" La Fontaine St Martin"
Rando du Jeudi 28 Septembre 2017
Itinéraire: repérage
Nombre de participants:
Terrain: Boisé+Bitume
Temps: Très beau temps 23°
Départ : Parking église
Parcours :8km
Départ: 15h15mn
Église Saint-Martin du XIIe siècle, renfermant deux statues en terre cuite du XVIIe siècle, dont une Vierge à l'Enfant, classées monuments historiques au titre d'objets
le miracle de St Martin
Fontaine de 1818
Parcours sur St Jean de la Motte
ATTENTION: POISON
amanite tue-mouches:
Sporophores d'amanite tue-mouches, dans sa variété muscaria, la plus courante, caractérisée .... La couleur rouge
s'atténue sous l'effet la pluie et chez les champignons les plus ....
L'immense majorité (90 % ou plus) des intoxications mortelles par
champignon sont dues soit à l'amanite phalloïde, soit à l'amanite vireuse,
Un puits très originale!
l'école communale:
de la Fontaine Saint Martin
Extrait:Revue historique et Archéologique
Le prieuré conventuel de La Fontaine-Saint-Martin a vécu près de sept siècles dans la paroisse du même nom, diocèse du Maine. C'était une maison religieuse de femmes,appartenant à l'ordre de saint Benoît et dépendant de l'abbaye de Saint-Sulpice près Nonnes. Au point de vue féodal, il constituait une terre, fief,seigneurie et châtellenie, relevant quant au temporel du roi à cause de son comté du Maine; divers fiefs et de nombreuses terres censives en relevaient Il était gouverné par une prieure, dite « perpétuelle »qui était à la nomination de l'abbesse de Saint-Sulpice (à l’image des autres sanctuaires fondés par d’anciens ermites, l’abbaye
Saint-Sulpice reçoit rapidement la possession et l’administration
d’églises et de divers biens fonciers. En quelques années, elle devient
une véritable puissance ecclésiastique dont l’influence n’est pas
cantonnée à la Bretagne. Le réseau prieural de Saint-Sulpice connaît
alors une expansion rapide. En 1127, soit une dizaine d’années après la
fondation de l’abbaye par Raoul de la Futaie, l’archevêque de Tours
prend sous sa protection pas moins de huit (biens et possessions)
appartenant à l’abbaye,Le terme de locus est aussi présent
dans les sources : La Fontaine-Saint-Martin, dans l’acte de fondation
daté de 1114-1117 puis dans trois actes de 1252, 1254 et 1270,. Un dernier acte, datant de 1260, va dans ce sens. Il s’agit du
règlement par Geoffroy, évêque du Mans, d’un conflit opposant le recteur
de Lucé aux religieuses de la Fontaine-Saint-Martin au sujet des dîmes
de la paroisse desservie par ce prêtre. À la fin de cet acte, le prélat
désigne les religieuses de la Fontaine-Saint-Martin comme étant les
moniales du monasterii seu prioratus, En 1114-1117, le comte d’Anjou Foulque V donne et concède le prieuré de
la Fontaine-Saint-Martin à « l’église de Sainte-Marie du nouveau
monastère et à l’abbesse de Saint-Sulpice) et recevait de Rome des bulles de provisions pontificales.Les prieures appartenaient presque toutes à des familles nobles de la province ou des provinces voisines;» elles possédaient souvent une situation personnelle très élevée et jouissaient en outre des prérogatives de dames châtelaines de La Fontaine-Saint-Martin.Le prieuré eut des vicissitudes diverses jusqu'à la réforme qui fut établie dans l'abbaye de Saint-Sulpice en 1621 et s'étendit ensuite dans ses dépendances. A partir de ce moment, son existence devint prospère et loin de décroitre avec le temps, il vit sa fortune grandir. Au milieu du XVIII" siècle, au moment où la vie monastique traversait en France une crise profonde, le monastère de La Fontaine-Saint-Martin ne comptait pas moins de dix-huit religieuses il était en pleine prospérité. Il avait un noviciat et recevait des pensionnaires élèves ou dames. Aussi depuis longtemps,
Il était admis de donner à ses prieures le titre d'abbesse, elles l'acceptaient volontiers ce titre. Ce prieuré fut emporté comme tous les autres par la tourmente révolutionnaire de 1789. Presque complètement détruit alors, on vit ensuite subsister pendant tout un siècle l'un des bâtiments de l'ancien couvent, dernier témoin de son importance passée. L'abandon d'un de ses propriétaires l'avait rendu irréparable et quand ses derniers pans de murs gisent à terre, nous avons jugé que le moment était venu de faire revivre son histoire et de dégager de ces ruines l'âme qui avait animé pendant tant de siècles ce coin de terre religieuse.Le territoire de La Fontaine-Saint-Martin était compris dans le domaine de Longaunay (Le Pays ou Baronnie de Longaulnay, ancienne contrée, contenait la Forêt de Longaulnay ou forêt du Mans d'environ 17 000 hectares, dont il est fait mention dans le roman de "Berthe aux grands pieds",(*)
qui s'étendait sur les paroisses de Roêzé, la Suze, Saint-Jean-du-Bois,
Fercé, Mézeray, Courcelles, Ligron, La Fontaine-St-Martin,
Saint-Jean-de-la-Motte, Oizé et Cérans Foulletourte, Parigné le Polin et
à la limite nord de FILLÉ et Guécélard,
Ce sont en majeure partie des terres de landes, de marécages, parfois de
terrains pauvres, de sables et de sables délavés le plus souvent que
nos paysans pleins de bon sens, appelaient encore il y a quelques années
"de la terre volée" jouant sans doute sur les mots car la terre le
porte, ce sable, d'un voisin à l'autre et il vole.Terre de pins, de pins
maritimes et de pins sylvestres, de pauvres chênes noueux, de quelques
châtaigniers. Terre cendrée, grise ou violacée, tout juste bonne aux
topinambours, aux pommes de terre, et aujourd'hui à quelques asperges.
C'est dire les modestes bordages, les masures et la misère qui trop
souvent y régnait dans cette contrée.
Par ailleurs, sécheresse, calamités agricoles et hivers rudes n'épargnèrent pas nos paysans,Un froid terrible régna sur
les mois d'hiver 1076/1077 à tel point qu'il en détruisit la plupart
des arbres dans le Maine. En 1125, la neige accompagnée de grande
froidure dura jusqu'en mai. Pendant les mois de janvier, février et mars
1358, des quantités extraordinaires de neige tombèrent rendant la vie
paysanne très difficile) qui appartenait aux comtes du Maine, de toute ancienneté. Le pays très boisé touchait aux deffais de Vadré, qui sont restés jusqu'à nos jours le noyau de cette vaste forêt, dite forêt du Mans ou de Longaunay, qui partait du Mans, bordait la rive gauche de la Sarthe et s'avançait par Saint-Jean-de-la-Motte presque sur la rivière du Loir. A la demande de l'abbesse de Saint-Sulpice, les fondateurs accordèrent au nouveau monastère les droits d'usage,de chauffage et de pâturage dans la forêt de Longaunay.
Deux mois après, le 14 janvier 1118, Foulques et sa femme confirmèrent cette donation à La Flèche. Le prieuré de La Fontaine-Saint- Martin, comme les autres prieurés, était soumis aux règles monastiques qui régissaient « l'abbaye royale et benoît moutier de Saint-Sulpice».« De tout temps la dame abbesse de Saint-Sulpice faisoit servir les dictz prieurez par des religieuses professes de son abbaye qu'elle envoioit de Saint-Sulpice en obédiance aux dictz prieuréz, soubz la conduite d'une religieuse qu'elle commettait en sa place pour le gouvernement au spirituel de chacun des dictz prieuréz et la qualifioit du nom de prieure» .« Les dictes prieures et religieuses venant à décéder aux dlctz pi-leuréz, laditte abbesse de Saint-Sulpice succédoit aux biens meubles qu'elles pouvoient avoir, tant aux dictz prieuréz qu'aultres lieux en dépendantz ».
Les prieurés n'étaient pas électifs, c'est-à-dire que les prieures n'étaient pas nommées par le choix des religieuses Ils étaient collatifs et l'abbesse de Saint-Sulpice. En même temps que la maison religieuse de La Fontaine-Saint-Martin était gouvernée par une prieure, elle comptait aussi un prêtre nommé tout d'abord le prieur, qui s'occupait de la direction spirituelle, de la célébration des offices,et aussi de l'administration du temporel du prieuré. Ce prieur anciennement était un religieux de l'ordre de saint Benoît, assisté lui-même souvent d'un ou de plusieurs autres. A la fin du XIIe siècle les religieuses avaient institué un troisième prêtre pour célébrer la messe dans leur église.Les prieurs de La Fontaine-Saint-Martin étaient astreints,comme les autres religieux revêtus de cette charge, A La Fontaine-Saint-Martin, l'abbesse nommait d'autre part à la cure paroissiale dont les bâtiments presbytéraux étaient compris jusqu'en 1C32 dans ceux du prieuré Ie même. Le nom de ces religieux n'est pas souvent spécifié dans les actes.En 1180, le prieur de La Fontaine-Saint-Marlin s'appelait Hervé en 1224, Lambert qui fut chassé et remplacé par Hubert en 135G, Guillaume Le Coq en 1372, frère Pierre Katmelh .Au XIV8 siècle on peut remarquer que le nombre des religieux était assez nombreux, car en 1367 l'abbesse de Saint-Sulpice adresse un rescrit au prieuré de La Fontaine-Saint-Martin et notamment « aux receveurs, religieux, ses prieurs ou administrateur en temporalité, à ses vicaire, curé et chapelain du courent du lieu » . Dom Pioliii dit que l'on possède la preuve que le monastère resta double jusque vers la fin du XVIe siècle.Après le XVI0 siècle les prêtres séculiers remplacèrent les religieux, ils étaient attachés aux prieurés en qualité de chapelains ou d'aumôniers, ils restèrent les directeurs des religieuses et servirent le plus souvent de procureurs à la communauté. Les religieux donats ou condonats disparurent alors. Le costume de ces derniers était noir et semblable à ce que l'on a appelé un karick il comprenait au haut de la rotonde du mantelet un petit capuchon, et au bas, devant et derrière ce mantelet, une pièce carrée de la grandeur de la main on nommait cette pièce le Robert.L'accord de 1680 stipula en outre que les confesseurs et prédicateurs seront choisis par la prieure de La Fontaine- Saint-Marlin et présentés à l'évêque du Mans ou à ses vicaires généraux pour être approuvés soit pour l'ordinaire,soit pour l'extraordinaire à partir de ce moment l'autorité épiscopale put s'exercer d'une façon prépondérante dans la direction spirituelle de la communauté.Pour accentuer l'importance du prieuré, les comtes du Maine lui donnèrent dès l'origine l'existence féodale et en firent un fief ecclésiastique, le premier et le plus important de la paroisse dont la féodalité était constituée au profit de l'abbesse de Saint-Sulpice. Celle-ci eut la seigneurie de la paroisse de La Fontaine-Saint-Martin, ainsi que le patronage de l'église paroissiale (1) dont elle fut qualifiée fondatrice. L'abbesse présentait h la cure et pour tout le reste, la prieure jouissait des droits féodaux, comme elle était astreinte aux devoirs y attachés.La terre, fief et seigneurie (plus tard châtellenie) du prieuré de La Fontaine-Saint-Martin relevait du comté du Maine, par le château du Mans, pour raison du temporel, cens, rentes, revenus et domaines, sous le simple devoir du service divin.Nous avons parlé de cette châtellenie dans notre Elude sur les fiefs de La Fontaine-Saint-Marlin. Aussi nous rappellerons seulement que les prieures avaient droit,comme dames châtelaines, de haute, moyenne et basse justice qu'elles avaient poteaux à leurs armes, et divers droits féodaux tels que ceux: de sceaux et contrats, et de chasse. Les assises de la seigneurie étaient tenues comme celles des autres châtellenies par un bailli, un procureur fiscal, un greffier, un sergent et deux records. Dans la pratique cela se passait assez simplement L'importance de ce fief était accrue dans la paroisse même par ce fait que les seigneurs du Maurier devaient lui rendre des déclarations féodales, à la suite d'un arrêt du parlement de Paris, antérieur à 1618. La châtellenie du prieuré s'étendait sur beaucoup d'autres héritages dans la paroisse, sur les hôtelleries et par certains droits de cens, rentes et dimes sur de nombreux biens situés dans le Maine.La colonie bénédictine de La Fontaine-Saint-Martin devait le jour à la libéralité du comte Foulques les largesses de ses successeurs assurèrent son existence. Avec une pieuse et admirable persévérance les Plantagenets, et plus tard les Valois, attachèrent leur nom à ce modeste prieuré fondé par leur prédécesseur ou leur ancêtre. C'est une caractéristique de ces âges de foi de voir les fils et les descendants soutenir les œuvres pieuses de leurs pères et continuer ces traditions de charité plus glorieuses que des conquêtes.Le monastère bénédictin de La Fontaine-Saint-Martin en éprouva les heureux effets. Dans une fondation quelconque les débuts sont toujours difficiles ils devaient l'être là, autant et peut-être plus qu'ailleurs. Dans ce pays très boisé,pauvre et peu productif, aux dépenses de nouvelles constructions on peut ajouter les frais de secours religieux à donner au peuple qui en est privé. Il fallait lui donner l'aumône matérielle, en même temps que l'aumône morale. Il fallait aussi dans des guerres nombreuses qui agitaient le pays payer souvent de lourdes contributions.La charte fondatrice de 1117 avait donné au prieuré pour sa naissance, la terre qui dépendait du lieu de La Fontaine-Saint-Martin, abandonné à son profit, avec des droits de pâturage et de chauffage. Le fils de Foulques et d'Eremburge, Geoffroy- le-Bel dit Plantagenet, né en 1113, fut d'abord associé très jeune par son père à cet acte fondamental au moyen d'une nouvelle confirmation faite à La Flèche l'année suivante en présence du directeur des moniales, de ce moine Raoul, que nous croyons être le fondateur lui-même de Saint-Sulpice..Devenu comte du Maine, Geoffroy-le-Bel accorda au prieuré une rente annuelle et perpétuelle de 60 livres angevines, somme importante pour l'époque (21). Henri II, comte d'Anjou, plus tard roi d'Angleterre, confirma la donation de son père en 1151 par une charte datée de Baugé où il fixe les époques de paiement. Il décide que pour le service de cette rente, '20 livres seraient prélevées à la fête de saint Nicolas sur son revenu d'Angers, 20 livres à la Pentecôte sur son revenu du Mans, et 20 livres à la fête de Notre-Dame sur son revenu de Tours.Philippe IV le Bel, vers 1302 ou 1303, visita la province et s'arrêta, dit-on, an monastère de La Fontaine-Saint-Martin. Il séjourna dix jours dans le pays qui reçut après lui la visile d'autres Valois.Vers la fin du XIIe siècle (entre 1190 et 12M), Patrice 111 de Sourches (de Cadulcis), pour le bien de son âme et des âmes de ses père et mère, de sa femme, de ses enfants, donne au prieuré au heu de la dime de ses terres de Malicorne, de Sourches et de Brûlon, qu'il leur avait précédemment octroyée, cent sous mansais de rente sur ses domaines. Il redevait sur cette somme dix sols qui devait être attribuée chaque année, à sa fille Cécile religieuse de La Fontaine-Saint-Martin.Les donations se multiplient. En 1275, Philippe Le Moyne attribue aux religieuses cinq sols mansais a prendre sur sa terre de Foutenay, en Mansigné, paroisse voisine. Encore au XIII0 siècle, Guy de Broussin, chevalier, seigneur de Broussin, en Fay, qui avait deux filles, Agathe et Jeanne, religieuses à La Fontaine-Saint-Martin, donne en 1295-, vingt sols de rente sur sa terre de Broussin.Deux maisons de ce nom ont brillé successivement dans l'histoire du Maine. La première blasonnait d'argent au quinle feuille d'azur (3). Elle est sortie des seigneurs de Voutré et d'Aron , au Bas-Maine, et a brillé d'un vif éclat comme seigneurs de Sourchos et de Pescheray dans le Haut-Maine. Cette maison e->t seule connue dans la province aux XIIIe et XIVe siècles. C'ebt à elle sauf les armoiries que semblerait se rattacher notre prieure. Comme elle on les nomme Le Vayer et Le Voyer, La Vayère et La Voyère les seigneurs de Sourches ont hérité de tous les biens des anciens seigneurs du nom de Sonrches, que nous avons vus s'intéresser au monastère de La Fontaine-Saint- Martin et même lui donner une religieuse au début du XIII0 siècle ils s'intéressent aussi au prieuré voisin de Château l'Hermitage dont ils sont bienfaiteurs.
Hugues de Vernie avait fait accord en 1228 avec Geoffroy Hurel, chevalier, et un certain Josbert, meunier,
au sujet du moulin de Flouet, en Cerens. Quelques années après, la veuve de Pierre Burel, donna en 1254 au prieuré tout ce qu'elle pouvait avoir au moulin de Flouet, sans aucune réserve, et elle y ajouta certames dimes de blé et de chanvre qu'elle avait dans cette paroisse de Cerens.
Vente de biens nationaux à La Fontaine-Saint-Martin.
BIENS DU PRIEURÉ DE LA FONTAINE-SAINT-MARTIN
1791 Acquéreurs Prix:
Landes et pâtures: Louis Simon, Pierre Cureau et Julien Ménager,de La Fontaine-Saint-Martin. 4501.
Champ Bouquet: Michel Fougery, Pierre Cureau, François Pageot, Julien Ménager, Jacques Lonot et Louis
Simon, de La Fontaine-Saint-Martin. 3,4001.
Champ: Gervais Lelong, curé de La Fontaine-Saint-Martin. 1,750 1.
Petite pièce de la Paumerie Catherine Bellanger et Jean Jusseaulme, prêtre à La Fontaine Saint-Martin. 1,700 1.
Moulin de La Rochelle: Joseph bouclier, meunier à La Fontaine-Saint-Martin. 1,0501.
Lieu de La Rochelle: Félix Lecorneux, de Mansigné. 13,000 1.
Maison près les Halles: Michel Foulard, de Courcelles. 050 1
Taillis de I.a Paumerie : Henri Soyer, de La Fontaine-(4arpents) Saint-Martin. 1,000
Pré de la Coulée: Pierre Cureau, de La Fontaine-Saint-Martin. 1,1001
Les religieuses habitaient encore leur monastère si menacé. Lors de la liquidation des traitements des prêtres, religieux et religieuses du district, elles sont portées à la date du 8 avril 1791 pour une somme de 1,5001. (t) elles ne jouirent pas de cette pension dérisoire
Pré de Saint-Martin :Michel Rolland et Gervais-René Lelong, ex-curé. 1,4001.
Pré de la Forge :Mathurm Laurent, Jacques Loriot , François Pageot, de La Fontaine Saint-Martin. 2,000 1.
Bordage de La Bourne: Jean-René Le Tertre, prêtre, demeurant a La Fontaine-Saint-Martin. 7,0001.
Bordage de La Porcherie: Jacques Noury, de La Fontaine-Saint-Martin. 4,000 1.
Pièce des Landes: Mathieu Laurent et Jean Martin,de La Fontaine-Saint-Martin. 1,000 1.
Maison et jardin Pierre :Paon, de Ligron. 300 1.à La Petite Porcherie
Lande (20 journaux) :Jean Chauvin père, de La Fontaine-Saint-Martin. 4O01.
Id. (4 journaux): Julien Ménager, de La Fontaine-Saint-Martin. 83l.
Id. (15 journaux.): Louis Jouanneau,de La Fontaine-Saint-Martin. 3141.
Id. (12 journaux) :Jean Angibault, de La Fontaine Saint-Martin. 240 1.
Un-tailhs: (51 arpents) Crépon, de Saint-Jean-de-la Motte,
Rioche,: Jubeault, Boulet, du Lude. 9,1001.
Deux morceaux de lande: Pierre Piron, journalier à La Fontaine-Saint-Martin. 3001.
1792
Maison et deux jardins: Mathurin Laurent et Michel Rolland,de La Fontaine Saint-Martin. 1,0751.
Maison conventuelle :de Pierre-Louis Charles, receveur de La Fontaine-S'-Martin, l'enregistrement à La Flèche. 3(3,200 1. cours, jardins, parc, Total. 91512 .1. futaie, avenue, etc.
*Mairie de La Flèche. Registres de l'administration du district
*revue historique et archéologique du Maine
*Voir le Cartulaire du Prieure pour toutes les donations des
seigneurs du Maine au prieuré de La Fontaine-Saint-Martin
Mur d'enceinte de la chapelle d'un prieuré de Bénédictines, vendu à la Révolution.
J'ai eu un coup de "pompe" je me suis assis et restauré pour repartir.
La Fontaine St Martin:
une ville fleurie
Je tiens à votre disposition en (PDF) la totalité du document sur le couvent de la Fontaine St Martin
*Si vous avez constater des erreurs me le faire savoir , merci
* pour ceux qui désirent certaines photos en format normal, je suis à votre disposition ou de venir pratiquer la randonnée ci-dessus.
adresse mail: rando-libre72@gmail.com
Photos sous copyright (Busson J.G)et D.R (droit réservé)
le copyright: trans-vidéo72 étant en D.R également
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