C’est dans ce contexte qu’est mise en place à Conlie, près du Mans, une « armée de Bretagne » à l’initiative du général de Keratry. Cette armée souffre plus des intempéries, du désordre général et des querelles d’hommes que du feu ennemi.

 Suite à la capitulation de l’armée de Napoléon III à Sedan le 4 septembre 1870, la République est proclamée. Paris assiégé par les Prussiens, le gouvernement de la Défense nationale tente de réagir. Gambetta, ministre de l’Intérieur et de la Guerre envoyé en délégation à Tours, ordonne la « résistance à outrance ». Il pense repousser l’ennemi en levant une armée de volontaires. Cette armée est placée sous l’autorité directe de Freycinet, ingénieur des Mines, nommé délégué à la guerre et non de l’état-major. La décision de créer 11 camps retranchés pour regrouper, armer, équiper et entraîner les volontaires trouve peu d’échos. Les Bretons, sous l’impulsion de Keratry qui croit à l’idée de levée en masse, sont les premiers à répondre à l’appel.

 Le 22 octobre, Émile de Keratry obtient les pleins pouvoirs pour former l’« Armée de Bretagne » et créer un camp de regroupement. Il choisit d’installer ses hommes à Conlie, position stratégique au nord-ouest du Mans. Un plateau fraîchement labouré est aménagé à la hâte pour accueillir les premiers volontaires arrivés le 6 novembre. Les pluies d’automne particulièrement abondantes transforment rapidement le site en bourbier dans lequel les hommes s’enfoncent jusqu’au genou. Le lieu prend vite le nom de Kerfank, « la ville de la boue ». La désorganisation totale de l’administration ajoute encore aux conditions et c’est sans paille que ces hommes vivent sous la tente, comme dans les guerres coloniales. Les maladies (dont la variole) ne tardent pas à faire leur apparition.

 La désorganisation touche aussi l’équipement militaire. Les États-Unis écoulent auprès des Français les armes de la guerre de Sécession terminée en 1865. Mais le gouvernement décide que les armes obsolètes, à chargement par la bouche ou défectueuses, suffiront à des mobilisés sans entraînement. Gambetta va même jusqu’à manœuvrer pour retarder, voire interdire, la distribution des armes réclamées par Keratry. Cette situation a plusieurs explications. Tout d’abord une méfiance politique entre deux personnalités, Keratry et Gambetta. Mais aussi une hostilité de l’armée régulière vis-à-vis de cette armée auxiliaire qui est placée sous le contrôle des politiques, et une méfiance vis-à-vis des Bretons. Le souvenir pas si lointain de la Chouannerie est bien présent : « je vous conjure d’oublier que vous êtes breton pour ne vous souvenir que de vos qualités de Français » télégraphie Freycinet à Keratry.

 Furieux d’être placé sous le commandement de Benjamin Jaurès, capitaine de vaisseau promu général, Keratry démissionne le 27 novembre. « Si j’avais su que je n’aurais pas d’armes je n’aurais pas levé d’armée » regrette-t-il alors. Marivault, nommé le 7 décembre, fait un rapport accablant : « 43 000 hommes dont la moitié à peine est armée de fusils de 11 modèles différents ». Dans une dépêche du 17 il annonce la démission du médecin Cuche impuissant à soigner les malades dans l’eau et conclut : « On meurt silencieusement mais la mesure est comble ». Il propose de replier une partie des mobilisés vers Rennes, puisque l’on n’a rien à leur offrir, ni entraînement, ni armes. Gambetta préfère les garder à Conlie. Des mobilisés crient d’ar gêr « à la maison ! », ce que Marivault, ignorant le breton, prend pour « à la guerre » ! Il prépare l’évacuation, contre les ordres de Gambetta.

Le 11 décembre le général Gougeard, un Lorientais, reprend en main les troupes qui lui sont confiées. Sans attendre d’ordre, il renvoie plus de 20 000 hommes et crée une division avec les 14 000 hommes restés à Conlie (principalement d’Ille-et-Vilaine). Ils rejoignent l’armée de la Loire du général Chanzy. L’attitude des Bretons est exemplaire malgré l’impréparation et le manque d’équipement. Chanzy impute cependant sa défaite du Mans, les 11 et 12 janvier, au recul des mobiles bretons sur le site de la Tuilerie.

 
Les archives font état de 143 morts parmi les 60 000 hommes passés au camp de Conlie. À peu près autant à Sillé-le-Guillaume où les soldats sont envoyés en soin. On est bien loin d’un génocide. Cependant, l’état pitoyable des mobiles lors de leur retour à Rennes a soulevé l’indignation et une commission d’enquête parlementaire fera un rapport sur le camp, l’année suivante. La première des responsabilités incombe à Napoléon III qui a engagé la France dans une guerre alors qu’il reconnaît lui-même son état d’impréparation. Gambetta et Freycinet sont plus hantés par la crainte d’une nouvelle Chouannerie que soucieux de sauver la France. « Déplorable de gaspillage » avait écrit Gambetta en décembre 1870 au vu de rapports sur le camp. « Vous êtes un charlatan ! » lui lancera Jules Grévy, un de ses collègues du gouvernement. Keratry, plus velléitaire que compétent, donnant sa démission puis la reprenant à diverses reprises, s’est révélé ambitieux mais indécis et peu réaliste. L’incapacité à prendre des décisions cohérentes résulte surtout de l’impéritie d’un gouvernement provisoire, noyé – à l’instar des Bretons dans la boue de Conlie – dans des problèmes qui le dépassent, quand les responsables se laissent guider par leurs préjugés, leurs passions ou leurs ambitions. C’est ce que la commission d’enquête, diligentée par la Chambre le 13 juin 1871, mit en évidence, mais ce fut tout ! « On est à la source d’un moment majeur, d’un malentendu entre la Bretagne et la France, juste au début du moment où les Bretons vont être présentés comme des ploucs parfaitement arriérés, point de départ d’un mépris qui va conduire un certain nombre de Bretons à se révolter moralement et matériellement. Camille Le Mercier d’Erm, qui est un des premiers à avoir dénoncé la politique de Gambetta à travers L’étrange aventure de l’armée de Bretagne, est un tout jeune homme en 1911 lorsqu’il participe à la fondation du premier partie nationaliste breton » nous rappelle Michel Denis sur les ondes de France Culture . 

AUTEUR : Yves Jézequel :
Professeur certifié Histoire & Géographie, D.E.S., aujourd'hui en retraite

 .










Joël Garenne :Maire de Conlie




































                         La Martinique??? Non, CONLIE






           éh, non il admirait le paysage brumeux ........lol 


Commission des financesLa réforme de la taxe d’habitation est le point marquant de l’année 2018 : baisse de 30% de son montant pour 80% des foyers. Sa suppression se fera progressivement jusqu’en 2020. Ce dégrè-vement doit être compensé aux communes par l’Etat.Les choix d’investissement fait en 2018 auront une incidence durable sur le développement à ve-nir de la commune. Elle a en effet investi pour plus de 100000 euros dans l’acquisition de ter-rains destinés à être urbanisés. Il est à noter que ces investissements ont été réalisés par autofi-nancement, sans recours à l’emprunt.Bien que la dotation globale de fonctionnement (DGF) ait diminué de 20% par rapport à 2014, une gestion rigoureuse de la commune a permis de continuer à dégager de l’épargne, et la muni-cipalité, soucieuse de ne pas dégrader le pouvoir d’achat des Conlinois, ne devrait pas augmen-ter les taux d’imposition communaux. Cela, pour la cinquième année consécutive.Implantation des parcs éoliens dès 2019
La société Quadranassurera la construction d’un parc de cinq éoliennes sur la butte de la Jaune-lière (sortie de Conlie, en direction de Sillé-le-Guillaume). Les travaux s’organiseront dès 2019 
 La société Energie teamassurera celle d’un parc de deux éoliennes sur la route de Neuvillalais. Cette construction pourrait débuter à compter du 16 juillet 2019 et se clôturer mi-janvier 2020. Elle s’organisera en plusieurs étapes


















L'école de Garçon avant........






François MOUSSARD,Commence l'école aux garçons en 1666, son collège étant officiellement doté en 1682 source Gallica "revue historique et archéologique du Maine" 1897 T.41 pages 124-128,Décédé  30/07/1701





Le vitrail de Saint Julien de 1876 avec, en arrière-plan, la muraille gallo-romaine et la cathédrale du Mans.Les 32 stalles en bois de chêne du XVIème siècle proviennent de l'abbaye cistercienne de Champagne  dont les possessions sont vendues comme bien national en 1792. Frère GERVAISE Le premier Curé recensé, chanoine de Conlie - source Gallica "inventaire des terres de l’abbaye de Beaulieu 1124-1413" page 153.L'église a été agrandie en 1708. Elle renferme 32 stalles en bois de chêne du XVIème siècle.





L'école Saint Joseph compte 7 classes réparties de la petite section de Maternelle au
CM2. Cet établissement privé est lié avec l'Etat par un contrat d'association.

La direction de l'école est assurée par Madame Elodie JARDIN.




                      Un radar dissimulé "l’œil de Jésus"

mis en service en 1975-1984, cet espace sportif est de type Site de pêche, il dispose d'un sol en Surface naturelle . La surface d'évolution est de 15000.00m2.






En 1823, le passage de la grande route de Mayenne au Mans a changé le tracé du chemin conduisant au hameau de Crannes, en haut de la butte de la Jaunelière. M. CRIE, instituteur à Conlie achète l’excédent de terrain où se trouve la fontaine dont les eaux alimentent les mares et notamment celle qui sert de lavoir à la quinzaine de ménages du hameau. Les aménagements réalisés détournent les eaux de leur cours naturel le long des fossés et amènent des protestations des habitants qui jouissent depuis toujours de cette fontaine et de ce lavoir.
 En 1876, le nouveau propriétaire des lieux l’ayant transformé en routoir, la municipalité décide d’un échange de terrain pour construire un abreuvoir et lavoir à la ferme de Crannes.
 En juin 1831, le devis dressé par l’agent voyer pour établir deux lavoirs publics à la Grande Fontaine pour 232 F, est adopté par le Conseil municipal.
En 1853, la municipalité constatant que le bassin en A manque d’eau en été et que les laveuses sont exposées aux allers et retours des bestiaux allant s’abreuver en B, elle décide de démolir les murs du bassin A pour reconstruire le lavoir en B, d’élever des murs tout autour et de couvrir cet espace. Afin de ne pas empiéter sur la rue, elle acquiert une parcelle de terrain du jardin voisin. Ce lavoir n’existe plus depuis une trentaine d’années.
 En 1830, le Conseil municipal fait état de nombreuses plaintes contre ce lavoir devenu trop petit et considère qu’il faut doubler sa grandeur. Trois ans plus tard, la somme de 312 F est versée aux fournisseurs et aux ouvriers pour ces travaux.
 En 1841, les deux lavoirs publics du Gaucher nécessitent des réparations: construire un aqueduc amenant les eaux du grand bassin au petit situé en dessous et le fermer à l’aide d’une pierre de roussard et d’un pilon en bois avec un collier en fer puis replacer les pierres de taille servant de lavoir. La dépense s’élève à 120 F.
 Ce lavoir va être couvert en 1853 en même temps que celui de la Fontaine.
 En 1861, le grand abreuvoir de 21 m sur 10 m, voisin du lavoir, est entouré de murs et complètement curé.
 En 1875, le Conseil municipal vote 470 F pour abaisser le niveau du grand lavoir et réparer les murs de l’abreuvoir.
 Ce lavoir est régulièrement entretenu et fleuri par la commune









 Magnifique costume (photo avec autorisation de la maman)

Julien POIRIER  Maire de Conlie Marchand tanneur ; les tout premiers actes d'état-civil républicains en 1793 sont signés par lui en tant qu'officier public ; peut-être signe-t-il comme maire avant 1800 mais il faut encore consulter tous les actes de cette période qui étaient le plus souvent reçus par les agents municipaux .1800/1803. Construite en pierre de Bernay, elle a
été édifiée à l'ancien emplacement des Halles en 1847.



 Nous sommes les sœurs "jumelles" nées sous le signe de la rando....




LE GITE COMMUNAL 
Madame Christine BEUCHER
85 rue de l'Église
72240 CONLIE
06 72 88 36 27

 Gîte de groupe en Sarthe, à Conlie.
Pour un séjour dans un cadre verdoyant de 1 hectare.  Le gîte dispose de 19 couchages.
Rez-de-chaussée : salle pour 70 personnes, cuisine professionnelle, lave-linge
1er étage : 3 chambres de 3 personnes (dont une avec un lit gigogne) - salle de bain avec WC - salle d'eau
2ème étage : 2 chambres de 3 personnes - 1 chambre 4 personnes (dont 1 lit superposé) - 2 salles d'eau - 2 WC
Chauffage central
Grande terrasse avec vue sur le plan d'eau et accès aux jeux pour enfants et au terrain de bi-cross.
Location de draps possible et option ménage en sus.

Camping municipal de la Gironde:Le camping municipal de la Gironde, 2 étoiles TOURISME,  est situé en centre-bourg dans la zone de loisirs du plan d'eau.
34 emplacements ombragés, dont 29 "confort caravane" avec eau et électricité et 5 avec électricité, sont à votre disposition ainsi qu'un chalet aménagé "grand confort" pouvant accueillir 4 personnes.
A proximité, vous disposerez du plan d'eau pour la pêche, de jeux pour les enfants ainsi que de terrains de bicross, de basket et de pétanque.
De nombreux chemins de randonnée sont balisés sur le canton.
Vous pouvez également avoir accès à la médiathèque et au musée de la seconde guerre mondiale Roger Bellon.
Le camping est ouvert du 1er avril au 31 octobre.Il est accessible aux personnes handicapées.
Il n'y a pas de permanence d'accueil au camping. En cas d'absence, vous pouvez contacter un agent communal

BALISAGE:   VERT
Suivre le fléchage pour arriver au vieux lavoir . Traversez la place des Halles en passant devant la mairie ,
Prenez le chemin de Faneu situé sur la gauche de la chaussée.
Continuez sur le chemin, arrivé au rond-point prenez la sortie de gauche.
Descendez le chemin et tournez à droite en bas 
Longez la voie de chemin de fer avant de passer au passage à niveau.
Prenez sur la gauche vers"Beaulieu", allez jusqu’au "bas Vinay" et montez à "Vinay"
Prenez à gauche avant la sortie du bourg, en descendant vous pourrez admirer la vue sur Conlie
A l’intersection continuez tout droit jusqu’au stop en respectant les cultures.Tournez à droite
Longez la ligne de chemin de fer jusqu’au "Noyer", prenez à gauche sous le deuxième pont.
Traversez. Passez devant le collège. Arrivé au rond-point de l’école, prenez la première sortie à droite direction Sillé

Puis tournez à gauche rue Bel Ebat ; au calvaire longez le cimetière.
Prenez à droite rue du cimetière et passez derrière l’église Saint-Vigor
Tournez à droite devant l’église direction Tennie.
A la sortie de Conlie prenez
le chemin de Vau sur votre
gauche, continuez tout droit
pour arriver et longer le plan
d’eau.



 *CERTAINES PHOTOS SONT EN FORMATS NORMAL déplacez votre curseur pour apercevoir la photo entièrement.


MERCI AUX ORGANISATEURS DE CE PARCOURS:

"Bernard et Bernard "

* Capture photos avec petit APN de poche
*Si vous avez constaté des erreurs me le faire savoir merci
*Pour ceux qui désirent des photos en format "normal" ,je suis à votre disposition;
*Adresse mail: rando-libre72@gmail.com
*Photos sous copyright (Busson Jean-Guy) et D.R (droit réservé)

*Le copyright :trans-vidéo72 étant un D.R également de Mr Busson Jean-Guy .

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire