Itinéraire: Groupe
Nombre de participants: 22 le matin
Terrain: Bitume+Centre ville
Temps: Très beau temps
Départ: 9h21mn
Stationnement:Parking Covoiturage derrière station Bus
Durée: +/-2h04mnmn au GPSle matin
Parcours: 5,4Km
Difficulté: Facile
Dénivelé Positif: +122m
Dénivelé Négatif: -124
Point Haut: 51
Point Bas: 0
Balisage: Personnalisé
L'Arrivée de nos courageux randonneurs du jour
Les "Compères" Jean & Bernard
Vue du quartier neuf du Parc des Dames ouvert en 1840 suite à la fermeture du couvent Notre Dame.
Née dans une famille de tanneurs de la petite paroisse de Sainte-Colombe, située sur la rive gauche du Loir face à la commune de La Flèche,qui l'absorbe en 1866, Françoise Jamin décide de consacrer sa vie au soin des pauvres, des malades et des infirmes. En 1806, elle accueille dans sa maison de la rue de la Beufferie ses premiers pensionnaires, et fonde ainsi la congrégation religieuse des Filles du saint-coeur de Marie dite de la Providence, dont elle devient la première Supérieure.
En 1808, moins de deux ans après sa création, la Providence accueille déjà une quarantaine de pensionnaires et sept sœurs associée. Peu à peu l'établissement se développe et la congrégation fait l'acquisition d'immeubles et de terrains situés autour de la maison de la rue de la Beufferie afin d'agrandir ses locaux Dès 1809, la règle de la congrégation, fortement inspirée de la règle de Saint-Augustin est approuvé par l'évêque du Mans, Mgr de Pidoll. Les sœurs prononcent les vœux de pauvreté, de chasteté, d'obéissance et de servir les pauvres Dans les premières années de l'existence de sa congrégation, Françoise Jamin se voit proposer le rattachement de la Providence à la congrégation fondée à Baugé par Anne de la Girouardière les « Filles du Sacré-Cœur de Marie », ce qu'elle refuse. En 1811, la Providence reçoit le don d'un fragment de la Vraie Croix de la part de la congrégation baugeoise Les statuts de la congrégation de la Providence ne sont reconnus officiellement que le 23 mars 1828 par ordonnance royale . Quelques mois plus tard, Françoise Jamin et les autres sœurs de la communauté prononcent leurs vœux solennels en l'église Saint-Thomas. Après le décès de Françoise Jamin en 1840, la Providence poursuit son développement, et fonde même deux nouveaux établissements, à Vendôme en 1846 puis à Mayenne en 1865 En 1850, la Providence de La Flèche accueille 165 personnes, dont 27 religieuses. Le 8 Octobre 1829 les religieuses de la communauté de la Providence ouvrent une clinique chirurgicale dans une aile de l'établissement1. Au début des années 2000, quand apparaît un projet de création d'un pôle hospitalier commun entre les villes de Sablé S/Sarthe et La Flèche la clinique privée de la Providence, après un premier refus, accepte d'intégrer le projet Les locaux de la Providence accueillent aujourd'hui une maison de retraite Un musée retraçant la vie de Françoise Jamin a été aménagée dans une partie du bâtiment de la maison de retraite.Les bâtiments actuels de la Providence s'articulent autour de la maison familiale de François Jamin située rue de la Beufferie, où sont accueillis les premiers pensionnaires en 1806. Dès son ouverture, ,un oratoire est installé,dans l'une des chambre du bâtiment En 1807, l'évêque du Mans donne l'autorisation aux sœurs de la Providence de posséder un chœur et une chapelle et d'y célébrer publiquement l'office Cette première chapelle, bénie en 1809, est utilisée jusqu'à sa démolition et son remplacement par l'actuelle chapelle. Très vite, la maison de Françoise Jamin apparaît trop exiguë et inadaptée à l'accueil d'un nombre croissant de pensionnaires, c'est ainsi qu'entre 1806 et 1811, elle procède à l'acquisition de six maisons voisines et fait entreprendre divers aménagements pour répondre aux besoins de l'accueil des nouveaux pensionnaire En 1841, la reconstruction complète des bâtiments abritant la communauté commence. Les travaux s'étalent sur dix ans, dirigés par l'architecte Urbain Lemoine, qui a déjà travaillé à la restauration de
l'église St Thomas de la Flèche L'ensemble des bâtiments forme un rectangle de 85 m par 59 m, au centre duquel se trouve la croisée de la chapelle, qui délimite quatre cours rectangulaires Le grand côté est du rectangle, qui borde la rue de la Beufferie et au milieu duquel se situe le porche d'entrée, se compose de bâtiments à deux étages recouverts de toits à deux pentes. Les bâtiments situés à gauche du porche sont les premiers à avoir été reconstruits, en 1841 Deux ailes en retour, bâties en 1848, forment les petits côtés du rectangle. L'aile nord a été bâtie dans sa totalité, alors que l'aile sud ne l'a été que dans sa partie est. Le grand côté ouest, autrefois clos par un mur, ouvre sur les jardins
L'espace intérieur du rectangle est occupé par des bâtiments formant une croix latine et dont le centre constitue le chœur de la chapelle, surmonté d'un clocher polygonal. La branche est de la croix correspond à la nef de la chapelle, édifiée entre 1845 et 1847, la branche nord est occupée par le chœur des religieuses et le réfectoire, datant de 1845, tandis les branches ouest et sud abritent, respectivement, la salle des femmes et la salle des hommes Une petite chapelle, dédiée à Saint-Joseph, est construite dans le parc vers 1872. Le corps de Françoise Jamin est placé dans le chœur des religieuses le 23 Avril 1845 peu de temps après la reconstruction du bâtiment.
La chapelle de la Providence:
Achevée en 1847, la chapelle est consacrée au mois de juin de la même année par l'évêque du Mans Jean-Baptiste Bouvier.
Le chœur de la chapelle est entièrement peint à partir de 1864 par un artiste alençonnais, Pierre-Honoré Chadaigne. Plusieurs reliques sont renfermées dans le chœur de la chapelle. Les reliques de sainte Laurence, extraites des catacombes de Rome ont été envoyé par le St Siège à la congrégation de la providence le 13/03/1852.
Vers l'an 1000, il existait à cet endroit 3 îles : la chapelle/le moulin, le cloître et le château.
Ce fut le premier château de La Flèche.
Situé au milieu du Loir, ce château n'était qu'un simple donjon avec un pont-levis qui permettait de contrôler le passage des bateaux sur la rivière. De cette époque, il ne reste qu'un pignon du pont-levis, sur l'aile droite du château.
Le premier seigneur de La Flèche fut Jean de Beaugency mais il n'y vint jamais. 33 autres lui succèderont jusqu'à la Révolution. A leur tête, son fils, Hélie, sera le premier à vivre dans la ville. Ce dernier fit aménager le port et construire la première église : Saint-Thomas.
La Flèche, berceau des Plantagenêts : Hélie de La Flèche, seigneur de la dite, comte du Maine aura une seule fille, Eremburge. De par son mariage avec Foulques d'Anjou, le Maine et l'Anjou sont réunis. Eremburge aura un fils, Geoffroy dit Plantagenêt, comte du Maine et d'Anjou, et un petit-fils Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre. Celui ci, également duc de Normandie et comte du Maine et d'Anjou, se maria en 1152 avec Aliénor d'Aquitaine. Par ce mariage, il réunit à son royaume, l'Aquitaine.C'est ainsi que la seigneurie de La Flèche vint à la puissante dynastie des Plantagenêts. Puis vint la guerre de 100 ans et le château fut plusieurs fois assiégé et incendié par les Anglais. En 1537, ce château appartient à la grand-mère d'Henri IV mais n'étant plus habitable, et désirant venir se retirer à La Flèche, elle fit construire un autre château : le château-neuf qui deviendra le Collège des Jésuites et plus tard le Prytanée National Militaire.En 1620, le château sera donné par Louis XIII, fils d'Henri IV, à la communauté des Pères Carmes avec la mission de le relever de ses ruines.
Ils y restèrent jusqu'à la Révolution, époque à laquelle le domaine fut mis en vente comme bien national. L'acquéreur fut un négociant de Fougeré, François-René Bertron.
Pendant 112 ans, le château restera dans la même famille et deviendra une belle demeure avec un parc. En 1880, furent ajoutées les deux tourelles néo-classiques côté rivière.
En 1909, la municipalité racheta le château pour y établir la mairie.
Malheureusement, un incendie va à nouveau détruire, en partie, le château des Carmes en 1919.
Reconstruit en 1928, il accueille aujourd'hui des expositions et aussi les mariages, certaines réunions et réceptions.
Eglise du XII et XIII Siècle,D'une richesse remarquable ,le décor provient des églises et couvents de la région fermés à la révolution.
Orgue Merklin: 1885 : orgue neuf de Joseph Merklin,ensuite transformation par Pierre Chéron, 1976 : transformation par Benoist-Sarélot.(Le projet de restauration porté par l’association des Amis de l’orgue avance à grands pas. Une souscription va être lancée à suivre...) L'’orgue de Saint-Thomas est le témoin d’une époque où l’orgue vécut un extraordinaire renouveau, deux générations après la tourmente révolutionnaire qui fit disparaître bon nombre d’instruments honnis pour leur symbolique et convoités pour le métal de leurs tuyaux – le même que celui des balles de fusil ! Il faut imaginer que la manufacture Merklin, à l’instar de sa grande concurrente Cavaillé-Coll, employait alors plus de cent personnes et produisait plusieurs centaines d’instruments de toutes tailles. Elle usa abondamment des perfectionnements de l’époque : nombreux accouplements, boîte expressive permettant de faire varier le volume, sonore de l’orgue de pianissimo à fortissimo, machine pneumatique inventée par Charles Barker pour alléger la dureté du clavier.
Signe de l’importance du culte à Saint-Thomas, l’église disposait d’un petit orgue (salicional, flûte, bourdon, voix céleste, prestant, trompette) disposé au fond du chœur, derrière le maître autel aujourd’hui déplacé en ce même endroit. Il fut livré en 1863 par le facteur belge Hippolyte Loret, auteur de beaux instruments. Il fut restauré en 1885 à l’occasion de l’arrivée du nouveau grand orgue. Des clichés de son buffet néo-gothique témoignent qu’il était encore présent dans les années 1950 durant lesquelles il fut de nouveau restauré par Chéron. Etonnamment, nous en perdons trace par la suite.Les grands édifices religieux disposent encore souvent de deux orgues : l’orgue de chœur, proche de la chorale et des prêtres, accompagne les chants. Le grand orgue lui répond pour les intonations solennelles et le jeu des grandes pièces du répertoire lors de moments que la liturgie catholique réserve à la musique
Saint-Michel terrassant le Dragon, groupe sculpté en bois de chêne polychrome du XVIIe qui provient du couronnement de l'orgue de la collégiale d'Amboise. Elle est achetée au début du XIXe par les paroissiens de Saint-Thomas, et classée depuis 1977
Stalles en bois du XV provenant de l'Abbaye de la Boissière (Maine et loire)
Fonds Baptismaux avec un marbre du XVIII
Le collège est fondé en 1603 par Henri IV, qui donne aux Jésuites le château construit par sa grand-mère. Aussitôt, les Jésuites lancent un exceptionnel programme architectural qui s’articule autour de cinq cours s’alignant entre l’enceinte urbaine et la rue du Collège. La première campagne voit la construction du bâtiment de la salle des Actes et de l’église Saint-Louis, l’un et l’autre achevés en 1621. Progressivement, tout au long de la première moitié du 17e siècle, sont édifiées la cour des Pensionnaires et sa cour des communs, puis la cour des Pères (devant l’ancien château de Françoise d’Alençon), elle-même accompagnée par une cour de communs, et derrière laquelle, de l’autre côté du fossé de l’enceinte, se développe un grand parc occupant les anciens jardins du château. C’est cette organisation qui est aujourd’hui encore conservée intacte, même si l’ancien château a fait l’objet d’une reconstruction complète en 1784. Les meilleurs architectes du temps sont intervenus sur ce chantier : d’abord Louis Métezeau, architecte du Roi, à qui l’on doit le bâtiment de la salle des Actes et la première campagne de l’église, puis le père Étienne Martellange, architecte des Jésuites, qui remanie les projets de Métezeau et termine l’église sur un plan en croix latine.En 1610, le cœur du Roi y est déposé, dans un cénotaphe ; il sera rejoint en 1643 par le cœur de la reine Marie de Médicis. L’un et l’autre seront brûlés en place publique en 1793.Les Jésuites sont chassés du royaume en 1762. Les bâtiments du collège hébergent alors l’École Militaire des Gentilshommes-élèves du Roi, puis en 1776 le Collège Royal et Académique. Les écoles militaires étant supprimées en 1793, les bâtiments abritent l’administration du district de La Flèche ainsi que la municipalité. L’église est transformée en salle de réunion pour un club révolutionnaire. Enfin, en 1808, sur l’ordre de Napoléon Ier, le Prytanée Militaire Français est transféré de Saint-Cyr à La Flèche. L’école assure un enseignement du second degré ainsi qu’une préparation aux concours d’entrée des grandes écoles militaires.Les bâtiments historiques du Prytanée ainsi que le parc peuvent se visiter en été
La place est dominée par un des principaux édifices publics de la ville : le théâtre et la halle au blé. Le bâtiment avait à l’origine une double vocation : halle au blé en rez-de-chaussée, hôtel de ville à l’étage. Dans son état actuel, l’édifice date des 18e et 19e siècles : le corps central et l’aile gauche remontent à 1771, tandis que l’aile droite (dont le tuffeau est légèrement plus jaune) date des années 1830. Cette dernière abrite à l’étage un charmant théâtre à l’Italienne, un des plus petits de France, inauguré en 1839, et qualifié dès son ouverture de « bonbonnière ». Il a été récemment restauré, et accueille régulièrement des spectacles et concerts.Les attributs qui ornent le fronton en façade rappellent les spécificités de La Flèche au 19e siècle : à gauche de l’horloge, le canon, la hache, le clairon et le drapeau évoquent le Prytanée militaire, tandis que de l’autre côté, la voile de bateau, le bâton de quartier, les fléaux et les épis de blé se réfèrent à l’activité du port et aux productions agricoles.L’hôtel de ville a été transféré en 1909 dans le château des Carmes. L’ancienne halle, au rez-de-chaussée, accueille aujourd’hui des expositions.Sur le flanc nord de la place, au n°5, se dresse un imposant hôtel particulier du 17e siècle
. Pavillon Fouquet de la Varenne, seul vestige du château construit au 17esiècle.,Rasée en 1818/1820.
Un personnage va marquer de son empreinte l'histoire de La Flèche : Guillaume Fouquet de la Varenne.Porte-manteau et confident du roi Henri IV, il va contribuer, avec
son appui, à transformer et embellir la ville. Il accroît sa fonction
administrative par l'obtention d'un siège présidial et d'une
juridiction prévôtale. Il fait paver les rues et reconstruire les remparts de la ville. En 1615, le roi dote La Flèche d'un corps de ville.Afin de le remercier de ses loyaux et bons services, le roi va lui donner des terres en pays fléchois.Fouquet de la Varenne, désormais seigneur engagiste de La Flèche, y construit alors un magnifique château
dont les bâtiments correspondent grossièrement à l'actuelle Grande
Rue, dans sa partie est, et dont les jardins s'ouvrent au sud jusqu'au
Loir, par des parterres et des terrasses. Il ne reste presque rien de cette magnifique demeure, seuls les deux pavillons, situés au sud du château, subsistent. Un des deux pavillons en état de ruine, fait partie d'une propriété
privée, l'autre a été racheté par la municipalité et a été
entièrement restauré.
Le château fut vendu après la Révolution et démantelé entre 1818 et 1820 : ses poutres et ses pierres ont servi à construire certaines demeures de la Grande Rue.
En plein cœur de ville,un imposant
château fut édifié à partir de 1603 pour Guillaume Fouquet
de la Varenne, (1560-1616). Ce Château
était entouré de plan d'eau et d'espace vert puis dans les années
1620, on amenagea un jardin orné de parterre réguliers et parcouru
de canaux.
Considéré comme l'une des plus belles
demeure de la région cet ensemble était en quelque sorte
un petit Versailles Flèchois. Délaisser par les derniers héritiers
le château à un marchand de biens a entièrement démoli . Sous la Restauration les parcs et
jardins ont disparu et plusieurs constructions annexes se sont
trouvées englobées et ont cessé d'être entretenues .En 1994 la ville de la Flèche a
racheté le terrain compris entre le garage ,la grande rue ,le bras
d'eau connu des Flèchois sous le nom de
Douve .Or il y existait les restes du pavillon situé à l'angle
sud-ouest de la première enceinte ,par la première restauration du
château .Aujourd'hui le pavillon abrite une
exposition retraçant l'histoire de Guillaume Fouquet de la Varenne.
PIQUE-NIQUE AU MOULIN DE LA BRUERE
L’APRÈS PIQUE-NIQUE
Visite du Moulin par conférencier
En 1896, il y a, en France, 37 050 Moulins,la plupart sont des petits moulins ,qui sont au nombres de 35260 , 9291 Meuniers travail seul dans leur Moulin, 3019 Moulin sont exploités par le meunier et sa famille, 22950 sont dirigé par un Meunier et occupent 1 ou 5 ouvriers. En 1931 il reste en France 14440 Moulins. Il faudrait rajouter 330 Moulins de l’Alsace et de la Lorraine,ces moulins ne sont pas inclus dans les 14440 Moulins car ainsi on peut faire la comparaison entre les chiffres de 1896 et ceux de 1931. On voit donc entre 1896 et 1931 soit 35ans ,la France a perdue 22610 Moulins soit plus de 60%
Dès le XI Siècle,s'édifie sur le Loir,barrages avec moulins,et écluses.Seigneurs et communautés religieuses se donnent ainsi les moyens d'affirmer leur puissance et leur autorité ,d'une part en obligeant la population local à utiliser le Moulin banal et d'autre part ,en controlant la navigation,aux portes Marinières.Seule force motrice jusqu'au XIX ,les roues à aubes des moulins s'adapteront peu à peu aux besoins de l'époque.Les Moulins de la Bruère ,d'abord bâti pour moudre le seigle,l'orge,le froment en farine, vont ensuite piler l'écorce (Moulin a tan) ,broyer le trèfle et le chanvre ,écraser noix et pépins, (Moulin à L'huile) ,broyer les chiffons
(Moulin a papier),,scier le bois.Le Moulin actuel est propriété de la ville de la flèche et géré par l'association des amis du Moulin de la Bruère.Il produit son électricité ,aplatit avoine,orge etc.. fabrique des pains de glace à rafraichir depuis 1930,et aujourd'hui s'ouvre aux visiteurs.
Bientôt remplacée par des pales en fer
la roue à aubes présente des dimensions imposantes : 6 m de diamètre et 4 m de large pour un poids total de 15 tonnes.
Les Ruines de l'Ancien Moulin
TRÈS MAUVAISE PRISE DE VUE, MAIS CONSERVEE POUR L'HISTOIRE
LA MACHINERIE
Sur votre gauche la sortie de la farine, au fond la meule pour écraser les graines et extraire l'huile
Le tableau électrique avec un Voltmètre qui ne devait jamais dépasser 110V,un ampèremètre et un rhéostat pour réguler la tension le tout sécurisé par un coupe circuit interrupteur.
Contrôleur de vitesse à boules de Watt : plus la vitesse imprimée aux
mécanismes du moulin est importante, plus les boules s’élèvent ; un
système d’ergots fait sonner la clochette dans deux cas : si la vitesse
est insuffisante (une sonnerie), si la vitesse est excessive (deux
sonneries) ; si la vitesse est convenable, il n’y a pas de sonnerie ; rappeler vous la chanson: meunier tu dors ton Moulin,ton moulin va trop vite, ton Moulin,ton moulin va trop fort....
LA PARTIE FABRICATION DE LA GLACE
L'atelier glace, installé en 1929 et mis en service en 1936, permettait
de produire 10 tonnes de glace chaque jour. Le système de fabrication
consiste à plonger des bacs en tôle (appelés mouleaux) remplis d'eau
potable dans une cuve où baigne un liquide incongelable refroidi à une
température de −12 °C.Restauré en 1998, ce système a permis la reprise de la production des pains de glace dès 1999.L'atelier meunerie se compose de deux meules horizontales, l'une fixe,
appelée « dormante », et l'autre mobile, appelée « roulante ». Elle
permet la fabrication de boulange et d'aplatis destinés aux animaux.Deux Dynamos reliés à ce mécanisme permettaient autrefois la production
d'électricité pour l'éclairage du moulin et la consommation personnelle
du meunier.
.
Le Compresseur du même genre que celui d'un réfrigérateur en beaucoup plus puissant
Les Glacières en Sarthe
le stockage de glace
DÉPART POUR NOTRE DEUXIÈME PARCOURS RANDO DE LA JOURNÉE
LE CHEMIN DES DEUX LACS DE LA MONNERIE:
Itinéraire: Groupe
Nombre de participants: 22 Terrain: chemins
Temps: Très beau temps
Départ: 14h30mn
Stationnement:Parking Du Moulin
Durée: +/-2h45mnmn au GPS a beugué
Parcours: +/-6Km
Difficulté: Facile
Dénivelé Positif: +
Dénivelé Négatif: -
Point Haut:
Balisage:
Nombre de participants: 22 Terrain: chemins
Temps: Très beau temps
Départ: 14h30mn
Stationnement:Parking Du Moulin
Durée: +/-2h45mnmn au GPS a beugué
Parcours: +/-6Km
Difficulté: Facile
Dénivelé Positif: +
Dénivelé Négatif: -
Point Haut:
Balisage:
PHOTOS DE NOS PARTICIPANTS DU JOUR
Une légende nous apprend que les parents d'Henri IV, Antoine de Bourbon
et Jeanne d'Albret, conçurent le roi de Navarre et futur roi de France, à
La Flèche.
MERCI AUX ORGANISATEURS DE CE PARCOURS:
JEAN ,BERNARD
* Capture photos avec petit APN de poche
*Si vous avez constaté des erreurs me le faire savoir merci*Pour ceux qui désirent des photos en format "normal" ,je suis à votre disposition;
*Adresse mail: rando-libre72@gmail.com
*Photos sous copyright (Busson Jean-Guy) et D.R (droit réservé)
*Le copyright :trans-vidéo72 étant un D.R également de Mr Busson Jean-Guy .
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