Vallon-Sur Gée /Crannes-en-Champagne/Vallon-Sur-Gée
Randonnée du Jeudi 6 Juin 2024
Itinéraire: Groupe LSR72
Nombre de participants: 26
Terrain: Chemins + Bitume
Temps: Très beau
Départ: Face de la Mairie ( Problème d'accès pour travaux suivre déviation)
Stationnement: Parking Face de la Mairie
Durée: 2H55mn avec les pauses
Parcours: 8,57 km au GPS
Difficulté: +/- Facile
Dénivelé positif: +127m
Dénivelé négatif: -123m
Point Haut: 134m
Point bas: 84 m
Départ : 13H56mn
Balisage Personnalisé: Parcours Balisé Jaune + Personnalisé
Températures: après midi :24°
Historique Vallon-Sur-Gée: Vallon ou "vâlon" est d'origine Celtique, les Vestiges d'une villa gallo-Romaine furent découvert lors de travaux de la ligne TGV sur la route de Menuau. Autour de la motte féodale vestige d'un château habité jusqu'au 12ème siècle subsiste seulement l'église Saint Pierre et Saint Paul, érigée à la même époque. Elle a été classée monument historique en 1932. Autour de la motte, plusieurs fiefs et Seigneuries se sont formés (Chanteloup, Guiberne, le Béru, les Roches, (Actuelle Mairie), la Barre, La Grange et Menuau). Deux prêtres ont marqués la commune: le Chanoine François Pineau, pour toutes ses œuvres caritatives, notamment l'hospice, le collège de garçons, l'école de filles et le père Pierre Paris qui a officié très longtemps à Vallon. En 1970 Vallon était le chef-lieu de canton avec ses Halles, datant du 16ème siècle où se tenaient les foires et les marchés; Elles furent transformées en salle des fêtes au cours du 20 siècle. L'activité professionnelle y était prospère avec ses fabriques d'étoffes (rue de la juiverie), de chaussures,tuileries, mais aussi l'extraction de pierre et de minerai de fer. Une ligne de chemin de fer, passant au sud de Pont-Martin reliait le Mans à St Denis d'Orques. le boulevard de la gare et la maison près du terrain des fêtes en témoignent. A côté du collège (ancien collège de garçon), datant du 17ème siècle se tenait une léproserie (la Maladerie), la maison étant encore visible aujourd'hui. Jusqu'après la deuxième guerre mondiale, Vallon était un village prospère, l'exode rural a entraîné une importante diminution de la population, du commerce et de l'artisanat.
Le Manoir du petit Béru 1487-1490, la construction de ce manoir serait due à Anne de Champagne. Le site est cependant occupé bien avant cette édification, puisque des tessons du Xèm siècle et un épais mur enfoui y ont été retrouvés. Il s'agissait alors probablement d'un site militaire. les façades et toitures, les deux cheminées ainsi que l'escalier intérieur font l'objet d'un classement
aux monuments historique par arrêté du 29 Novembre 1976
Château de la Grand Moreau: Au milieu du XIXè , la propriété appartient à Madame de Montesson qui a fait construire vers 1842, à l'emplacement de l'ancien manoir, un château dans le style renaissance et le parc est redessiné. La chapelle porte la date de 1846.
Château de Chanteloup XVIè
siècle. Ce château est reconstruit sous l'impulsion de Nicolas Prieur,
écuyer,mais les travaux ne sont pas terminés faute de moyens financiers.
Seule l'aile droite est édifiée. Les prieurs de Chanteloup sont connus
dès 1393. En 1732, leur dernier descendant vend le domaine.
Le Manoir de Guiberne: Mentionné dès 1578, le manoir est restauré et complété, en 1645. Les douves sont recreusées et rectifiées . Les pavillons d'angle présent des façades ornées d'éléments sculptés (corniches aux motifs de feuillages pilastres ioniques éléments de fronton) fins et ouvragés. Inhabité depuis le début du 18èm, le manoir a préservé ses aménagements réalisés entre 1645 et 1651. Le manoir est en rénovation.
Gentilé: Vallonnais
782 Habitants en 2021. Canton de Loué.
1: Mairie, 2/ Eglise, 3/Cimetière, 4/École privé, 5/École Public, 6/Centre de Secours, 7/Motte Féodale, 8/les Halles associative, 9/Salle des fêtes, 10/ Maison de Retraite, 11/Terrain de sports, 12/ Moulin de l'Arche, 13/ Hôtel de la Biche, 14/ tri sélectif, 15/Terrain Pique-Nique,Détente.
Ayéééééééé c'est parti mon kiki... pour nos 26 Randonneurs(euses) du jour
Rue de la Juiverie.
Hôtel de la Biche XVIII è siècle, Fondé à la suite des premières croisades pour la défense des lieux saints, l'ordre des templiers est supprimé par le pape Clément V. Cet ancien hôtel offrait le gîte aux voyageurs de passage.
Progressivement, l'établissement devient un bar-restaurant. A la fin du XX siècle, il est de nouveau une maison particulière.
École privé 1905: L'école Sainte Marie est fondée par l'Abbé David à la suite de la séparation de l'église et de l'état. Cette école est tenue jusqu'en 1992 par des religieuses. A cette date, l'école Saint-Joseph, située près de l'église, est rattachée à l'école Sainte-Marie, formant l'école Saint Joseph-Sainte Marie.
Le Moulin de l'Arche Fin du XVè, XVIII et XX siècle. Doté d'une roue en bois, ce moulin est installé sur la rivière la Gée, dont le débit lui permet de fonctionner. Le logis du meunier est incorporé dans le bâtiment à proximité de son lieu de travail. Ce moulin n'est plus en activité à la fin du XX siècle. (La Tannerie, L'Arche).
Longueur la Gée en Sarthe : 31.1 Km. La Gée, nommée aussi Doucelle rivière qui prend sa source à la ferme de Vaurouin sur la commune de Cures, se dirige au sud passe
près et à l’est du bourg de St Julien, reçoit au moulin de Doucelle, qui lui donne son nom, un petit ruisseau venant de la Louvardière, passe ensuite près et l’ouest du bourg de Coulans, au-dessous duquel elle reçoit un autre ruisseau, le contourne au nord-ouest puis reprend sa
direction au sud passe successivement au bourg de Crannes, de celui de Vallon, à l’est de celui de Maigné et enfin va se jeter dans la Sarthe à peu près à égale distance entre les bourgs de Fercé & de Noyen, après 31kmkilomètres pendant lequel elle fertilise les communes désignées,
celles de Brains & de Chemiré le Gaudin et fait mouvoir 24 à 25 moulins, dont trois, le moulin Neuf, celui du bourg et celui de Cochet sur le territoire de Crannes.
Pour ceux qui aurait un coup de pompe...
Nous quittons le bitume pour un sentier
Oufffff nous avons de la chance aujourd'hui il ne gèle pas...mdr😀
Un puits envahi par la végétationC'est un endroit magnifique avec son petit pont et le bruissement de l'eau, on aurait vraiment aimé avoir les transats.
Lavoir du XIXe siècle. En février 1877, le Conseil municipal reprend la discussion commencée dix ans plus tôt sur la construction d'un lavoir public couvert sur la Gée dans le jardin de l'école, près de la buanderie. Un seul problème, l'hiver c'est impossible car l'eau est trop haute et l'été car il manque d'eau.
Plaque de Cocher
Église Saint-Cyr des XIIe, XVIe et XVIIIe siècles. Église de style gothique, abondamment décorée de Retables. L'intérieur de l'église est remarquable pour ses fresques du XIIIe
siècle. Ces fresques, qui représentent des scènes de la vie du Christ,
de la Vierge Marie et des saints, sont d'une grande beauté et sont
considérées comme un chef-d'œuvre de l'art roman. L'église a été construite au XIIe siècle et a été restaurée au XIXe siècle. Elle est classée monument historique depuis 1984. En marge : 1 er temple élevé à la gloire de Dieu sur le territoire de Crannes au commencement du 7e siècle – Ce temple fut élevé sur l’emplacement…par la nef de l’église actuelle. La nef partie la plus ancienne de l’église – elle est du onzième siècle. Le clocher en fut redressé en 1833. L'autel actuel de la chapelle du cimetière était primitivement
l’autel de la Ste Vierge dans l’église paroissiale. Le chœur de l’église de Crannes a cinq mètres 40 cent. de longueur depuis son entrée jusqu’à la Ste table, et six mètres 50 cent.
CHRONIQUES-de-CRANNES: Par l'Abbé Hutereau
C’est la première fois qu’un évêque vient à Crannes La cérémonie est grandiose, 247 confirmands, 517 paroissiens, dont 217 de Crannes, 200 de Vallon et 100 de Maigné. Ce
déplacement survient alors que les recherches de l’Abbé Hutereau commencées depuis deux ans sont en cours de finalisation. L’Abbé Hutereau va très vite déplorer l’absence de sources crédibles, de documents anciens. La révolution de 1789 est passée par là, les archives de Crannes ont été brûlées : « …au commencement de la tourmente révolutionnaire de 89 tous les papiers saisis au presbytère ou à l’église furent brûlés avec beaucoup de livres à l’entrée et près du porche de la maison presbytérale, sur le lieu appelé encore de nos jours le Pressoir St Cyr… ». A ce propos, on pourra noter que l’antependium qui fait l’orgueil de Crannes et de sa Chapelle était initialement installé à l’autel de la Vierge en l’église de Crannes. A noter également, à travers la description de l’Abbé Hutereau, qu’il existait un second antependium qui ornait le maître autel, représentant le martyr de Sainte Julitte et de Saint Cyr , antependium qui de nos jours a disparu. « Deux statues affreusement laides et ridicules occupent les deux niches, savoir à droite, Saint Jean, le Divin précurseur du messie, et à gauche la Ste Vierge. La révolution de 1789, La mise à mort du chapelain des Ursulines de Coutances dans le cimetière de la chapelle est particulièrement émouvant tout comme celle de l’envoi à la guillotine de François Hunault, jeune Crannais de 24 ans dont le seul crime est d’avoir refusé d’embrasser le drapeau rouge qu’on lui présentait L’exploitation des carrières de Crannes avec ses ouvriers qui habitent le haut du bourg est jugée responsable de cet état d’esprit : « L’exploitation des carrières de pierre blanche contribue beaucoup à entretenir l’indifférence pour ne pas dire l’impiété en matière religieuse. Cette agglomération d’hommes, pour la plupart sans instruction et dont un assez grand nombre sont très grossiers » Crannes c’était la seule voie de communication établie alors de tous temps entre Le Mans, Laval et la Bretagne, et le dernier relais sur cette route avant d’arriver au Mans ». Un projet de déviation de la route de Laval au Mans condamnera Crannes au déclin. Fin 1780, la nouvelle route est ouverte. Peu à peu la population décroit, les échanges avec l’extérieur se font plus rares, les conditions de vie deviennent parfois difficiles : « en l’année 1846-1847, qui datera dans l’histoire au nombre des plus malheureuses après les années de disette et de famine. Pour donner de l’ouvrage et du pain aux malheureux de la localité, l’administration, ainsi que je l’en avais priée, fit dresser et niveler tel qu’il est aujourd’hui les abords et environs de l’église. 1849, l’Abbé Pineau étant mort, la réunification de Crenon à Crannes devient possible. L’évêque du Mans valide enfin ce rattachement. le plus ancien registre ne se trouve pas antérieur à l’année 1674. C’est un malheur que nous avons déploré de tout notre cœur et qui a excité notre surprise. Qu’ont pu devenir les registres du 14 e , 15 e et même 13e et 12 e siècle qu’on rencontre assez souvent dans plusieurs localités. Les vieillards de la paroisse que j’ai consulté sur ce point attestent tous et dans les mêmes circonstances qu’au commencement de la tourmente révolutionnaire de 89 tous les papiers saisis au presbytère ou à l’église furent brûlés avec beaucoup de livres à l’entrée et près du porche de la maison presbytérale, sur le lieu appelé encore de nos jours le Pressoir St Cyr. En ouvrant en 1843, la route de moyenne communication qui part du faubourg de la Chapelle pour joindre la route de Vallon au Mans, les ouvriers ont mis à découvert un grand nombre de débris de briques romaines, de fragments de poteries ou vases à l’usage de ce peuple ; enfin une quarantaine de médailles romaines, à l’effigie de différents empereurs ont été recueillies par ces mêmes ouvriers pendant l’exécution de ce travail. Les anciens nous disent encore aujourd’hui avec plaisir, avoir vu dans leur jeunesse arriver à Crannes 80 à 100 mules par semaine, toutes chargées de lourds fardeaux. Un grand nombre d’étrangers affluait ici chaque jour. Des régiments entiers de militaires avoient étapes en passant. On remarque, aussi à leur inspection, que Crannes possédait tous les corps de métier en usage alors, tels que chirurgiens, tanneurs, selliers, étameurs, cordonniers,marchands d’étain et surtout un grand nombre de vastes auberges, telles que Notre Dame, la plus considérable, Notre Dame du Pont, le Pot d’Etain, le Plat d’Etain, le Pau, la Croix Verte, Grand Bonhé, le Petit Bonhé etc…Ainsi, nous savons par l’histoire que le Maine fut ravagé par les troupes de Lothaire en guerre avec Charles le Chauve vers l’an 842 et devint le théâtre de nombreux combats comte du Maine, nommé Gauzebert avec les seigneurs bretons qui appelèrent les normands à leur secours. Charles dut combattre ici contre ses vassaux rebelles, et y passer bien certainement pour aller à Rennes dont il s’empara vers l’an 850. Le Mans tomba au pouvoir des normands dans leur 1 ère invasion. Mais l’an 852, Gauzeberg surprit le comte Lambert, dans une embuscade le 1 er mai, et le mit à mort. Les gens de Lambert, comte de Nantes, le vengèrent au mois de mars l’année suivante. Gauzebert périt avec toute son armée dans un combat qu’on croit avoir été livré sur le territoire de Crannes. Depuis cette époque, quelques autres. Notre bon Henry IV y a diné à l’hôtel du Pau. A cette occasion, le roi signala ici sa présence par un trait que tous les vieillards nous rapportent et qui vivra longtemps dans le souvenir des habitants de Crannes. A la tête de quelques troupes et d’une suite nombreuse, le roi avait fait donner l’ordre par avance de préparer un diner pour lui et tout son monde. L’hôtel du Pau avait été choisi pour le pied à terre du royal hôte et l’heure de midi pour celle de son arrivée qui devait être précédée par une avant-garde. Par un de ces caprices qui lui étaient familiers, Henry IV quitte tout à coup son escorte, arrive au bourg de Crannes, descend à l’hôtel du Pau où il est pris ainsi que sa suite, pour l’avant- garde qui devait précéder l’arrivée du roi. Ayant obtenu ce qu’il se proposait, de rester inconnu, l’humeur joyeuse du bon prince en profita aussitôt pour présenter aux seigneurs de sa suite l’occasion de rire et de s’amuser. Après leur avoir enjoint de maintenir l’incognito, Henry va droit (suite sur le lien en bas de page).
La chapelle du cimetière est visitée tous les dimanches par quelques personnes assez généralement étrangères à la paroisse, qui viennent y prier dans l’intention d’obtenir la guérison de contusion, abcès ou furoncles. Un petit tronc en bois reçoit leurs légères offrandes. L’église fut pillée, dépouillée de ses ornements, les bancs vendus, et servit, pendant quelques temps, d’écurie aux chevaux de la troupe qui passait ou séjournait à Crannes. Les cloches, au nombres de 3, furent descendues, transportées au Mans et fondues pour faire des canons. Ces actes de profanation eurent pour auteurs des hommes presque tous étrangers à la localité. Le presbytère, acheté par François Le Cornué, notaire à Crannes, fut détruit par lui en grande partie et réduit à l’état où il se voit maintenant, à un simple rais de chaussée qui est habité aujourd’hui par un propriétaire de seconde main. Parmi ces malheureux se trouvait un prêtre à peu près âgé de 40 ans qui après avoir passé une nuit et un jour dans les champs et taillis du Mirail, sans pain et grelottant de froid, se décida, un matin sur les 9 heures, à aller demander un abri et du pain au château. Mr François Le Cornué en était déjà le propriétaire au même titre que celui du presbytère. Le pauvre prêtre décline aussitôt ses qualités et son nom et avoue qu’étant poursuivi par la mort et ne pouvant plus l’éviter il vient se livrer entre les mains de l’autorité de la commune pour ne pas mourir de la part de la troupe qui a immolé ses concitoyens et ses amis. Le Cornué le fit déjeuner avec lui, et immédiatement après l’infortuné étranger fut amené au bourg de Crannes et livré entre les mains de l’administration. Il fut enfermé en la maison nommé le Pressoir St Jean, dépendant du presbytère, qui servait de prison. Il était près de midi, lorsqu’il y entra. Il passa la soirée dans ce triste réduit où plusieurs personnes le visitèrent plus par curiosité que considération. Dans ces tristes entrevues, le pauvre prêtre qui redoutait toujours d’être tué par la troupe ( à suivre sur le lien en bas de page) Crenon, c’était une ancienne châtellenie dont le fief relevait de la seigneurie de Pirmil et s’étendait sur les paroisses de Fercé et de Maigné. Crenon donna son nom à une ancienne famille, éteinte depuis longtemps. Il fut réuni aux seigneuries de Vallon et de Maigné, et devint comme elles, à la fin du 15 e siècle, la propriété du président Guillard seigneur des Epichelières, passa ensuite à la maison de Champagne La Suze et fut plus tard à celle de Laval-Montmorency. Ce n’est qu’une ferme aujourd’hui.
une longueur de 6,45m cet autel s’élève à une hauteur de 8m et quelques centimètres.
Gare de Crannes-en-Champagne Aujourd'hui.
Gare de Crannes-en-Champagne en 1908.
Vallon-sur-Gée – la Gare du Tramway:La ligne du Mans à Saint-Denis-d'Orques, par l'Épine, la Foresterie, Trangé-Chaufour, la Denisiére, Degré, La Quinte, la Vannerie, Coulans, Brame, Auvers-sous-Montfaucon, Crannes, Vallon, Tassillé-Saint-Christophe, la Tuilerie, Loué, Joué-en-Charrie, Lune-de-Joué, Saint-Denis-d'Orques. Elles appartiennent à la compagnie des Tramways de la Sarthe.
Coquelicot:
Plante herbacée courante qui fleurit en période estivale, le coquelicot est connu pour accompagner les cultures messicoles de céréales et de colza. Durant l’été, ses fleurs colorent nos campagnes d’un rouge écarlate. Étant peu attractive, cette plante est normalement ignorée par les chevaux au pâturage. Ces derniers peuvent cependant s’intoxiquer en consommant d’importantes quantités de plante sèche contenues dans des fourrages (paille, foin…) fortement contaminé
Roses Guillot ou Rose sans épine
Manque de vent pour faire tourner nos quatre "Moulins féminins"
Photos du groupe du jour
UN BIG MERCI A NOS AMIS (ES): Christiane, Bernard et Cie
A BIENTÔT SUR LES NOMBREUX CHEMINS DE RANDONNÉES DE NOTRE DÉPARTEMENT SARTHOIS .......
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Souces:
Wikipédia,
Internet,
lien des Chroniques de Crannes ci-dessous.
https://crannesenchampagne.com/wp-content/uploads/2020/09/chroniques-de-crannes_mlopez-2.pdf
lien ci-dessous de La Bourlerie de Vallon-sur-Gée
https://www.persee.fr/doc/aremo_1955-6713_2017_num_8_1_937
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